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Anonyme
16/6/2014
a aimé ce texte
Bien
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La morale de ce conte est plutôt plaisante à mon avis, dénonçant la folie de la violence et de la vanité, mais comment se fait-il, dans la logique du texte, que le démon en vienne à se libérer du pentagramme ? Je ne vois pas où sont remplies les conditions de sa libération.
Sinon, comme j'ai dit, la fable m'a plu, son mouvement est vif. |
Robot
21/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'avais lu et commenté la 1ère version. Celle-ci me paraît en progrès assez conséquent. Il y a un côté Bartimeus dans cette histoire de démon et de pentagramme. Bien sûr, l'histoire ne me surprend plus mais le conte débarrassé de certaines de ces lourdeurs précédentes est devenu plus agréable à lire. Les allégements lui ont donné un rythme plus rapide c'est certain. Une remise sur le métier positive qui me permet de relever de deux niveaux mon appréciation.
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Neojamin
11/7/2014
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Bonjour belgik41,
Le conte est cours et agréable à lire, une histoire vive qui nous entrâine jusqu'à la fin sans répis. Un vocabulaire soigné, une justesse de style par rapport à l'époque. Des phrase un peu longues à mon goût, surtout au début. Le dénuement est sans surprise, amené sans trop de suspense. Dommage, je me serais attendu à quelque chose de plus subtile....j'aurais aimé prendre le temps de m'imaginer le mystère. Au lieu de cela, il me tombe tout fait dans les mains. Pour la fin, un peu molle aussi. De mon point de vue, l'histoire mériterait d'être retravaillée avec un autre dénuement et un peu plus de folie dans ce final plutot banal. Merci pour cette lecture en tout cas! |
MariCe
11/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'avoue n'avoir dans un premier temps que constaté des lourdeurs dans votre manière d'écrire :
"... et surtout la plus crainte et célèbre fine lame du royaume." " Il anticipe chacun de mes coups, pensa Florent, et il attaque de la même manière que moi je le fais !" Malgré une première partie qui m'a parue ennuyeuse - la description de la cour, des habits, etc... - votre texte a gagné en intérêt à l'apparition du pentagramme ; le glissement de l'histoire dans le fantastique est fort bien maîtrisé jusqu'à une juste morale. Belle lecture. |
Lulu
11/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour belgik41,
J'ai beaucoup aimé votre nouvelle qui se lit facilement. Le style est sans fioriture, très fluide, agréable. Je n'ai, personnellement, trouvé aucune lourdeur particulière. Je ne connaissais pas le mot "bretteur" ; maintenant, je sais, grâce à vous et vous en remercie. J'ai bien aimé l'histoire de ces bretteurs qui ne savent pas ce qui les attend. La fin est intéressante. Je ne sais que vous dire pour progresser. Pour un début, je trouve que c'est très encourageant, car vous avez su camper un décor au début, et laisser l'imagination de la lectrice que je suis pour le développer ensuite. Aux éléments de décor du début avec la description des personnages figurants, vous avez en effet laissé place à l'action, sans vous enfoncer dans le piège d'une description qui aurait pu alourdir l'ensemble. Bravo, donc, et au plaisir de vous lire à nouveau. |
ili
11/7/2014
a aimé ce texte
Bien
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Le texte se lit bien, malgré la surabondance d'adjectifs dans le premier paragraphe, qui m'a un peu rebutée. Je n'aime pas trop lorsqu'à la fin vous employez des phrases exclamatives pour la narration* ; ça donne un ton un peu emphatique.
Quelques lourdeurs dans les dialogues : « Dégaine ton épée […] le courroux français ! » (il faudrait changer l'ordre des phrases, j'ai eu l'impression que le personnage cherchait à se justifier) « Jeune crétin ! Le démon nous a piégés ! […] » pour moi la suite de cette réplique est inutile, surtout que dans la phrase d’après vous forcez encore le trait ; avec un dénouement aussi simple il suffirait de confirmer les doutes du lecteur et là vous expliquez deux fois en long et en large. Des phrases trop longues qu'il suffirait de scinder en deux ( « Les épées des deux bretteurs […] et clama d’une voix solennelle », « Florent retrouva vite ses esprits […] de ne pas se faire semer ! », « Soudain, [...] il faillit crier de terreur. »), et des précisions inutiles : « alla se coller à la fenêtre de la maison du marquis » « du corps gisant et sans vie » « murmura Florent, étonné… » les trois points ramollissent « qui sera à coup sûr sanglant. » serait ? * je retirerais les points d'exclamations après « prestement ! » et « il lui lança un défi ! » Comme socque, j'ai apprécié la morale ; je n'ai pas lu la première version de ce récit mais celle-ci m'a plu. Dommage pour les quelques maladresses qui rendent le style légèrement dissonant. |
margueritec
11/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je me suis laissée prendre au piège malgré des difficultés à entrer dans un texte à l'écriture trop convenue. Heureusement, la fin inattendue, sauve votre nouvelle.
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marogne
12/7/2014
a aimé ce texte
Vraiment pas
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J'ai été d'abord arrêté par le premier paragraphe qui semble reprendre des définitions de dictionnaire sur les différents habits, et qui, dans la profusion de qualificatifs, se perd un peu parfois. Sans doute aussi l'utilisation du terme de"caste" pour la noblesse qui d'emblée nous place hors du temps, du pays où l'histoire est censée prendre place. Et aussi,ce "1670 après Jésus-Christ"... j'ai cru alors que nous étions dans une histoire comique, à la W, mais non.... dommage.
La suite, toujours sur la forme, me semble à l'avenant. Il n'y a aucune relation entre le vocabulaire utilisé, le style, la pensée même, et l'époque, les personnages. Tout cela fait que l'histoire en perd toute crédibilité, pas que j'y cherchais la relation d'un fait réel, bien sûr, mais même dans le fantastique il faut une logique, une façon de présenter qui scotche le lecteur, qui lui fait presque croire que l'on est dans la vrai vie. Et puis l'histoire du pentagramme, difficile de faire aussi superficiel dans l'invocation du diable - qui semble bien facile.... - et là encore, on (je) perd pied. La morale finale me semble à l'avenant. Pourquoi pas, effectivement, mais alors il aurait fallu que le style de l'ensemble du texte soit plus marqué soit par un franc comique, soit par une apparence de fable. |
guanaco
12/7/2014
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Une petite histoire avec des maladresses de formes et qui ne parvient pas à accrocher le lecteur. A retravailler en ce qui me concerne.
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Alice
13/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une histoire qui met un peu de temps à accrocher le lecteur, mais qui fait mouche vers le milieu. Bien que l'utilisation du diable soit quelque peu décevante et prévisible, on retrouve le côté moral d'une sorte de fable. Il aurait peut-être mieux valu ajuster le style de la nouvelle en ce sens.
En bref, un peu cliché sur le fond, pourrait bénéficier d'un petit remaniement de style et de forme, mais tout de même bien distrayant à lire. Merci pour ce texte, Alice |
Alexis
14/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour belgik41,
Le début m'a fait bien rire avec la réaction légèrement "sauvage" du marquis. Puis l'histoire se déroule bien dans ce conte avec sa morale, bravo. |
Cox
15/7/2014
a aimé ce texte
Pas ↓
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Bof Bof...
J'abuse peut-être un peu, moi, petit nouveau, de venir faire mon difficile, mais après tous ces bons commentaires que j'ai mis,il FALLAIT que ma colère se déchaîne pour ne pas perdre en crédibilité. Tu vas payer pour tous les autres ^^ Sincèrement, je n'y ai pas cru une seconde. A commencer par ce duel qui éclate pour une raison qui sent fort le prétexte scénaristique (je passerai sur le côté patriotique, aux-zarmes-citoyens taratatsoin qui me crispe un peu). Et surtout, il éclate en plein palais royal ce duel, au beau milieu d'une réception, alors que, comme tu l'as rappelé, les duels sont interdits par édit du roi ! Ghé ? Vient l'invocation du Démon, réglée en 2 minutes. Et là, pour la plus grande joie de nos zygomatiques, Galtazar qui effraie tant notre héros se fait martyriser par son invocateur comme un gamin par un grand du lycée. Le marquis décide tout seul de modifier le pacte qu'il a fait avec le Diable, et ce dernier, après avoir chouiné un peu, s'en retourne de là où il est venu. C'est quand même vachement pratique les pactes avec le diable. Ah, si les assureurs étaient aussi sympas que ce bon vieux Gagal... Et le fin se voit arriver de trèèès loin, dès que le Florent fait le souhait d'avoir la MEME épée que son rival... S'il comptait l'affronter, demander une épée capable de surpasser celle de l'autre ne lui demandait quand même pas une réflexion titanesque... Pour la toute fin, un dernier truc me taraude : mais bordel de dieu, pourquoi est-ce qu'ils ne les lâchent pas leurs épées ? Enfin c'est du détail. Le style est quant à lui très maladroit, et c'est ça qui rend toutes ces erreurs si pénibles pour moi. Depuis la lourdeur encyclopédique de la description du début jusqu'aux points d'exclamations partout, en passant par la fadeur des dialogues, le texte rend une impression d'un style très naïf. Voilà, je suis désolé, je me rends compte que j'ai tapé un peu fort et que j'ai été inutilement grinçant; aucune animosité de ma part, je me suis juste un peu laissé emporter. D'ailleurs, comme d'autres commentaires le prouvent, je ne suis pas détenteur exclusif du bon goût, et le fait que je n'aie pas aimé du tout n'empêche pas que d'autres puissent le trouver à leur goût. |
Anonyme
15/7/2014
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Quel dommage !
Par votre pseudo, vous aviez déjà acquis la presque totalité de ma sympathie. Les quelques pourcents manquant m'auront sans doute fait passer à côté de votre texte. Plus sérieusement, celui-ci dévoile dès le premier paragraphe un handicap qu'il ne rattrapera jamais. Pardonnez-moi de vous le dire aussi franchement, mais je le trouve particulièrement maladroit, sachant de plus qu'il s'adresse à un public majoritairement français, ce qu'après tout vous pouviez ignorer. J'ai vraiment l'impression d'une compilation d'informations récemment acquises sur internet, que le public visé détient depuis l'école primaire, voire plus précocement encore. Pourquoi ne pas avoir opté pour plus de sobriété ? Par exemple : "Versailles, 1670. Au palais du Roi Soleil, le grand Louis tenait en ce soir de juillet une fête en l'honneur de l'ambassadeur de Prusse." Ceci aurait au moins évité de donner l'impression de vouloir apprendre ce que tout le monde sait. Des erreurs, notamment de conjugaison (aller en prison serait un plaisir pour moi si c’est pour laver cet affront), des redondances prêtant à sourire (détala en courant), une syntaxe parfois sommaire abusant de conjonctions de coordinaton en cascade ou confondant la virgule et le point lorsqu'il ne s'agit pas d'égarer un point d'exclamation, sans même évoquer de pénibles répétitions (Florent retrouva vite ses esprits et détala en courant, il vit le marquis monter dans son carrosse et il fit de même, en sommant le cocher de suivre le carrosse de De Martignac et de ne pas se faire semer ! Quelques rues plus loin dans Paris, le carrosse s’arrêta et le marquis en descendit et pénétra dans sa demeure.) ou bien encore des détails incongrus (Marcel entra dans sa chambre, alluma une lampe) n'aident guère à accorder du crédit à un texte dont l'ambition affichée est de simuler un langage soutenu servant un contexte historique décrit avec précision. Pour ce qui concerne plus spécifiquement le fond, il me faut pouvoir gober au moins une partie de ce qu'on veut me servir, et j'ai beaucoup de mal à croire qu'on eût pu laisser ce marquis créer un tel incident diplomatique au cours d'une réception précisément organisée en l'honneur d'un ambassadeur. Vous faites passer les français pour des nationalistes forcenés, mais de surcroit, vous les faites passer pour des fous. Heureusement, personne ne peut y croire. Un lecteur, c'est cruel, vous savez, mais pas toujours au point de noter les textes qu'il ne lit pas entièrement. J'espérais pour votre pays, à supposer qu'il soit en rapport avec votre pseudo, meilleur ambassadeur que ce texte-ci, mais je ne doute pas que vous puissiez prochainement nous en proposer un autre remplissant dignement cette fonction car, débarrassé de ses nombreuses lourdeurs de forme et de fond, il laisserait mieux transparaitre les potentialités d'une écriture encore un peu verte. Le travail à accomplir consisterait sans doute le plus souvent à ôter des parties de textes, sans nécessairement tout devoir reprendre du début. Ce pourrait être bien pire. |
in-flight
31/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'ai trouvé la première partie du texte fort sympathique. J'ai beaucoup moins accroché à partir du pentagramme. En fait j'ai trouvé la ficelle un peu grosse. Il y a petit problème de logique dans la narration: "Arrête de te débattre, hurla Marcel, c’est inutile, tu ne seras libre que quand je le souhaiterai, ou bien quand je serai mort, ce qui ne risque pas d’arriver de sitôt !" est en contradiction avec: "Et tandis que les deux duellistes continuaient incessamment les mêmes gestes belliqueux avec leurs épées qui cliquetaient de moins en moins, le démon qui se libérait graduellement mais sûrement de son pentagramme apparut" Hormis cette erreur, j'ai tout de même trouvé l'ambiance du texte très sympathique. Bonne continuation. |
Coline-Dé
10/8/2014
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Il y a, à mon avis, plusieurs points d'achoppement dans ce texte :
tout d'abord le " digest" du début, que je trouve extrêmement maladroit comme accroche, ressemblant bien plus à un résumé de leçon qu'à un début de nouvelle. Didactique et nouvelle ne vont pas très bien ensemble ! On dirait que vous tenez absolument à légitimer votre choix de sujet. Il me semble qu'un auteur a le droit de choisir n'importe quel sujet, dans n'importe quelle époque et j'ajouterai "même s'il ne connait pas parfaitement cette époque à la condition d'emmener son lecteur. Là, j'ai reçu un coup d'encyclopédie sur la tête, ce qui m'a beaucoup gênée pour vous suivre ! Le deuxième point qui m'a fait renâcler, c'est la fameuse " insulte" : Certes la France est belle, et la cour du roi Louis est sublime, mais rien ne vaut la magnificence de ma mère patrie la Prusse… Si vous considérez cette phrase comme une insulte méritant un duel, je n'aimerais pas faire partie de votre entourage !!! Je me demanderais sans cesse si dire " Tiens, il fait meilleur qu'hier " ne va pas m'attirer un mauvais coup ! Certes, autre époque, autres moeurs, mais j'ai quand même du mal à y croire : n'y avait-il dans l'entourage que des cinglés fanatiques ? Le troisième point concerne les relations entre le démon et le marquis : je conçois bien qu'il puisse y avoir une sacrée ambivalence quand on asservit un démon aussi puissant, mais j'imagine mal qu'on puisse le faire sans craintes. Pas trace de cela dans votre texte. Enfin, je comprends mal ce qui pousse Florent à défier le marquis... mais ça doit être parce que je suis une nana rationnelle ! L'écriture m'a parue correcte, sans plus. L'idée est intéressante, mais insuffisamment travaillée, à mon sens. J'espère ne pas vous avoir blessé, mais je ne vois pas l'intérêt de commentaires à fleuret moucheté... |