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Policier/Noir/Thriller
carbona : Hors-jeu
 Publié le 21/07/15  -  15 commentaires  -  4169 caractères  -  229 lectures    Autres textes du même auteur

On ne se méfie jamais assez...


Hors-jeu


Le ballon atterrit à ses pieds. Tous les regards se tournèrent vers lui. Un silence abyssal envahit le stade. Les supporters retinrent leur souffle. Enrique le jaugea. Son emplacement était idéal pour tirer et faire remporter à son équipe le point qui leur vaudrait la victoire.


À la surprise générale, le jeune joueur en décida autrement. Il fit une passe à un membre de l’équipe adverse. Incompréhension dans les tribunes. Déception chez les joueurs. Embarras sur le banc de l’entraîneur.


Enrique, par son geste contrôlé, avait sonné le début assuré du scandale et dans le même temps, la fin inéluctable du club.


Le retour au vestiaire se déroula en silence. Têtes baissées. Chacun muré dans ses propres pensées mais tous habités par la même peur. Le seul joueur à regagner les coulisses la tête haute fut Enrique. Il assumait et revendiquait ostensiblement son acte. Son visage impassible et la dureté de son regard étaient là pour en témoigner.


– Combien tu veux ? lui demanda Rodriguez qui avait attendu que tous les autres joueurs aient quitté le vestiaire.

– Je ne te demande rien, répondit Enrique. Laisse-moi passer.

– Tu montes tout ça en épingle, Rique, ce n’est qu’un jeu, se radoucit l’entraîneur.


Enrique ne répondit pas. Rodriguez allait encore essayer de l’amadouer. Il se méfiait. Il devait tenir bon.

Rodriguez, qui sentit la vulnérabilité de son capitaine, lui passa la main sur la nuque avant de descendre dans le dos.

Le jeune homme serra les dents. Il sentit la rage monter en lui et, en écho, l’humiliation. Il retint ses larmes.


– J’ai énormément de respect pour toi et tu le sais, poursuivit l’entraîneur. Je t’ai toujours considéré comme mon fils depuis le jour où tu es arrivé dans le club. J’ai toujours cru en toi et tu as toujours été récompensé à la hauteur de tes performances, il me semble.

– Oui, reconnut Enrique en redressant la tête.

– Alors, ce serait dommage de tout gâcher pour des broutilles, non ? Tout ce qu’on a construit ensemble. On forme une équipe, Rique. On ne fait rien de mal tu sais. Le football exige une discipline irréprochable et tu es bien placé pour le savoir.

– C’est sûr, approuva-t-il.

– Les gens ne pourraient pas comprendre ce qu’on vit. C’est trop fort. C’est notre univers. Notre univers de champions. Mais nous on va au bout des choses, on se surpasse, c’est ça qui est formidable. On vit des expériences uniques.


Enrique acquiesça d’un hochement de tête.


– La famille, les amis, ce ne sont pas eux qui te donnent la gnak, qui te boostent et qui te poussent à l’extrême, poursuivit Rodriguez qui sentait opérer l’influence qu’il exerçait sur son jeune joueur. C’est l’énergie qu’on a créée au sein de l’équipe toi et moi Enrique qui nous porte, qui nous porte tous.

– Je sais tout ça, répondit-il. Enrique se détendait. C’est juste que parfois, je me pose des questions et…

– Ttt-ttt-ttt, le coupa Rodriguez. C’est normal ça, le rassura-t-il. J’étais comme toi à ton âge. On a tous des moments de doute, même les meilleurs.


L’entraîneur agrémenta son compliment d’un clin d’œil et lui passa la main dans les cheveux.


– Je ne t’en veux pour ce que tu as fait ce soir, poursuivit-il. Mais promets-moi de toujours garder à l’esprit que l’équipe est la seule valeur à laquelle on peut croire, OK ? S’il y en a un qui tombe, c’est tout le monde qui s’écroule.

– Entendu, répondit-il en esquissant un sourire. Je ne déconnerai plus. Promis.


Rodriguez baissa son pantalon et conduisit, d’un geste calme mais qui ne laissait pas de place à un refus, le visage d’Enrique à ses genoux.


– N’en parlons plus, lui souffla-t-il.



– C’était l’heure des explications ? interrogea une dame aux couleurs de l’équipe qui attendait, impatiente, devant les grilles du stade.


Rodriguez et Enrique s’approchèrent d’elle.


– Ça méritait un petit débriefing, en effet, répondit d’un ton bienveillant Rodriguez. Mais pas d’inquiétude. Tout est OK, la rassura-t-il.

– Allez viens maman, on rentre à la maison. J’ai encore beaucoup de devoirs à faire pour demain et je suis crevé, dit Enrique, le regard fuyant, en s’engouffrant dans la voiture, côté passager.



 
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   in-flight   
6/7/2015
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Je n'ai pas vu la chute venir: c'est très bien vu. J'ai pensé à un match truqué sur fond d’entraîneur paternaliste; J'ai bien eu un doute au moment du pantalon baissé mais j'ai cru à un acte entre adultes consentants.

3 remarques:

1/ Pourquoi mentionner "Hors-jeu" au début de la nouvelle. Autant le titre de la nouvelle est excellent, autant la petite incise supplémentaire n'a pas de sens ici: Enrique est face au but, sur le point de faire gagner son équipe, ce qui est incompatible avec une situation de hors-jeu.

2/ Les répliques du jeune Rique me paraissent un peu "adultes" ("Je ne te demande rien", "C’est sûr"...). C'est peut-être moi qui imagine un jeune garçon de 6/8 ans alors qu'il peut s’agir d'un ado de 14/15 ans. Vous ne faites pas mention de l'âge et c'est très bien comme ça, il s'agirait juste de créer des répliques plus identifiées pour laisser deviner une tranche d'âge moins large.

3/ j'ai un peu "trébuché" sur: "- C’était l’heure des explications ? interrogea une dame aux couleurs de l’équipe qui attendait, impatiente, devant les grilles du stade."
Je pense qu'il faut séparer de façon plus franche les deux scènes: le lecteur lit une scène dans les vestiaires et soudain se retrouve face à un personnage inconnu (la mère) devant les grilles du stade.


Merci pour cette lecture "choc".

   Anonyme   
21/7/2015
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour,

Je ne comprends pas bien le but de votre texte, parce que vous ne donnez pas la clé de cette passe à l’adversaire, est-ce la manière de protester du jeune garçon contre l’entraîneur pédophile ?
Les dialogues aussi me semblent un peu décalés par rapport à l’âge du garçon, qu’on présume jeune vu la fin de l’histoire.
Mis à part ces remarques votre texte est assez percutant, en particulier par sa brièveté, et aussi par le thème abordé, ce qui n’est pas évident.

Donc un concentré un peu ambigu…

À vous relire.

C.

   Anthyme   
21/7/2015
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Notre dernier échange m’avait placé en attente de votre premier texte, que je trouve à la mesure de sa promesse.

… … … …

Fine stratégie, ou concomitance fortuite avec les matchs truqués qui contribuent au délétère des actualités ; je me suis d’emblée fourvoyé dans le monde des grands.

La reprise se fit à la volée, comme il se doit au point de penalty, et d’autant plus brutale que je ne l’attendais pas.
Si tel était votre but … bravo !

… … … …

La pédophilie du prof de gym …

Il m’a fallu deux ou trois lectures pour me libérer de l’émotion « primaire », et un après midi de travail pour tenter de la ramener à sa source « primale ».

Je pense que c’est peut-être la seule chose qui manque dans ce texte : les quelques phrases, lignes ou simples mots qui nous laisseraient entrevoir la crainte secrète qui conduit ce garçon à « concéder » …

Il y a bien sûr le détail de la mère, qui attend, et non le père …
… mais rien ne dévoile l’angoisse qui vainc ce garçon au point qu’il « consente » la porte de son innocence à cet indigne père de substitution.

… … … …

Il est vrai qu’avec les 7000-et-quelques caractères maxi d’un premier texte, il est délicat d’arpenter les méandres plus ou moins conscients d’un argumentaire.

C’est peut être une bonne chose, car cette rédaction minimaliste invite tout lecteur sensible à se mettre en recherche du prix de certaines de ses attentes …
… et pas seulement d’enfant.

… … … …

Dans l’espoir d’autres accueils, peut-être plus sereins.

   Pepito   
22/7/2015
Bonjour Carbona,

Forme : écriture correcte.
"DES expériences uniques" m'a fait sourire... en même temps dans la bouche d'un footeux... pourquoi pas...

Fond : bon, quelques oups !
- "la fin inéluctable du club" pourquoi ?
- "combien veux tu ?" d'accord c'est un joueur de foot, mais pourquoi proposer de l'argent (à priori) ?
- le coté "révolté" du gamin ne va pas avec la "soumission" de la chute.
- l'impression, via le vocabulaire, que Enrique est ado > la suite est d'autant plus difficile à gober...

L'intrigue flotte un peu autour des caractères mal définis du gamin et du pédophile.

Le traitement n'est pas au top mais le sujet reste d'importance.

Bonne continuation.

Pepito

   CharlesH   
25/7/2015
 a aimé ce texte 
Beaucoup
J’ai bien aimé cette courte nouvelle, où on oscille entre le foot et autre chose. Une autre chose qui commence en mystère et se révèle très tôt être sexuelle, mais dont la chute, que je n’avais pas vu venir, recadre l’âge de la victime, alors et bravo pour la surprise.

J’ai trouvé un peu étrange la réaction de l’équipe qui entre silencieuse au vestiaire. J’aurais plutôt choisi la tempête et les jurons. Comment ses coéquipiers pouvaient ne pas lui en vouloir ? Bon, la fin explique probablement que pour des gamins ce match n’était pas si important.

Je trouve aussi le titre très bien cadré, car le hors jeu ne fait pas référence au match, mais plutôt au fait que l’histoire se passe à l’extérieur du jeu.

Au plaisir

   AlexC   
27/7/2015
 a aimé ce texte 
Bien
Hello Carbona,

Mini-texte maîtrisé de bout en bout à la fois sur le plan du style, impeccable, sans fioritures, collant parfaitement au sujet, qu’au niveau du fond avec une double révélation bien amenée.

La première, on s’y attend dès le moment où le coach descend sa main le long du dos du joueur. La seconde, pas du tout. Sans doute parce que les dialogues restent vraiment adultes (peut-être trop, en fonction de l’âge estimé d’Enrique…).

“Je ne t’en veux (pas) pour ce que tu as fait ce soir”

Merci pour cette brève percutante.

A vous relire.

Alex

   Anonyme   
9/8/2015
 a aimé ce texte 
Pas
Voilà un texte qui se rapproche beaucoup de l'esbrouffe. On a l'impression que vous abordez avec brio des territoires interdits alors qu'en vérité tout ceci est bien mal traité. Pour qu'un récit soit réellement percutant il faut d'abord qu'il dégage un minimum de crédibilité. Or, d'emblée le vôtre sonne faux quand Enrique ne subit pas la désapprobation de ses partenaires suite à sa passe traitresse. Vous n'avez pas dû assister à beaucoup de matchs de foot !

Après je ne comprends pas cette phrase :"Enrique, par son geste contrôlé, avait sonné le début assuré du scandale et dans le même temps, la fin inéluctable du club."
Quel scandale ? Pourquoi la fin du club ?

L'incompréhension continue quand l'entraineur lui demande "Combien tu veux ?".
De quoi parle-t-il ? Ce n'est vraiment pas clair.

Enfin arrive le discours de Rodriguez et la manipulation qui l'accompagne. L'emprise mentale ne me parait cependant pas assez forte, pas assez contraignante pour qu'il en arrive à fourrer comme ça, subitement, son sexe dans le gosier d'Enrique. En fait l'aspect psychologique me semble bâclé, il y avait matière à faire quelque chose de plus subtile pour dénoncer les ressorts de la pédophilie. Je pense que vous avez privilégié le coup de théâtre à une sérieuse analyse des comportements.

   Blacksad   
23/8/2015
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Un texte qui aurait pu être superbe. Le sujet original, la chute inattendue et qui va de plus à l'encontre de la morale.

Mais... mais il manque de la crédibilité. Le revirement est trop rapide, le sabordage du début pas assez étayé pour y croire et pourtant on y insiste sur la gravité du geste et sur la détermination d'Enrique qui s'écroule en quelques instants au point de tailler une plume à l'entraîneur quelques instants plus tard.
De même je pense que le conflit entre pression sportive, pression des camarades, de l'entraineur, des parents avec aussi l'affection, la manipulation etc... ainsi que les doutes et hésitations d'Enrique pourraient être mieux mis en évidence. Rien n'est simple dans ces cas-là.

Ca mériterait à mon sens de le retravailler pour en sortir vraiment une nouvelle très forte et dérangeante à la fois.

   jeanmarcel   
26/8/2015
 a aimé ce texte 
Pas
Le propos est noble, les intentions sont là mais l'ensemble est boiteux et n'a pas vraiment d'intérêt. Beaucoup d'expressions toutes faites, convenues : silence abyssal, fin inéluctable, regard fuyant... Les dialogues sont totalement inprobables : "tu montes tout ça en épingle ", "j'étais comme toi à ton âge ", on a l'impression d'entendre un mauvais téléfilm mal doublé.
Le texte n'est pas assez explicite, ni assez violent, pour dénoncer vraiment la pédophilie. En voulant éviter les poncifs et les écueils l'auteur tombe dans le piège du récit terne et sans relief.
Pour moi ce texte doit être revu de fond en comble, aussi bien dans la construction que dans le style, pour pouvoir intéresser et, éventuellement, plaire au lecteur. J'encourage l'auteur à persévérer car il a du potentiel.

   Mills   
8/9/2015
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Ayant pratiqué le foot quand j'étais jeune, je trouve que rien ne colle avec ce que j'ai vécu :
- Dans mes matchs de poussins il n'y avait pas de "tribune".
- Je ne comprend pas non plus le "Combien tu veux?" sachant qu'il s'agit d'un enfant.
- Les dialogues ne collent pas ... l'ambiance autour d'un match est bien plus électrique (surtout après une défaite), il ne faut pas oublié qu'une bonne partie des encadrants et des parents au foot sont des "bofs" ( et ceci sans méchanceté). Des dialogues plus crus, plus fleuris.

Bref je déplore ces incohérences, d'autant plus qu'il s'agit d'une nouvelle courte. car le sujet de fond est vraiment intéressant.

   Donaldo75   
11/9/2015
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonsoir carbona,

J'ai eu du mal à rentrer dans ce texte parce qu'il multiplie les fausses pistes dès le départ. Pourtant, à la fin, tout s'explique mais le mal est fait pour le lecteur que je suis, j'ai l'impression d'avoir lu une nouvelle confuse, un peu trop bavarde.

Cependant, je dois le reconnaitre, une seconde lecture, connaissant la chute à l'avance, éclaire ce texte sous une autre lumière et le rend plus abordable.

Dommage. Le sujet était très intéressant, peut-être un peu rude à traiter.

Une autre fois, je n'en doute pas.

Donald.

   Bidis   
19/9/2015
 a aimé ce texte 
Un peu
Quel dommage de traiter de la sorte un match de foot, sujet où même moi qui ait du mal à me lâcher, je sens que je mettrais plus de punch. Il passe à l'adversaire et le public n'est pas au bord du lynchage ? Même si ce public est un groupe de jeunes. Il y fallait un style haché avec quelques mots de vocabulaire footbalistique, même s'il ne s'agit que d'une phrase ou deux.
La résignation de l'enfant (et sa souffrance) aurait d'autant plus, par contraste, frappé la sensibilité du lecteur.

J'ai l'impression d'un sujet extrêmement fort pas du tout assumé, avec d'une part de superbes possibilités d'écriture et d'autre part l'occasion de dénoncer quelque chose d'abominable qui est entré dans une sorte de banalisation totale tellement elle est fréquente.
Entre "beaucoup" pour le choix du sujet et "pas" pour le traitement, j'arrive à "un peu"

   Anonyme   
16/10/2015
 a aimé ce texte 
Pas
Bonjour,

Je n'ai pas apprécié cette lecture. Le manque de crédibilité, l'absence de psychologie donne la désagréable impression que vous avez privilégié le spectaculaire à toute forme d'analyse.

La forme est egalement à revoir, surtout le debut. J'aime les phrases courtes mais là, elles sont mal utilisees. Ca dessert l'histoire car ca sonne faux (essayez de le lire à voix haute). Il aurait fallu décrire l'action, employer un vocabulaire propre au football. La surprise (le geste d'Enrique) n'en aurait été que plus grande et l'ensemble plus fluide.

Le reste de l'histoire est dans la meme veine. Pas la moindre protestation de la part d'Enrique, meme pas une petite rebuffade avant de céder? Pourtant, il vient de faire un geste fort, qui demande du courage. Je trouve qu'il est vite calmé, alors que les paroles de l'entraineur ne sont guères convaincantes.

Ce sujet fort, d'actualité a été traité de manière trop simpliste.
On n'y croit pas, du moins je n'y ai pas cru.

   costic   
17/10/2015
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
J'ai beaucoup aimé l'idée et la construction de la nouvelle. Le contraste avec le côté très moralisateur du sport et la réalité des faits est extrêmement bien décrit, pertinent et révélateur d'une des tares de notre société.
Un petit moins pour l'écriture qui pourrait être plus incisive. J'aurais personnellement trouvé plus adapté un récit au présent.
La lecture sait susciter une émotion profonde et une indignation certaine. Nouvelle qui a le mérite de susciter un questionnement critique intéressant.

   Mauron   
24/10/2015
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour Carbona, merci pour ce texte qui aborde un sujet fort (disons aussi, un sujet "porteur" et à la mode), mais de façon trop rapide et trop peu cohérente à mon sens. Texte "à chute", bien sûr, néanmoins je partage l'avis de ceux qui ont trouvé plus de spectaculaire que de justesse psychologique dans votre nouvelle et je ne relèverai pas à mon tour les incohérences déjà relevées. Je ne me prononcerai pas non plus sur l'exactitude ou non de la peinture du monde du foot, vu que je ne l'ai jamais approché ni de près ni de loin.
En revanche, je trouve que votre récit aurait dû être écrit à un autre temps que le passé simple, temps de l'écrit alors que tout, dans votre style comme dans le sujet choisi est du côté de l'oralité. présent ou passé composé.


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