|
|
hersen
14/3/2016
a aimé ce texte
Bien
|
Je suppose que Giuseppe est Giuseppe Arcimboldo, car avec des légumes de toutes les couleurs...
L'idée du monde en noir et blanc est très originale. Mais finalement, avec un peintre dans chaque maison de riche, on retombe dans le personnel de maison, le même processus : on paie des gens qui doivent nous servir. Même si on semble respecter les qualités de "son" peintre. Et si un matin Giuseppe n'a pas envie de peindre, s'il a envie de faire autre chose, que dira Eustrège ? sera-t-elle d'accord pour qu'il ne "travaille" pas ? Je trouve une certaine ambiguïté dans cette histoire. Le monde serait noir et blanc et il faudrait donc certains moyens financiers pour profiter de la couleur. Je ne comprends pas trop le message. Bien que les fillettes échangent les couleurs (la riche donne à la pauvre), je ne vois pas de message fort. C'est un texte plaisant si on ne se pose pas toutes ces questions. Et peut-être que j'en pose trop ? |
lala
6/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour carbona,
J'ai lu votre histoire comme un conte. J'ai été séduite et emportée par les "tranches de pain d’épices avec de la marmelade d’églantine". Ensuite, j'ai trouvé les dialogues avec Giuseppe un peu longs, pas assez directs, à cause des incises ou des relances. Le final est tout tendre, happy end ! J'en retiens que chacun peut mettre un peu de couleur dans son quotidien, éviter la routine, oser... Aimer changer ! A méditer et à mettre en oeuvre (il y a du pain sur la planche...). |
melvin
6/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Carbona,
Une très belle idée que ce monde en noir et blanc révélé par les couleurs de peintres un tantinet facétieux. Vous apportez une vision, toute en délicatesse, sur la créativité et son origine : nul besoin de naitre peintre pour enluminer le ciel étoilé, mais des rêves, des désirs et de la volonté … J’ai beaucoup aimé le « sourire lutin » de Léontine et la vision de la ville colorée qui m’a ramené vers le « petit pan de mur jaune » de La Vue de Delft (belle association libre me direz-vous). Vous remerciant pour cette agréable lecture |
henriette
6/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'ai l'impression de lire un tableau en 3D -
on part du concret pour entrer dans l'abstrait , du noir et blanc pour les couleurs , c'est un jardin extraordinaire où le peintre est jardinier ou vice et versa et tout cela écrit avec tant de fluidité que l'on se glisse dans et en dehors du tableau comme par magie . C'est simple , limpide , coloré , gracieux , fantaisiste . "un peintre est une affaire intime. Je vous rappelle que c’est quand même lui qui peint vos petites culottes !" j'ai adoré ! merci |
vendularge
6/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'aime beaucoup cette fable parce qu'on y entre de plein pied, immédiatement comme nous le ferions pour une situation habituelle.
C'est original et bien écrit, la forme permet une lecture aérée, tout est à sa place. Ce texte ne me pose aucune question existentielle, je n'ai pas lu qu'il était dit que seuls les nantis ont un peintre "intime" mais peut être est-ce sous entendu. Bref, une lecture agréable, un projet bien conduit. Merci, Vendularge |
Misou
7/4/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Le texte est bien écrit. Je ne m'attarderais donc pas sur le style sauf peut-être le "dormir que d'une oreille" à la fin qui fait bizarre/répétition puisqu'on vient de dire qu'il s'était assoupi.
Ce texte est très mignon. Cela en fait une lecture agréable. Mais il est un peu trop niais peut-être. On nous présente un univers singulier mais il manque une intrigue. On en reste à la présentation. La fin/morale sied bien au conte, mais elle est abrupte car il manque un élément narratif. Bref, si l'idée est belle, c'est trop court. Il manque un questionnement de fond. Enfin, on tarde trop (ou alors c'est juste moi qui suis lent) à comprendre que ce monde est en noir et blanc. Pendant un long moment on comprend juste qu'il y a un truc avec les couleurs. Le dialogue au début m'a embrouillé (avec les noms et surnoms, qui est qui) et la remarque du père en noir et blanc est perturbante. Le père ne servira plus dans l'histoire. Le noir et blanc sort de nulle part. Et puis, finalement, qu'y a-t-il de choquant à le voir en noir et blanc puisque ce sont les couleurs de base de ce monde (bien qu'on puisse imaginer que dans cette noblesse, cela ne se fasse pas). Un beau conte bien écrit, mais une bonne idée pas assez travaillée. |
Donaldo75
17/5/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Bonjour carbona,
J'avoue avoir été surpris par ce texte, surréaliste dès le début. Je ne sais pas sur quelle piste j'étais entraîné mais je me suis perdu, même si le passage sur les peintres m'a fait croire un instant en une écriture picturale. Je ne sais plus. Les dialogues oscillent entre des réflexions enfantines et celles plus conventionnelles d'adultes sur des sujets finalement sans importance, à part le passage sur les peintres. En cela, je n'ai pas accroché. Dommage, parce que j'aime l'originalité. Une prochaine fois. Donaldo |
mimosa
19/4/2016
a aimé ce texte
Un peu
|
Bon, le style est agréable et les dialogues sympas, naturels: on s'y croirait! Mais une fois compris qu'il s'agissait d'un autre monde j'ai attendu le suspense, l'intrique, l'évènement... car en fait il semblait qu'il devait "arriver" quelque chose: et bien non! et j'avais donc aussi faim après qu'avant... c'est décevant.
|
carbona
3/5/2016
|
Remerciements et explications, ici : http://www.oniris.be/forum/quelque-part-dans-le-ciel-des-etoiles-t21965s0.html#forumpost290943
|
MissNeko
20/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Quelle idée originale !
J ai beaucoup apprécié cette lecture tout en couleurs et en noir et blanc. Si seulement on pouvait décider de notre couleur de cheveux !!! Ça serait super !!! |