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izabouille
23/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est un bien étrange sujet, fort bien écrit ceci dit. C'est assez déroutant, mais j'ai bien aimé. Le style m'a bien plu également. C'est un petit texte agréable à lire qui raconte beaucoup de choses en peu de mots.
Merci pour ce bon moment de lecture Iza en EL |
Neojamin
26/12/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour,
Il m'est difficile de commenter ce texte. Peut-on l'appeler nouvelle? Ça ressemble plus à une pensée... une rélfexion animée. Je n'ai pas eu le temps de m'attacher à Enza, ni de comprendre vraiment ce qu'elle cherchait. J'ai envie de dire hors-sujet... ce qui n'enlève rien à la qualité littéraire du texte, aux images intéressantes (étanchéité de verre par exemple). Agréable à lire. Quoiqu'il en soit, continuons ! |
plumette
12/1/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Cannuelle
Etrange texte que j'ai lu sous l'angle " fantastique"en appréciant la qualité de l'écriture. Cette histoire de tarte transformée en soucoupe volante qui pousse Enza à s'interroger sur la texture de l'air m'a déroutée! C'est tellement loin de ce que j'écris... J'ai toujours besoin de me raccrocher à du réel si bien qu'à la fin du texte j'ai imaginé qu'il s'agissait des fantasmes d'une personne anorexique. Je suis curieuse de cou lire dans un autre registre car ce chemin et cette écriture m'ont accrochée. Plumette |
Donaldo75
12/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Canuelle,
J'ai lu ce texte comme de la prose poétique, et ça m'a convaincu. Le style est réellement poétique et il fait passer des messages par des images bien senties. Et en même temps, les parties réellement narratives restent dans le domaine de l'allégorie poétique, pas de la nouvelle fantastique. Ce texte est de la bonne longueur; plus long, il diluerait sa poésie, tomberait dans les affres du délayage. Je comprends que d'autres lecteurs ait du mal avec la brièveté de ce texte; ce n'est cependant pas mon cas, peut-être parce que son caractère poétique m'a embarqué d'entrée et qu'il a coulé comme un beau ruisseau, un peu tortueux quand même. Bravo ! En plus, des textes aussi originaux, on n'en lit pas tous les jours sur Oniris. |
Anonyme
12/1/2019
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J'ai lu, j'ai pensé à la boulimie, mais je suis sans doute passé à côté.
Une chose m'a plu : "quelque chose d'à jamais échappé" J'aime bien ce "d'à jamais", ce genre de petites particularités discrètes qui donnent du corps à une écriture. |
Corto
12/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Voici une nouvelle sur un curieux sujet.
Malheureusement l'écriture n'est pas toujours habile avec des phrases où l'on finit pas se demander qui est le sujet comme ici: "La tarte a totalement disparu maintenant pendant que sa faim la prend et la déracine et l'arrache, lui rendant une certitude". Une meilleure rédaction aurait permis d'éviter cet écueil. D'autres phrases pourraient aussi être retravaillées pour mieux préciser les visions: ainsi on est dans la nuit et tout de suite après les oiseaux "par centaines, filent dans l'azur". Quelle cohérence ? On peut penser à une crise de boulimie fantasmée avec cette phrase: "Pourtant, si une force demeure, c'est son corps qui lui fournit : à l'instant, quelque chose lui fouraille les entrailles et lui donne envie de hurler". Comme quoi il y a bien une énigme dans ce texte. A vous relire. |
Brume
13/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Canuelle,
Curieuse expression: " quelque chose d'à jamais échappé " Poème...oup's erreur....nouvelle étrange et assez sombre. Les hallucinations d'Enza provoquées par la faim entraînent le lecteur dans un monde surréaliste. C'est une façon assez originale de parler d'une pathologie, est-ce l'anorexie ou la boulimie? Peu importe. La souffrance d'Enza, son envie de mort, ses sensations, sont exprimées par des mots forts, poignants, bien choisis pour transporter l'émotion vers le lecteur. Cette phrase définie bien son esprit tourmenté: - " La faim lui renvoie des images plates et indéfinissables qu'elle tente de chasser " Une écriture belle et soignée qui sort des sentiers battus. Le personnage d'Enza a de la consistance, ses pensées, ses hallucinations, sa souffrance, la dessinent. |
Brume
13/1/2019
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Doublon
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hersen
17/1/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai un très gros coup de coeur pour le dernier §.
Mais le début m'a laissée perplexe, en ce sens que je ne sais pas trop si l'auteur a franchement un but. je trouve ce début trop lourd pour amener cette excellente fin, qui me semble (très subjectif) la vraie nouvelle. merci de cette lecture ! |
in-flight
21/2/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Le lecteur que je suis a faim de sens... S'il faut y voir un thème, je parlerais alors de troubles alimentaires qui mènent à des hallucinations. Plutôt l'anorexie: la tarte s'envole comme l'envie de manger disparait dans les airs et Enza semble vouloir connaitre le ciel pour y monter plus rapidement.
Finalement, c'est en écrivant ces lignes que votre texte m'intéresse. Là juste maintenant! Mais ça y est mon esprit s'est envolé par la fenêtre. |
Anonyme
27/2/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte ambitieux dans sa conception et sa réalisation.
Avec ce genre de format très court il y a souvent un risque de voir la narration tourner rapidement à vide, mais vous avez su l'éviter avec brio. |
Vincente
18/3/2019
a aimé ce texte
Bien
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J'ai senti une envie énorme de s'attaquer à ce besoin qui déborde bien avant d'avoir rassasié.
Je me fonds à dessein dans le registre du texte, j'y ai l'esprit avivé par la recherche des bons mots, des bonnes formulations. Mais est-ce à cause de l'irrépressible sensation ou à cause de quelques éparpillements de la pensée qui a voulu s'en emparer, je ne sais ? J'ai été déçu par la première partie, seuls les deux derniers paragraphes m'ont touché. La prégnance de la faim au début part un peu dans tout les sens, à l'instar de cette jolie images égarée "la tarte s'envole par la fenêtre ouverte sur la nuit pour retrouver les nuages et s'y engloutir". L'approche du sujet, par ce biais surréaliste, est très intéressante, le regard sur l'évanescence de l'injonction que produit la faim est une cible qui s'est dérobée un peu trop dans votre expression. L'ambition ici pour moi n'a pas trouvé sa maîtresse. Il n'en reste pas moins que si la forme s'est un peu égarée, le regard lui est impertinemment pertinent. |