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Anonyme
6/3/2011
a aimé ce texte
Bien
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Une écriture équilibrée et maitrisée, l'histoire en ressort très bien. Dès les premières, on se met à observer avec les yeux du narrateur. La pointe d'humour à la cathédrale fait sourire. On ressent assez bien les émotions des personnages. On se perd avec eux à la recherche du restaurant, ironie, lorsque le narrateur s'apprête à entrer chez des particuliers.
L'on est transporté dans ce récit de voyage. Bonne continuation. |
Coline-Dé
20/2/2011
a aimé ce texte
Pas
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Sur le fond, ce texte nombriliste fait terriblement journal intime, et je ne suis pas sûre qu'il présente un intérêt quelconque pour un lecteur extérieur...
En ce qui concerne l'écriture, il y a des changements de temps qui ne se justifient pas, et des phrases peu compréhensibles par exemple : Ce sont ces instants qui me font dire aujourd’hui que j’ai trouvé le bonheur, c’est avec elle et les années que je les ai connus. Je ne m'attarde pas davantage, car j'ai trouvé ce texte extrêmement antipathique. |
Anonyme
26/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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J’aime beaucoup cette phrase : « Nous sommes en Bourgogne et je travaille dans la tête, je pense, j’ai peur. Peur de perdre les idées qui galopent, il me faut les coucher sur papier au plus vite. Camille me dit d’avancer et moi je note, c’est insupportable pour elle, je voudrais m’en passer mais c’est impossible, j’ai l’impression de tout voir et crains de tout perdre. »
J’aime bien aussi les impressions sur le pays : « Quand on se balade on va de surprise en surprise, c’est escarpé et ça a du cachet, pas de parpaings ni de béton peint en jaune et moins de grandes routes qui traversent. En même temps, une fragilité des lieux. » Ou « Ce village où il y avait tant de vie avant, tout le monde veut venir voir parce que c’était beau, du coup il n’y a plus rien. La vie s’est arrêtée, ce n’est plus qu’une balade, un lieu envahi par les parkings bondés et les restaurants chics. » J’apprécie cette vision du tourisme : « J’étais angoissé car tout me paraissait surfait et morose, dédié au tourisme et la vie avait fuit. » Style particulier qui corresponds bien aux pensées du narrateur, mais qui frôle la maladresse par exemple : « Ce sont ces instants qui me font dire aujourd’hui que j’ai trouvé le bonheur, c’est avec elle et les années que je les ai connus. » pas simple de retrouver à quoi fait référence le « les » ou « Toujours elle m’attend, elle patiente. » : un manque de virgule, il me semble entre « elle » et « patiente ». Quelques dialogues, plus tôt dans le texte, auraient aérés le texte. Regard très personnel sur ce week-end en Bourgogne qui en rend la lecture plaisante. Des petites choses de la vie bien racontées. Bonne continuation à l’auteur |
Anonyme
26/2/2011
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
J'ai trouvé ce texte difficile à lire. La faute en incombe au style. j'ai l'impression que vous avez voulu adopter un style oralisant, tout en n'y parvenant pas : l'abondance de phrases sans verbe va à l'encontre de... comment dire... l'oralisme ? La concordance des temps est aléatoire. Deux exemples de ce que je trouve catastrophiques : "Nous prenons le menu à 18. Nous sommes bien les seuls. Moi je prendrai l’entrée parce que je suis plus salé et Camille se choisira un dessert." Le futur est malvenu. "Le menu à 18" "je suis plus salé" : désolée, mais la tournure familière est trop ostensible. "Je pourrais veiller ici des heures, courir avec toi dans ces rues vides pendant qu’ils dorment, comme des gamins lors de leur premier flirt, nous raconter des histoires à n’en plus finir, je m’arrêterais devant quelque maison si je sens qu’elle a encore des choses à nous dire." J'aime bien la fin de la phrase, poétique. Mais les anaphores (pronoms) ne sont pas maîtrisées, l'ensemble est donc très maladroit. Sur le fond, j'aime bien ce genre de nouvelles qui racontent une errance, et dont on se demande où elles vont mener. Celle-ci me paraît cependant très fourre-tout, on sent que vous avez voulu y faire passer vos idées à tout pris (les publicités, les touristes...). C'est gênant, dans la mesure où on ne se rend pas bien compte de ce qui est la pensée du narrateur ou la vôtre. J'aurais aimé un peu plus de finesse dans l'exposition des idées (après tout, le narrateur a le droit de trouver que les Versaillais sont de gros dégueulasses, à condition que ce soit mieux amené, et non pas asséné comme vous le faites). Tout cela est très dommage, parce que la conclusion montre à quel point le narrateur est habité par la musique et angoissé par cette obsession. Il y avait à mon avis matière à écrire quelque chose de vraiment poignant. Dernière remarque : un manoir n'est pas un monastère ou un cloître ! (un "moinard" ?) |
Pascal31
6/3/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé ce week-end en Bourgogne. C'est raconté de manière très simple, sans ambages. J'ai bien relevé quelques maladresses, comme par exemple cette inversion assez désagréable dans ce passage : "(...) angoissé j’étais dans cet endroit (...)"...
Quoi qu'il en soit, je me suis immergé dans l'histoire, en me demandant où l'auteur voulait nous emmener. J'appréhendais un peu la fin, et puis, finalement, à l'image de tout le récit, elle est simple. Sans fioritures. C'est un texte 'sans prise de tête', que j'ai pris plaisir à lire. |
Lunar-K
6/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ce week-end en Bourgogne ne m'a pas plus emballé qu'il ne semble avoir emballé le narrateur lui-même. Un texte trop descriptif, sans histoire, et qui ne parvient pas à combler ce manque (qui ne constitue pas, en soi, un véritable défaut) avec d'autres choses (comme de la poésie, de la réflexion, de l'émotion, du psychologisme,...). J'ai trouvé ce texte vraiment ennuyeux, sans rien à quoi se raccrocher, sans intérêt...
Tout n'est pas mauvais pour autant, j'ai trouvé l'écriture dans l'ensemble plutôt bien fichue malgré quelques défauts déjà relevés : style trop parlé, tournures peu gracieuses (notamment cet horrible : "angoissé j’étais dans cet endroit"), des répétitions mal placées ("Trop de touristes qui se baladent avec la tenue touriste"),... Pour conclure, un récit plutôt bien écrit (mais qui ne perdrait rien à être retravaillé), mais dont l'histoire est beaucoup trop plate pour pouvoir me séduire. Bonne continuation ! |
Anonyme
6/3/2011
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Et bien...
Je vais être extrêmement dure, mais je n'ai rien trouvé de bien bon dans ce texte : Niveau style, bourré de lourdeurs, de formules orales qui n'ont rien à faire dans un texte qui se veut un minimum littéraire. l'emploi de la première personne ne justifie pas d'écrire mal... Niveau contenu : ça commence mal. Manque absolu de crédibilité. Il faudra m'expliquer comment on part en vacances avec 50 euros en poche ? en couple qui plus est ! Ayant connu la dèche, je peux dire qu'avec 50 euros sur mon compte en banque, je me demandais comment remplir mon frigo, pas comment partir en bourgogne... surtout que l'auteur parle d'autoroute ! Sait-il seulement combien coute le péage ? Si encore les personnages voyageaient en routards, en stop, mais non ils prennent une voiture ( comment font-ils le plein, au fait ? ) pire un hôtel !!! Je ne doute pas que l'auteur ait une explication à cette incohérence, mais elle ne figure nulle part dans le texte... Bretonne, je ne peux m'empêcher de bondir sur le passage absolument surréaliste sur les villages de ma région. L'auteur y a t-il seulement fait un saut ???? exit les maisons de pierre, exit le granit, le grès... Enfin, quelle est l'histoire, l'intérêt , je ne vois pas... aucune intrigue, aucun fond... Désolée, mais pour moi, il faudrait voir à rendre crédible le contexte de cette histoire et lui donner un peu plus de profondeur ( sans parler de l'écriture elle même) ... |
arnotikka
6/3/2011
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Commentaire modéré
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Perle-Hingaud
6/3/2011
a aimé ce texte
Bien
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J’ai aimé ce texte. Voyage dans une tête. Alors, bien sûr, nous ne sommes pas dans du « littéraire ». Des touches, des impressions, des notes sur une portée. Sans importance, banales. Nous, quoi. Nos peurs, nos hésitations, nos émerveillements, nos défauts. Et le ventre rond de Camille.
Pour moi, l’écriture choisie est volontaire. Elle reflète aussi une tentative d’expression d’une histoire, et elle fonctionne, du moins elle me touche, malgré tout. La modifier en profondeur dénaturerait l’expérience, je pense. |
i-zimbra
7/3/2011
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J'ai lu une satire intéressante du bobo en début de carrière.
Le narrateur nous montre des caricatures de touristes, et nous en dessine une autre, pas mal non plus. Touriste : personne qui s'intéresse aux choses avec curiosité mais d'une manière superficielle. Caricature de couple aussi : Lui pense ; elle, simple et patiente. Il a toujours plein d'idées à noter ; dont on espère qu'elles n'ont rien à voir avec ce qui nous est donné à lire. Il nous donne aussi une bonne idée de ce qu'est la France vue par un Parisien : Ainsi la Bourgogne – je relis pour être sûr – est dans l'Est. Orléans serait alors dans le Midi et Chantilly dans le Nord. Les repas ont l'air de moments importants, la Bourgogne semble être une région où l'on mange bien. |
DouglasLejeune
7/3/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Beaucoup de probleme avec les temps et certaines phrases sont bancales, sans doute pour avoir voulu faire un "effet".
Ce qui me derange sur le fond c'est le cote "bien pensant et politiquement correct" qui colore l'histoire: "regardez comme j'aime l'authenticite, comme je pense, comme les touristes sont moches, comme ces sites sont denatures, comme ces cinquantenaires n'ont aucun interet, comme je suis mieux qu'eux "...par rapport auquel il n'y a aucun recul. On peut presenter un personnage tel que celui-la et le mettre en scene, mais il doit etre un personnage. Ici c'est l'auteur lui-meme qui se presente ainsi, cela n'interesse pas le lecteur que je suis. |
alvinabec
10/3/2011
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Bonjour,
Il semble que le texte réponde plus au jeu du souvenir personnel qu'aux contraintes de la nouvelle. En somme un compte-rendu au rythme plaisant, malgré qqes heurts stylistiques. A vous lire... |
Anonyme
19/3/2011
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J'ai lu ce texte comme, en fait, une étape d'écriture avant la création d'un texte, des notes jetées sur le papier un peu au petit bonheur, des clichés touristiques, des remarques sans grand intérêt pour moi sur les affres du narrateur et sa vie de couple, un mélange de niveaux de langue que j'ai perçu comme mal maîtrisé... Bref, j'aurais aimé un récit plus accompli à partir de ce matériau brut (le week-end en Bourgogne) : une narration. Tel quel, je n'ai pas vu d'intérêt au texte. Il n'y a pas d'histoire sous l'histoire, mais une suite de diapositives présentées après un voyage, qui ne donnent à voir qu'elles-mêmes.
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