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vendularge
20/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'ai beaucoup de difficultés à lire, voir, entendre ce 14 Juillet 2016 sans pleurer comme une enfant (que je ne suis plus depuis longtemps) Autour de moi, peu de gens parlent de ce jour là, comme si la peine était trop grande et les larmes inopportunes. Mettre des mots, c'est important pour vous et pour nous, merci de les avoir choisi sobres, intelligents et fraternels. Vendularge |
Robot
20/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sans fioritures, sans un mot plus haut que nécessaire, voilà un texte dont la réflexion est empreinte d'humanisme. Une expérience culturelle mise en comparaison avec la barbarie de cette terrible journée. C'est comme un bouffée d'intelligence fraîche qui nous est servie.
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plumette
25/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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très beau texte, sincère et fort qui part de l'intime pour aller vers l'autre et délivrer un message de fraternité et d'espoir.
l'écriture est belle, au service de ce message qui m'a beaucoup touchée. Bravo et à vous relire sûrement |
Alphekka
4/9/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Damned j'avais presque réussi à oublier ce triste épisode... ça y est j'ai le cafard maintenant! Bien joué!
Bon je vais quand même essayer d'émettre un avis un peu plus neutre sur votre texte. Pour commencer le contraste entre l'année erasmus et le retour fonctionne très bien. Mais le début n'est pas très clair : retour de Sardaigne ou d'Andalousie? J'ai du relire deux fois ce passage pour comprendre la logique... Et certains passages sont un peu lourd notamment celui à propos de" la saint camille (c'est mon prénom )" qui je pense aurait pu être tourné de manière plus légère... Enfin je comprends la déprime de rentrer dans un tel contexte mais bon je trouve que vous surdramatisez un peu trop l'événement... je ne veux évidemment pas dire que "ce n'est pas si grave " hein! Simplement je vis à paris, pas très loin du bataclan... mais je ne me suis pas dit "oh mon dieu nous sommes en guerre vite planquons nous" après les attentats. Oui ce sont des événements grave mais pas au point de s'arrêter de vivre. Ce serait même jouer le jeu de ces crétins de terroristes... Je ne veux pas lancer de polémique mais à la lecture de ce texte je ne pouvais pas ne pas en parler. |
MissNeko
4/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un beau texte chargé d'émotions.
Pas facile d écrire sur ce sujet. Votre témoignage est touchant et juste. Merci pour ce partage |
Anonyme
7/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Joli texte, bien construit, clair, honnête, tangible . Vous nous confortez dans la démarche à suivre, malgré une fin modérée, ce qui permet à votre "nouvelle" de passer. Sinon elle était vouée à la corbeille.
Du journalisme en son sens le plus noble. Vous auriez pu rappeler qu'il n'est de fraternité sans réciprocité, seule carence en votre magnifique nouvelle. A vous lire. A |
FABIO
11/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Un peu perdu par le début Sardaigne, Andalousie.
je pense que il aurait fallu être plus clair. Ceci dit ça se lit bien , mème si l'émotion qui est la mienne est un peu contrastée. |
Lulu
13/9/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
je n'ai pas accroché à ce texte, Camille, contrairement au précédent qui coulait simplement. Ici, on sent un effort de composition, mais le premier paragraphe me semble confus. Comme d'autres, je n'ai pas compris d'où la narratrice part. Elle semble partir de Sardaigne (première phrase), puis, plus loin, d'Andalousie, où elle a fait son année Erasmus. Par ailleurs, la narratrice évoque une jeune fille qui lui ressemble - toujours dans le premier paragraphe - et qui lui serait devenu étrangère. Pourquoi l'évoquer ? Cela, je ne l'ai pas du tout compris. Qui est-elle ? Qu'apporte-t-elle au récit ? Parle-t-elle d'elle-même ? En fait, ce n'est pas bien clair... On savait que vous évoqueriez l'attentat au vu du titre et de l'événement, mais peut-être manque-t-il ici un peu de recul pour pouvoir rendre compte de cette journée particulière ? Du coup, j'ai l'impression globale d'un texte trop hâtivement écrit. Cela est d'ailleurs sensible dans le style. Vous évoquez "un événement trop brutal" dans le premier paragraphe. Puis, vous ajoutez "Presque violent". Pour moi, cela relève quasiment d'un pléonasme... Vous répétez le verbe "s'achever" à peu d'intervalles ("s'achève officiellement", puis "Un année, passée à une vitesse incroyable, s'achève"). Si l'intention de votre texte était bonne, le texte lui-même me semble largement perfectible. |