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Anonyme
1/9/2007
a aimé ce texte
Bien ↑
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voilà un texte de sf bien écrit qui se lit facilement, bien construit et bien écrit
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pupuce
3/9/2007
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le recours à la science-fiction est loin d’être ici l’essentiel. J'y ai ressenti pour ma part le mal être des individus. J'y ai surtout entrevu la mort/Umobong qui vient un jour nous chercher tous et qui « propose que je ferme le yeux ». C’est un texte fort, remarquable dans lequel j’ai également apprécié des phrases du genre "je me suis mis le feu toute seule.." ou mieux encore « que serais-tu devenu si tu n’avais pas passé toute ta vie à te chercher dans le regard de l’autre ? » . Merci bluebird.
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Anonyme
3/9/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Chaque mot de cette nouvelle ouvre une porte sur des questions d' "ailleurs" qui nous taraudent tous.
Je dis bien tous les mots. Et c'est ce qui en fait la magie. Ne serait-ce que la dernière phrase (ce n'est qu'un exemple car tout le texte est ainsi): "Son générateur de temps s’active. Les portes s’ouvrent. Main dans la main, on franchit l’entrée. Les portes de l’ascenseur se referment et moi avec". Superbement écrit. Subtilité de la pensée et poésie se côtoient ici. |
Bidis
4/9/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tout d’abord, cette nouvelle m’interpelle absolument car 2012 est une année de grands changements d’après les prédictions des Mayas…
Une petite chose : « ces comptes bancaires bien garnis », trop prosaïque dans un beau texte à mon sens. Mais : -« Elle donnait son cœur à des corps en transit »: j'aime comme une chose aussi complexe peut être si doucement et simplement exprimée -« tu ne comprends pas que la vie c’est toi, c’est lui, c’est moi et que nos vies passent leur temps à se chercher dans le mensonge, l’envie et la vérité… » : c'est vrai et c'est bien dit Un texte poignant. |
Kurnov
20/10/2007
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En un mot comme en cent je ne sais qu'ajouter à ce qui a été dit, sinon, ma foi, que cette nouvelle pleine de poésie qui sonde les mystères de l'âme comme un ange les méandres du monde des hommes aurait bien mérité une plume de plus.
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Ninjavert
23/10/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Comme dit, l'usage de la SF est ici anecdotique. A la croisée des chemins entre l'intertextualisation et la métaphore, il nous permet de nous poser des questions, ou simplement de laisser notre esprit carresser chacune des nombreuses portes que nous ouvrent ce texte...
Poésie, sensibilité, élégance du style... Tout vient ici sublimer cette grande lassitude, pour en faire quelque chose d'infiniment plus riche. J'ai particulièrement apprécié que la réflexion soit si ouverte. Les idées sont à peine effleurées, et chacun est libre d'y trouver ce qu'il veut : là où pupuce a vu la mort, j'aurais plutôt vu l'amour, et l'espoir de renaissance qu'il peut faire naître. (Et pourtant je suis assez peu culcul de nature ^^) J'ai juste été gêné une fois ou deux par une chipouille de ponctuation, (qui n'est peut être que de l'ordre de l'appréciation personnelle), comme une virgule en inadéquation avec le rythme... Bravo et merci encore :) Ninj' |
Menvussa
14/4/2009
a aimé ce texte
Un peu
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C'est marrant mais je ne vois pas ce qu'il fait en SF, j'y vois un écrit sur une forme de folie, une psychose, plein de digressions comme autant de divagations d'un esprit torturé.
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