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AlexC
23/10/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Tout d’abord, joli titre. Belle trouvaille. J’ai bien aimé cette histoire de plume. De cette exclusion qui tourne à l’obsession et au petage de câble. La montée de la pression est bien orchestrée, il n’y a pas un phrase de trop et l’on est impatient de savoir pourquoi cette mode plumée sévit à la rédaction. La réponse est si logique et si surprenante, qu’elle me laisse un peu déçu (car je m’attendais à quelque chose de loufoque) mais je suis aussi complètement conquis par l’idée du test psychologique grandeur nature. La fin est un tantinet exagérée, mais il faut au moins cela pour conclure cette histoire qui mérite sans nul doute sa place sur la page des faits divers ! L'écriture pourrait être un peu plus étincelante et l'humour peut-être plus tranchant, mais la nouvelle se lit de bout en bout sans vraiment tiquer. Donc, ça passe bien comme ça. Originale, amusante et agréable à lire, voici une bonne nouvelle. Merci. |
in-flight
27/10/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Une vengeance féminine (sur une femme) sur fond d'enquête sociologique bancale... Bon, j'ai eu le vague sentiment de lire le synopsis d'un épisode de "caméra café" (série que j'aimais beaucoup). Mais un épisode raté. L'écriture ne m'a pas embarqué, les personnages sont caricaturaux et la chute est disproportionnée. Désolé: sans moi. Quelques remarques: Au top, se réjouit Béa --> "Au top !" pour plus de clarté. Saprisfoutre !--> à tes souhaits! "... appuie délicatement et sensuellement sur l’encoche « déca sucré ». Franchement là, elle peut se le permettre, elle est tellement contente, ça se fête. --> oh là là mais quelle fougue cette Béa! on peut la lire sur les tous les visages. --> sur tous les visages On peut passer à l’orgie gustative --> pour un choco cake? Béa est placée en hôpital psychiatrique. --> ah quand même! C'était le cake de la discorde. |
Anonyme
13/11/2015
a aimé ce texte
Bien
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Le genre humour/détente n’est pas le plus facile à aborder en écriture. Il faut, c’est certain, beaucoup d’aisance.
Vous vous en sortez pas mal. Si je me suis un peu paumée essayant de coller les prénoms avec les fonctions de chacune, je me suis laissée facilement embarquer dans l’intrigue. Vous avez su créer et tenir le suspens, allant crescendo, et l’ambiance d’une salle de rédac’ doit drôlement ressembler à la vôtre. Super idée que l’analyse des mœurs menée grâce à la plume. J’ai mordu à l’hameçon bien appâté et me suis délectée des rebondissements. Cependant vous avez forcé le trait de la chute, qui, sans être désagréable me fait penser à l’humour qui s’emballe et pète un câble dans certaines séries américaines déjantées. Mais pourquoi pas, après tout nous sommes là pour rire. ^^ Merci pour la lecture et à de prochaines aventures. |
Pepito
13/11/2015
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Bonjour Carbona,
Forme : écriture plaisante, avec quelques petites saillies genre "allures de pisse-moins-froid". Fond : je me répète, mais la catégorie "Humour" est à fuir comme la peste. Cela fait penser au quidam qui débarque en beuglant "J'en ai une bien bonne !"... rien de mieux pour faire un bide. Idem pour la catégorie "Horreur/épouvante". Peut-être ai-je trop reconnu la futilité des discussions de ma propre machine à café pour apprécier pleinement. J'ai souri au "gamin qui cherchait une plume (lui aussi)" et j'ai lu tout le reste sans rien sauter. Merci pour la lecture. Pepito |
alvinabec
13/11/2015
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour carbona,
J'ai trouvé qu'on démarrait bien, qu'il y avait un rythme certain dans une écriture saccadée raccord avec la vie d'un journal. L'épisode de la plume me semble très long et l'intrigue que vous en tirez bien mince à mon sens. Forcer la sémantique à servir à tout prix un ton drôle peut à la longue , d'une part lasser votre lecteur, d'autre part avoir un effet boomerang sur le récit qui en pâtit. La chute m'apparaît en rupture complète...dommage que la journaliste n'ait pas eu un brin d'humour...de là à finir à l'H.P., euh oui, oui entre des fraises et des plumes. A vous lire... |
Vincendix
14/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quelle histoire !
En lisant ce récit épique, j’ai retrouvé des lieux communs, le décor, l’ambiance, les personnages, tout est criant de vérité ! Le concours de pétanque de Porçalu, je connais…celui de Munster aussi… Ce parfum d’authenticité me laisse supposer que cet écrit est l’œuvre d’un « homme de plume ». L’intrigue est originale et pas si éloignée de ce qui pourrait se produire dans le microcosme d’un hebdo ou d’un quotidien, les idées farfelues fleurissent, surtout après un anniversaire ou autre évènement un peu trop arrosé. Un texte humoristique certes mais avec des gouttes de vinaigre, je devine en filigrane les rivalités entre collègues, soupçon confirmé par le dernier paragraphe. |
Donaldo75
14/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Carbona,
J'ai beaucoup aimé cette histoire et le rythme progressif du pétage de plombs. L'écriture est adaptée, à la limite du communiqué tel qu'on en lit dans les agences de presse, avec cette ponctuation temporelle qui donne encore plus un côté "actualités" au texte. Du coup, le déroulé de l'histoire résonne comme du direct. C'est ce que je trouve fort dans ce choix stylistique parce que justement, au risque de se voir critiquer pour une écriture a priori trop sèche ou pas assez riche, tu as réussi à créer une ambiance journalistique, sachant que les protagonistes sont avant tout des journalistes. C'est culotté, à mon goût et j'aime ça. L'intrigue est bien menée et je me suis retrouvé dans la curiosité exacerbée de Béa. D'ailleurs, la question qu'on peut se poser, en tant que lecteur, est la suivante: aurais-je mis une plume dans de telles conditions ? L'explication donnée par Laetitia tient la route, souligne le côté superficiel de ce journal - déjà mis en avant par la proposition de Norbert - et ajoute un côté "dîner de cons" à l'histoire. Béa est le dindon de la farce, même s'il n'y avait pas forcément d'envie de faire mal, de la part de Laetitia. Bref, c'est millimétré, avec des remarques savoureuses sur le monde du journalisme, des vacheries bien senties et un fin sans morale, qui ne prend pas position ni pour Béa ni pour Laétitia. Bravo pour la précision dans la déconnade. Merci pour la lecture, Donald |
Blacksad
15/11/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Idée plutôt originale et c'est ça c'est un très bon point =)
L'écriture est bonne même si par certains côtés trop "explicite", comme si le lecteur était un enfant, je prends un exemple : "OK, ben je suis contente d’avoir pu t’aider, ment Béa" -> on a bien compris qu'elle ment... le souligner est inutile. Personnages caricaturaux mais bon, vu la rubrique, je ne pense pas qu'on puisse considérer ça comme un défaut. Le fond ne m'a pas parlé : ces querelles de bureau, cette description des mesquineries et futilités d'une rédaction, de la vie au travail... et la chute brutale ne colle pas avec la rubrique. A moins que ce soit de l'humour noir, en ce cas il n'est pas assez grinçant à mon goût. La thématique sur "les moutons de Panurge" est intéressante mais mériterait d'être traitée autrement, plus "sérieusement" peut-être ;-) Texte sympathique au global mais j'avoue l'avoir trouvé longuet et avoir forcé ma lecture pour arriver à la chute... |
Janam
15/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une écriture alerte, plutôt "girlie", qui convient bien à cette histoire que j'ai lue avec beaucoup de plaisir.
Non, je en crois pas que cela soit une caricature, mais plutôt l'évocation d'une réalité pas forcément triste : on a bien le droit de se comporter légèrement et d'ailleurs certains ne devraient pas en manquer une seule occasion ! La "pression de conformité du groupe", mais c'est un véritable tyrannie qu'elle exerce sur nous, et sur moi-même d'ailleurs quand je rédige ce commentaire (!), et ce texte nous l'évoque délicieusement. Un petit bémol pour la fin que je trouve un peu expédiée et moins inspirée, et où l'on sort vraiment la grosse artillerie pour conclure rapidement. Il n'en reste pas moins que je me suis régalé. Et merci ! |
hersen
15/11/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir Carbona.
Je ne m'y retrouve pas trop dans cette histoire un peu...rose bonbon. Mais comme je ne suis pas une spécialiste des ambiances de bureau, je ne peux comparer avec la réalité. Sans doute êtes-vous dans le vrai ( mais un gâteau chocolat-Tagada, je ne savais même pas que ça existait ! Que les femmes se mettent toutes une plume dans les cheveux, d'accord, mais les hommes, là, je trouve que c'est beaucoup et que ça rend la " capitulation " de Béa irrationnelle car la situation est trop grotesque. Le thème du mouton de Panurge est une bonne idée et le fait que dans le panel seul un gamin ait marché la rend encore meilleure. Seulement voilà, il aurait fallu s'arrêter là pour qu'ainsi nous restions sur une note légère...comme une plume. Personnellement, la " gueule " dans une tarte à la crème, le burn out et les HP, ça ne me fait pas trop rire. Bien entendu, c'est écrit correctement, peut-être quelques petites anicroches comme les prénoms du début ( Béa et Babeth ) un peu trop semblables. Merci pour cette lecture |
Anonyme
16/11/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Dans votre nouvelle, on sent bien l'atmosphère de salle de rédaction de journaliste. C'est très précis, très réaliste. Peut-être êtes vous journaliste. Quand à la petite mise en scène sur l'étude des comportement mimétique, c'est très sympa. La chute est excellente très courte, concise, et efficace. |
carbona
18/11/2015
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aldenor
18/11/2015
a aimé ce texte
Bien
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Une histoire simple, sur une idée amusante.
L’écriture est directe et légère, dans le style Pancol me semble-t-il. La répétition de la même situation avec la plume est cependant un peu lassante et je trouve la fin assez outrée. |
Anthyme
18/11/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un « Bien » car le texte est aéré, léger à lire, ce qui soutient le dynamisme chronologique de la « non-action » décrite.
Un « ↑ » car satisfait par la chute que l’on pressent/attend en abordant « du carbona ». Je ne peux malheureusement aller au-delà de ce « Bien ↑ », à cause de cette fameuse « non-action » si peu conforme à mon tempérament, passivité objective qui m’empêche d’intégrer la narration : Impossible en effet de m’imaginer comme étant un des « complices » emplumés ; impossible également de m’approprier le personnage de Béa, avec ses quatre heures de non-réactivité. Pour illustrer : À 8 heure je vois la première plume. À 8 heure 02, j’ai réalisé que tout le monde en a une. À 8 heure 08, je ne doute plus que mes collègues me cachent un truc initiatique. À 8 heure 09, je décide de ne pas les faire parler sous la torture. … et à 8 heure 12, bisque-bisque rage … … … … hé hé hé … insoutenable suspens … … … … À 8 heure 12, je fais mon boulot habituel, coiffé d’une gigantesque cocotte en papier pliée dans le planning de la semaine. À eux alors de me questionner ! C’est moins « gore » … mais plus « moi ». … … … … Au plaisir d’encore scruter l’entrebâillement de votre porte, chère Céline. … … … … Aller hop ! « Bien ↑↑ » pour m’avoir suggéré ce commentaire ! |
Blitz
2/12/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Désolé Carbona, je n’ai pas accroché. J’ai trouvé l’histoire ‘tirée par les cheveux’ et pas convaincante. J’ai eu du mal à aller jusqu’au bout et j’aurais peut-être dû m’arrêter car j’ai aussi été déçu par la chute, pas trop crédible.
C’est par contre bien écrit, même si le style est quelquefois un tantinet trop léger. J’ai bien aimé quelques clins d’œil savoureux comme « le bonbon acidulé que les hommes rêvent de croquer », « avec un boitier comme le sien », « Natacha fait péter le fermoir », « l’art de dépecer la volaille »… Dans le quatrième paragraphe, à propos de Josy, on s’attend à des choses plus « graveleuses » lorsqu’est suggéré que les « risques sont moindres ». Comme le remarque fort justement un autre commentaire, publier dans la rubrique « humour » semble bien ‘casse-gueule’ et à moins de s’appeler Raymond Devos, je ne vois pas trop ce qu’on peut proposer d’intéressant. Mais vous avez essayé un truc et c’est ça le plus important et ce que j’aime chez Oniris ! Il faut que je tente aussi le coup un jour.. |
Bidis
11/12/2015
a aimé ce texte
Bien
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Cette histoire est écrite de façon naturelle et pétillante et elle intrigue, ce qui offre un bon moment de lecture. J’en déplore seulement le début et la fin.
Le début parce qu’il comprend une longue description, extrêmement vivante et colorée, d’un des personnages, et que cela déséquilibre l’ensemble, puisque aucun autre personnage n’est décrit par la suite. La fin parce qu’elle est excessive. Ce test de la plume (qui m'a rappelé des expériences du même ordre vues sur Internet) est vraiment trop anodin que pour conduire quelqu’un à la dépression. Encore s’il s’agissait de l’expérience de Milgram ou d’une autre du même acabit où la vie même des sujets est (ou semble être) mise en jeu ! Mais ici, pour un sujet piégé, il y a vraiment matière à rire et non à perdre les pédales, surtout quand ce sujet paraît parfaitement équilibré, normal, comme la narratrice de l'histoire. |