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in-flight
28/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
C'est beau, c'est simple, ça me parle. "aucune araignée ne venait profaner ton sommeil pendant que je veillais" --> je trouve le verbe "profaner" un peu fort dans ce contexte mais en même temps, le sommeil de sa belle est un moment magique pour le narrateur. Le style et la nostalgie qui émanent du texte font penser un peu à Philippe Claudel (le recueil "parfums" notamment) Merci. |
Anonyme
8/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est beau comme un tableau impressionniste. C'est délicat, comme un amour pur. C'est plein de sensibilité. Et quand pointe l'évocation de l'absence que l'on avait bien-sûr pressentie dés le début avec l'emploi de l'imparfait, s'impose un sentiment de nostalgie et de solitude.
J'ai beaucoup aimé ce texte, très agréable à lire pour sa douceur sans mièvrerie. Il est empreint, tissé de poésie. |
lala
8/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Blacksad,
Vous le partagez avec réussite votre "petit morceau de divinité qui sommeille en chacun de nous". C'est vrai que nous en avons sans doute dans nos mémoires, sans saule ou sans haie, mais avec cette nostalgie si bien restituée. C'est un souvenir simple et intime, qui aurait pu sembler enfantin, impudique ou banal. Mais pas du tout, vous évitez ces écueils et une pure rêverie s'installe, une parenthèse douce qui écrit le chemin du vrai bonheur. J'ai beaucoup aimé "les plus scintillants des diamants sur la plus douce des soieries". "Chaque fragment de ciel, chaque morceau de nuage et chaque reflet dans l’eau m’a rappelé ton doux visage" : préférez le pluriel (m'ont rappelé) ... |
alvinabec
8/9/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Blacksad,
Cela fleure le chemin de traverse, la campagne, l'aubépine et l'eau que l'on suppose de facto claire... Il y a ici tellement de couleurs que j'ai vu non pas un horizon mais la palette barbouillée d'un peintre. Le texte fait dans la brièveté pourtant il m'a semblé bien long. Sans doute si l'on y ôte l'avalanche d'adjectifs inutiles ( herbe fraîche, grand champ, petite vallée, rayons lumineux, chevelure dorée, rideau vert doré...etc.) gagnerait-il en tonicité ce qu'il perdrait d'expressions toutes faites. A vous lire... |
ameliamo
8/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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La nostalgie après une personne aimée, c’est un bon motif pour une page de romantisme poétique, un peu baroque, mais plein d’émotion. C’est un texte réussi.
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carbona
8/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Voici un type de texte auquel je ne suis guère sensible. De longues phrases chargées avec des passages que je trouve excessifs,(ex : Dans le petit méandre de l’Amour qui entoure notre royaume, je contemplais alors les plus scintillants des diamants sur la plus douce des soieries ...) et qui nous emmènent à des kilomètres de la réalité, du palpable, du vivant. Une description alourdie par l'emploi du passé. Une jolie balade mais qui manque de vie à mon goût. J'aurais apprécié que la relation du couple domine l'ensemble comme lors de ce passage : "j’ai froncé les yeux, je devais avoir cette figure qui te faisait tant rire " Le thème de la nostalgie n'est pas traité ici d'une manière qui me séduit. Merci pour la lecture. |
Bidis
8/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un thème qui me laisse indifférente et qui est ici complètement sauvé par l'écriture. Grâce à elle, j'ai eu l'impression de baigner dans quelque chose de léger, de beau et d'un peu triste, rien qu'une nostalgie et cela m'a vraiment touchée.
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Pepito
9/9/2015
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Hello Blacksad,
Bon, ce texte représente tellement tout ce que je déteste dans cette délicieuse catégorie sentimental/romanesque, que mon avis n'a pas grand intérêt. C'est sirupeux, dégoulinant de nian-nian, on s'en met plein les petons. Chaque phrase longue vous emmêle les pinceaux avec un gros bruit de succion. Heureusement l'expression "j'ai froncé les yeux" m'a bien fait marrer. Cela m'a fait penser à un copain qui, pour draguer, se léchait les sourcils. Désolé, de toutes façons on ne peut pas plaire à tout le monde. A un prochain texte. Pepito |
Donaldo75
9/9/2015
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour Blacksad,
Au début, il y avait un ton, du genre pastel. Ensuite, ce pastel est devenu insistant, à la limite du mièvre, à la limite du cliché naturaliste à la David Hamilton. Du coup, la lecture en devient pénible parce qu'on a l'impression que c'est toujours la même chose, une sorte de boucle à vide sur un thème cucul la praline à force de se décliner dans tous les tons de l'orange. Je ne suis pas un fan absolu du romanesque mais j'avoue que j'ai apprécié quand ça s'est fini. Une prochaine fois, peut-être, et dans un autre registre. |
Bleuet
12/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Blacksad,
Un très joli texte qui donne l'impression de lire un tableau. C'est vivant, ça fourmille de détails, bref, je m'y suis sentie. La rêverie se suit bien, j'ai particulièrement apprécié ces morceaux égarés de paradis terrestre qu'il suffisait de chercher pour trouver. Là, j'ai vraiment vu ce personnage se dessiner, pour en ressentir la perte aussitôt après. Mon bémol concerne le thème: la tristesse d'un amour perdu, même quand c'est bien dépeint, c'est loin d'être neuf. Sur le fond, ça donne une impression de déjà-vu qui m'a empêchée d'apprécier pleinement la forme. Au plaisir de vous relire |
Lulu
12/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Blacksad,
j'aime beaucoup votre texte que j'ai trouvé très sensible, tout empreint de poésie. Le pronom personnel "tu" aurait pu être lourd, mais il est là d'une grande délicatesse. L'autre est encore là. Je suis sensible au thème, étant souvent bien nostalgique, mais je suis aussi très sensible à la qualité de votre écrit. Je trouve que c'est très fin, très beau. Tous mes encouragements pour la suite. |
AlexC
17/9/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Hello Blacksad,
L’idée du ruisseau surnommé Amour est géniale. Cela donne naissance à quelques belles séquences. Un texte qui ne propose rien de plus qu’un petit bout de nostalgie. Pourquoi pas. Vous êtes, en ce sens, parfaitement cohérent entre propos et style. L’écriture mériterait quelques retouches (voir plus loin) à mon goût, quelques passages en faisant trop sonne un tantinet faux. Trop de lyrisme, de poésie, détache le lecteur d’un sujet auquel il ne peut que difficilement s’identifier. Ce qui augmente le côté contemplation du texte par rapport au côté sensation. Un exemple pour mieux m’expliquer : Lyrique et peu concret : “je contemplais alors le plus scintillants des diamants sur la plus douce des soieries.” Évocateur et parlant : “tu ne manquais jamais au passage de m’éclabousser en riant et en te moquant de mes grognements agacés.” L’idéal étant à mon sens de parvenir à parler de choses communes avec un brin de poésie. Comme ceci : “Il y a des salauds qui pillent le cœur des femmes. Et de femmes qui ne savent plus trop d’où l’amour tire son charme.” (Tryo, Serre-moi) Mais bon, comme toujours, ce n’est que mon humble opinion. je tique : -“J’ai d’abord suivi la longue haie qui commence là où s’arrête la route cahotante qui m’a conduit là-bas.” -“un collier de perles blanches égrenées sur un écrin de velours vert” -“le petit méandre de l’Amour qui entoure notre royaume” -“Tu affirmais que c’était sûrement la chambre d’air et d’eau où Merlin s’était laissé enfermer par Viviane qui voulait l’y aimer pour l’éternité." -“Ensuite venaient le repas sorti du petit panier, et les discussions, les rires et le sommeil aussi.” -“les plus scintillants des diamants sur la plus douce des soieries" je jubile : -“les taches de lumière dansaient au hasard des humeurs du vent.” Merci pour ce beau partage. A la prochaine. Alex |
toc-art
11/12/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
La rubrique sentimental /romanesque est ma préférée mais là, je trouve que vous tirez quand même un peu trop sur la corde. Ça en devient assez risible, notamment ce bout de phrase pour évoquer l'acte sexuel : "on essayait ensemble de chercher le petit morceau de divinité qui sommeille en chacun de nous". Là j'avoue que je n'ai pas résisté mais je dois être d'humeur farceuse ce soir, ne m'en veuillez pas. Et bien sûr, pour couronner le tout, le saule pleure... nostalgie quand tu nous tiens ! Vous l'avez compris, je n'ai pas aimé. Une autre fois sans doute. Bonne continuation |