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Anonyme
11/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je relis et j'ai vraiment beaucoup de mal à m'intéresser à ce récit. Je n'ai sans pas compris l'intention de l'auteur ; l'écriture ne m'a pas aidé non plus, avec quelques maladresses et un ton qui ne m'a pas séduit. Bref un ressenti très mitigé.
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Anonyme
12/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Hahhaha...
haha ha ha ha Pardon. Bon. C'est super bien raconté... ça frôle l'obscène en permanence, je me demande même si le but premier de cette nouvelle n'est pas purement et simplement l'érotisme caché derrière une histoire de zoizeau... c'est quand même très cul hein... très... mais comme je le disais c'est fort bien écrit. Donc, on trouve ça cracra ou pas peu importe, on se laisse porter par le ton, le style, qui sont assez bien dosés, au niveau de l'auto-dérision du narrateur, de la manière de mener le récit, il y a une cohérence très marquée et un fil que l'on suit aisément tout au long de cette histoire. J'ai quand même eu l'impression en filigrane d'assister à une petite séance exhib ou une masturbation quelque chose dans ce gout là... ça manque un tout petit peu de subtilité à ce niveau là. Oh, c'est maitrisé... mais c'est pas subtil et je crois que le pire, c'est que c'est ça qui marche le mieux... La cohérence est dans ce ton, dans cet étalage, de boue, de conduits, de sous entendus pas sous entendus tant que ça, les images sont très sympa dans le visuel. Enfin bien faites... pas vraiment sympas. J'aime assez les étrilles pour expliquer la phobie, le désintérêt du narrateur, même si je m'attendais à quelque chose d'un peu plus... enfin d'un peu plus effrayant... Et puis je trouve dommage d'avoir métaphorisé ou imagé par l'oiseau. L'histoire aurait été encore plus drôle avec un être humain. En fait si une chose doit me gâcher vraiment l'histoire, c'est ça. ça me donne l'impression que l'auteur n'a pas réussi à assumer à fond son propos et a voulu l'atténuer en le transposant dans un animal. Avouons que c'est moins choquant toute cette histoire de conduits, ne nous leurrons pas, si c'est un animal à qui ça arrive. Absurde, en plus, un zoiseau qui a la libido hypertrophiée... ça rajoute au comique de la situation, des situations... mais j'aurais, en tant que lectrice, préféré un homme. Ah, le titre, j'adore... j'ai du chercher je ne connaissais pas la définition (Larousse : Phénomène de durcissement par agitation, observé sur certaines suspensions colloïdales.) et quand j'ai trouvé, j'ai ri... hum... Du coup je rebondis sur le choix de la catégorie que je ne m'explique pas, je me demande si en humour, détente ça n'aurait pas été plus judicieux... enfin voilà quoi... Voilà, merci, j'ai beaucoup ri. Je tiens compte de mon bémol, mais j'ai apprécié cette histoirounette. Au plaisir! |
florilange
13/2/2010
a aimé ce texte
Pas
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Bizarre autant qu'étrange. Sans doute 1 mauvais rêve, que j'ai relu 2 fois, pour être sûre de l'avoir compris. Rien n'est certain pourtant.
Le mot - titre ne figure pas dans mes dictionnaires. Le sujet ne me passionne pas mais c'est relativement bien écrit, sur le ton d'1 conversation, avec parfois des phrases trop lourdes. Je n'ai pas réussi à entrer dans la nouvelle, Florilange. |
ANIMAL
19/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Alors là, je reste perplexe devant cette nouvelle.
Au début, j'ai cru que le but était de faire croire à un texte coquin et que la chute allait révéler totalement autre chose... et puis la chute est arrivée et je ne comprends toujours pas. Il semble s'agir d'oiseaux (croupion, ailes) mais quel est le véritable message que l'auteur veut faire passer ? Ceci dit, le texte est très bien écrit, avec ses clins d'oeil et cette espèce de dérision sous-jacente qui fait sourire. Mais je suis restée sur ma faim. |
colibam
23/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Rhaaa, j'ai passé un bon moment de franche rigolade en compagnie de ton supposé huluberlu des castagnettes molles... à bec et à plumes, donc (j'me suis fais eu).
Bon, alors évidemment, j'ai tout de suite pensé à un mollasson du gland tu vois. La vieille tuile qui survient dans le couple alors que rien ne le laissait présager. - Allez-allez, un p'tit cacheton bleu ou jaune (Mer-Ci-Alice) pour le monsieur et tu vas lui repeindre le hall d'entrée sans... (A la suite d'un incident technique indépendant de notre volonté, nous regrettons de ne pouvoir vous montrer la suite de l'intervention du docteur Colibam.) Hum... je m'égare. « J'essaie de passer à droite, ou à gauche, pas moyen de me diriger, » : là, j'ai visualisé le roi de la gamette, casque vissé sur un front lisse et lancé à vive allure parmi la foule qui ondule en direction d'Ô-Vul' City, le royaume de la division... Ah, mort de rire ! Voui... il m' en faut peu, c'est vrai... J'aime beaucoup la manière de s'exprimer de ton canard blue-bills qui permet tout de suite d'ancrer le texte dans la réalité. Les phrases sont vivantes, proches du langage oral. Le rapport supposé, fantasmé (si si, on peut le dire) au sexe (m'a presque filé la gaule ton zoziau), est magnifiquement induit. C'est bien construit, ça reste soft et mignon tout plein et on se laisse facilement prendre dans les mailles coquines du filet. Juste un truc, pourquoi diable as-tu été mettre ça en Réalisme/historique. Pour tromper ton lectorat hein, avoue ! Merci tout plein. C'était très chouette ; enfin... très mouette. Ah oui, juste : j'ai rien pigé au titre (anagramme ? terme étranger ? Rapport avec rhéopexe ?). Je reviens en post-publication : ok donc pour la définition (Merci Es), tout aussi suggestive que le corps... du texte. |
Anonyme
26/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'adore !
J'ai imaginé un type qui parlait à son psy, ou un sexologue... peu importe. Ce que j'adore, c'est l'écriture. Ca m'a plu du début à la fin. Ca tombe tout pil poil dans la structure narrative que j'aime. Le récit est interrompu fréquemment par le narrateur. Loin, très loin, très très loin de rompre le rythme de la narration, ces interruptions ne font que la renforcer. Un style qui coule très cohérent du début à la fin. La progression dans la confidence aussi est très bien menée : quelques hésitations au début et finalement le narrateur se lâche complètement. Vraiment du beau boulot ! Merci beaucoup. Et gratos en plus ! Cela dit, je suis client. S'il y en a d'autres, même en librairie, j'achète. |
Anonyme
22/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J'avoue être passé à côté;
Moi aussi je pensais pendant un long moment à une double lecture, avec une chute qui nous oriente sur autre chose...... ....j'ai pas trouvé. J'ai beau avoir relu, avoir même décortiqué les commentaires pour savoir si les autres lectures pourraient m'éclairer... rien; ça doit venir de moi.... je n'ai pas compris l'intêret de ce texte; désolé. en outre, j'ai trouvé que le style "parlé" devient rapidement lourd, et n'a fait que compliquer ma tâche. Une autre fois sans doute. |
caillouq
24/2/2010
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Complément succinct d'information : la rhéopexie décrit les phénomènes d'épaississement sous cisaillement. Pour extraire un objet d'un matériau rhéopectique (comme la vase, par exemple), il est conseillé de s'y prendre lentement (il glissera comme hors d'un liquide) plutôt que vite (il restera coincé comme dans un solide). Ca marche très bien avec de la maïzena aussi.
Source d'inspiration pour le reste: un article tout à fait sérieux de l'université d'Alaska décrivant les caractéristiques anatomiques peu communes du canard d'Argentine ("Argentine blue-bill"), peu communes pour la femelle (cloaque labyrinthique / spiralé) comme pour le mâle, et que je n'ai même pas eues à hypertrophier dans ce récit. |
widjet
23/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Comme beaucoup, je pensais également à une fausse piste (même si l’auteur joue un peu avec nous quand même en brouillant les pistes). L’écriture est taquine, j’ai souri quelquefois (surtout au début) et je me suis un peu perdu à d’autres. Le côté « parlé » et les « … » pour marquer les hésitations ne me gênent pas puisque justement cela renforce l’impression que quelqu‘un est juste à côté de moi et se confie (presque allongé sur le divan).
Un moment sympatoche, mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable (d’ailleurs, ce n’est pas le but de l’auteur, je pense). Merci W |
Bidis
23/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai pris ça d'abord au premier degré pour glisser insensiblement vers la métaphore généralisée très bien menée - et très bien écrite.
Pour moi, une lecture amusante en tout cas. |
Selenim
24/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Divagations masturbatoires de la mouette en milieu aqueux.
La bonne idée du texte est de faire croire au lecteur qu'il va y avoir une chute basée sur l'identité du narrateur. Et ben surprise, même pas ! Sinon, la lecture est plaisante, fluide ; avec ce brin surréaliste qui donne une consistance à l'ensemble. L'auteur donne l'impression de raconter un ancien rêve ou un trip finistérien après consommation d'une cigarette fourrée aux algues locales. Rigolo tout plein. Selenim |
Anonyme
28/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Pas compris, pitêtre trop tard je ne sais.
Un titre que je ne connais point qui m'intrigue. je m'intrigue. Une histoire de trique. Un canard. Je m'interroge. Une nouvelle? Une énigme? Une blague Carambar? Pô convaincu. scusi Bon, pour développer un (tout) 'tit peu mon ressenti,le début n'est pas un "cliché" de la vie de couple, c'est bien plus que cela.... Le reste n'est que littérature, et des plus moyennes à mon sens. |
Anonyme
6/3/2010
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Commentaire modéré
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Anonyme
8/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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[modéré pour Hors-Sujet]
Revenons aux bases et plus précisément à la définition (Wikipedia) : L’antithixotropie ou rhéopexie est le phénomène inverse de la thixotropie. Elle caractérise la propriété qu’ont certains fluides de voir leur viscosité augmenter lorsqu’ils sont soumis à des actions mécaniques ; la viscosité revenant à son état normal après un temps variable (réversibilité de la propriété). Un exemple de cette propriété est obtenu avec la crème fouettée. Il s'agit donc ici d'actions mécaniques... la phrase : "Je m'approche à peine d'elle, déjà elle se frotte contre moi" en est une illustration. Le fait de parler des l'Argentine blue-bills et de laisser à penser qu'il s'agit d'un homme allongé sur un divan et qui, du moins je le suppose, s'adresse à un psy rend le texte extrêmement ambigu et ajoute du piquant aux propos. La dérive (maintenant je passe mon temps à buter sur des embranchements) langagière progressive fait que l'on s'interroge sur l'espèce mais sans toutefois arriver à une conclusion bien que le commentaire accompagnant la nouvelle puisse laisser à penser. Mais, incorrigible naïf, je me suis fais avoir. La suite laisse entrevoir (je suis rentré que d'un rien - un bec... puis : Je l'ai survolé, je tournais de plus en plus près du sol, etc...) et nous amène progressivement à répondre à la question : de qui ou quoi s'agit-il ? Néanmoins vous laissez encore à penser qu'il s'agit d'un humain, à soigner certes, mais d'un humain. La fin : Et puis à force de tirer, j'ai fini par comprendre qu'il ne fallait surtout pas faire de mouvements brusques, et j'y suis allé très lentement... Nous ramène au sujet scientifique : la rhéopexie tout en laissant planer un doute : "Vous avez raison, c'était il y a une lune ou deux...Vous croyez que ça va s'arranger ?". J'avais conclu (j'espère que je serai pas à nouveau "modéré" en citant mes premier propos) : "Finalement, j'aime bien la crème surtout fouettée (référence à la définition wikipedia et au texte également) et... La viscosité de mon rire est depuis revenu à son état normal", ce qui veux dire en termes clairs que j'ai bien ri avec ce texte finement troussé (je parle du texte bien sûr) et que, viscosité oblige, "j'ai fini par comprendre qu'il ne fallait surtout pas faire de mouvements brusques... j'y suis donc allé très lentement pour qu'il cesse." Elliptiquement votre et au plaisir de vous lire. |
Mellipheme
8/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Waou ! qu'il est rigolo ce joli petit texte sans prétention ! Au début, on pense, "bon, encore une histoire d'éjaculation précoce ou d'impuissance passagère, on va encore s'enquiquiner avec de la psy à trois ronds". Et puis, au détour d'un paragraphe, on tombe sur :
"Alors qu'avant elle n'était que conduits et tunnels, moelleux et tièdes..." et là, tilt, le lecteur attentif sent pousser les points d'interrogation sur son petit hémisphère droit... Et la suite se dévoile comme une plaisanterie gentiment jouissive (c'est le cas de le dire), jusqu'à un fin pleine d'humour. Cette nouvelle n'est certes pas une révolution ou une révélation littéraire qui va changer la face monde onirisien, mais quand même, merci pour le bon moment passé à vous lire ! |
alpy
29/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Le texte est bien écrit, parfois quelques longueurs. Le double sens frôle par moments le mauvais goût.
J'ai bien aimé ce style avec des interventions de l'auteur off the record (attention : utiliser avec modération et sur des nouvelles courtes pour ne pas blaser le lecteur). La chute me laisse quelques doutes. Finalement, je ne suis pas sûr d'avoir tout compris. Du coup, suite à une lecture plutôt plaisante je reste avec un goût amer sur la fin ... peut-être à retravailler? |
leon
1/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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Un peu dégueu, l'appareil génital aviaire, mais c'est très bien écrit...
Une nouvelle courte et percutante (comme mon commentaire, tiens ! :) ) Au plaisir de lire de nouveaux textes de toi, caillouq... |
Anonyme
19/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Court mais bon !
J'aimerais me suffire de cette phrase en guise de commentaire, mais je risque de recevoir un message d'explication sur la moindre des choses du fonctionnement d'Oniris. A raison, d'ailleurs. Donc : rien de dégoûtant dans cette histoire. Au contraire, c'est très joliment tourné. Et puis j'ai appris quelque chose, et ça, ça me plaît beaucoup. Un sexe plus long que l'ensemble du corps, ce n'est pas donné à tout le monde. Même Moebius, dont je rappelle l'inénarrable Bandard Fou, n'a pas osé. Pour ceux que ça intéresse, mais je préviens tout de suite que c'est une photo de canard mort : http://ssaft.com/Blog/dotclear/public/galerie_de_membres/avian_42.5cm.JPG Et puis, l'acte masturbatoire chez les animaux, ça existe. Alors pourquoi pas, hein ? Conclusion : c'est court, mais bon, car Caillouq a une jolie plume. |
fergas
12/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Caillouq,
Je suis assez fan de votre histoire. J’ai bien compris assez vite qu’il devait y avoir un piège, qu’on n’allait pas se cantonner à une banale baisse de performance entre deux humains. Vous m’avez mis la puce à l’oreille à partir de « J’adore son corps lisse et luisant », mais j’ai vraiment du attendre la fin pour percevoir le fin du fin (haha !). Loin de freiner l’intérêt, les hésitations du narrateur ne font que le renforcer. La qualité de l’écriture est tout à fait excellente, et même supérieure à celle de l’histoire. Si nous étions au patinage artistique, je vous mettrais une note technique excellente, et une note artistique bonne. Sur Oniris, il faut trancher, j’ai donc opté pour un compromis. Vous m’avez donné envie d’aller visiter vos autres productions. J’y vais de ce pas. |