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Menvussa
21/10/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Quelle dextérité dans le maniement de l'absurde, car quoi de plus absurde que ce monologue entre le personnage et son auteur. Effet miroir. J'ai vraiment beaucoup aimé. Et puis, il y a de la musique dans ce texte écrit d'une manière théâtrale. "Je ne suis qu’un pantin, que le vent chavire, un jouet que je voudrais maudire." C'est une scène qui se déroule sous nos yeux, un personnage qui se débat seul, un Don Quichotte sans son Sancho Panza.
J'ai eu aussi sous les yeux ces dessins animés où le personnage est en prise avec son dessinateur, ces BD où l'on sort de la case, où l'on plie la feuille. Une absurdité bien pensée dans ce monde qui ne tourne pas rond est comme une vérité, une planche de secours. Bref, cela m'a plu, énormément. |
colette
21/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est un très beau monologue à interpréter, qui joue sur la gamme des émotions. Un texte très riche.
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Flupke
29/10/2008
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Bonjour Azurelle,
Faut pas m’en vouloir, mais là, j’ai vraiment du mal à évaluer. Déconcertant mais original et bien écrit, donc ça mérite au moins un rapide commentaire amical. |
Anonyme
15/11/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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nous faire part de ce que ressent un texte face à son auteur, voilà une bonne idée, mais le faire de cette façon c'est exceptionnel. Je crois comprendre que leur liaison est,"comme dirait "Gainsbourd", je t'aime, moi non plus. C'est un peu normal, car le texte à sa vie propre, mais l'auteur, qui vis à vis de lui a des espérances, est tout puissant et joue les senseurs. La liberté de son créateur est presque totale, même s'il doit obéir à certaines contraintes, mais lui, pauvre écrit qui ne vit que grâce à un support, généralement de papier, est fragile et soumis aux caprices de "l'autre".
J'espère que j'ai bien compris ta pensée, mais de toutes façons, BRAVO |
Anonyme
30/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Dire que j'avais raté çà.
Il faut dire qu'avec un tel pseudo, on s'attend à ce que l'auteur fasse dans le roman rose. Alors on n'ouvre même pas. On a tort. C'est un des meilleurs textes humoristiques que j'ai eu à lire sur Oniris. L'humour est un genre très difficile. N'importe qui peut faire pleurer, il suffit de parler de maladies incurables. Faire rire, ou faire sourire, ce qui est mieux, n'est pas donné à tout le monde. Bravo Azurelle. |
Selenim
21/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Beaucoup plus dense que Corps stellaire , ce texte est dynamique, percutant, mais trop peu canalisé, à mon gout.
J'ai ressentit une fougue littéraire peu commune, un désir démesuré d'écriture. J'ai aimé le texte et son originalité. Ce torrent d'inspiration canalisé, j'aurais adoré. |
Anonyme
3/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Azurelle
De l'énergie et de l'humour avec en sus de l'originalité. C'est poétique, de belles envolées par moments et le personnage de papier, c'est sûr, a de la personnalité. Sauf que : j'ai relu plusieurs fois la fin et je ne l'ai pas comprise. Est-ce que le personnage a été gommé ? Ou est-il fâché parce que sa vie n'aura duré qu'une ligne et qu'il est mécontent de voir arriver le point final ? Ou bien est-ce la vie de Rémi qui n'a duré qu'une ligne ? Je le trouve également bien bavard pour quelqu'un qui souffre d'avoir à parler. Mais ça n'empêche que j'aime bien sa vitalité et sa façon d'enguirlander son auteur. |
nico84
8/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Quel monologue intelligent et fin ! J'ai deja pensé à écrire cette histoire (pas exactement la même mais dans le principe c'était ça) mais il faut beaucoup d'imagination, de légéreté et de maîtrise que je n'ai pas encore.
J'estime donc d'autant plus ce travail de l'écriture, d'un personnage, d'une réflexion et qui ne s'embourbe pas bien au contraire. C'est fluide et ça maintient le plaisir par la curiosité du lecteur. Ca sent le travail, bravo pour cette nouvelle drôle et originale. j'ai apprecié. |