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Manonce
13/4/2008
a aimé ce texte
Bien
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Une grande émotion se dégage de ce texte que je trouve très bien écrit. On sent que l’auteur est touché par ce sujet qui concerne des proches.
Les lignes finales interpellent le lecteur, lui demandant de se prononcer sur l’injustice de la peine. Pour moi, elles sont en trop. J’aurais préféré lire un deuxième texte (mais ce n’est que mon avis) dans lequel l’auteur nous aurait parlé de cet homme de soixante ans et nous aurait amené justement à ce sentiment d’injustice, sans prononcer vraiment le mot. Ici, on me demande de choisir un camp sans me montrer l’envers du décor. Je sais que c’est difficile lorsqu’on se sent concerné. Merci pour ce texte qui m’a ému et fait réfléchir. |
widjet
13/4/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Un texte sincère, qui interpelle forcément. Mais peut-être que le choix des mots aurait pu être différent ; ceux-ci sont sans doute trop communs et trop "plaintifs" pour sublimer cette émotion qu'on devrait pourtant ressentir à la lecture de ce texte douloureux. Jamais évident de traiter de ce sujet (euthanasie) sans tomber dans le "déjà-vu"....Il est parfois préférable (même si plus risqué), de prendre des chemins moins linéaires, plus imagés, bref suggérer...ce qui donne une force décuplée aux sentiments intérieurs
Mais c'est plutot bien écrit, ce qui n'est déjà pas si mal. Bravo Bliss. Tes textes (que j'ai je crois tous lu) sont plutot prometteurs et tous empreints d'une belle sensibilté et ne manquent que d'un petit "plus" pour convaincre totalement Bonne continuation Widjet |
strega
13/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Oui vraiment Bliss bravo. J'ai eu l'angoisse, la douleur et la haine tout comme la narratrice... C'est vrai, d'une sincérité poignante, d'une justesse admirable, mais qu'est-ce que c'est dur...
"Il ne se réveillera pas, il est dans un coma irréversible ; et même s'il se réveille un jour, il ne sera plus rien, un déchet, un corps sans âme…", j'en ai encore mal à l'estomac... Bravo, je ne dirai pas merci parce que ce n'est pas adapté à un texte comme celui-ci... |
Anonyme
19/4/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un beau texte, assez bien écrit.
Un brin polémique mais ça ne me gêne pas. |
Anonyme
19/4/2008
a aimé ce texte
Bien
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ce texte est bien construit. Avec l'auteur on vit ces moments très difficiles, très biens rendus par des descriptions précises avec des mots simples qui ajoute à l'intensité dramatique.
Est posé le problème de l'euthanasie active. Un petit mot au sujet de la justice. Un juge ne rend pas la justice comme le faisait Salomon ou Saint Louis sous son chêne. Un juge applique la loi avec une certaine latitude quand à la peine à appliquer que lui laisse le texte qui s'applique à l'infraction. Dans le cas présent c'est plus la loi qui est à revoir que le jugement qui vu la gravité des faits a du faire l'objet d'un appel |
Anonyme
11/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'imagine que dire que j'ai aimé ne serait pas adapté au texte.
Je dirai donc que j'ai ressenti au plus profond de moi-même le sentiment de l'auteur, ce sentiment d'injustice que tout le monde ressent un jour mais que seuls quelques uns savent exprimer par écrit. Bravo pour ce sentiment à l'état pur qu'est "L'accident" ! Ululo |
Une_ame_malade
11/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Très touchant, en effet, on ressent bien la sincérité de l'auteur (d'ailleurs les derniers mots ne m'ont pas étonné, et je trouve, personellement, qu'ils sont tout-à-fait à leur place ici), sa douleur également.
Beau texte donc, mais je suis incapable de m'étendre sur le sujet. |
victhis0
16/9/2008
a aimé ce texte
Bien
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Apart la dernière phrase en italique, de mon point de vue inutile, c'est un texte à l'émotion brute et réelle, qui fait mal. Sujet délicat traité avec délicatesse et sincérité, bravo.
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Bidis
4/11/2008
a aimé ce texte
Bien
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Dans le tout début du texte, la répétition de « je suis vivante » est très bien venue. Mais elle est entachée des trois répétitions qui la précèdent – (« encore le choc »/ « me vrille encore », « mes poumons n’en peuvent plus »/ « s’enfoncer dans mes poumons », « où je suis »/ « c’est que j’y suis ») qui elles ne sont sans doute pas voulues – ce qui fait que "je suis vivante", de figure de style, devient une répétition comme les autres.
« Ce pick-up qui se rapproche. Qui roule vite. Trop vite. Sa remorque qui tangue d'un côté et de l'autre. Sa remorque qui se déporte sur notre voie. » Ici, j’aurais trouvé le texte plus fort sans les « qui ». « Ça fait maintenant plus de deux que je vais te voir… » : ne manque-t-il pas le mot "ans" après le "deux" ? « Que je te vois te dégrader, te racornir de jour en jour. Ce bip ne m'atteint plus. Quand je vais te voir... » : répétition du verbe voir d’autant qu’il va revenir un peu plus loin (« et ne plus te voir là ») Ces répétitions m'ont empêchée de trouver ce court et sensible texte tout à fait bien écrit. |
wenrolland
22/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé ce texte, c'est bien écrit. Je dois cependant dire qu'a chaque début de section, je voyait ou le récit allait... C'est peu être un peu trop évident simplement avec la clarté du titre. J'ai hâte de voir l'évolution de tes textes. Merci pour ce partage.
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