|
|
victhis0
27/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
beaucoup d'ambiance et de singularité dans le style, très précis, très littéraire sous ses fausses allures de ne pas y toucher.
Le parallèle entre le belouga et le photographe ne saute pas aux yeux, c'est u peu dommage peut être de juxtaposer une histoire (celle des funérailles d'un belouga) et une ambiance (un studio photo vieillissant) dans un seul récit. C'est certes original mais un peu artificiel à mon goût. Celà reste tout de même un bon texte par un auteur qui connait son affaire. |
solidane
27/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Des vies posées côte à côte (le vieux, la fille), un passé juxtaposé, à moins que ce ne soit le contraire. J'ai toujours du mal avec ce type de nouvelle d'autant plus quand c'est bien écrit comme ici. L'impression de regarder une photo qui ne fait pas vraiment partie de ma vie, qui n'a rien de surprenant, qui n'est pas magnifique (la photo)... une simple photo.
|
nemson
27/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Ce que je trouve admirable dans ce texte, en premier lieu, c’est le rythme : Un pouls réglé au micron, une pulsation quasi hypnotique, le tout allié à un ton d’une tiède mélancolie qui donne à la lecture un sentiment d’agréable simplicité (pour moi l’effet le plus dur à obtenir).
Le style est opérant, brut mais clair. De belles images, des façons originales et efficaces de décrire une scène en quelques mots, sans perdre le souffle du départ. C’est émouvant et maitrisé donc réussi. |
donif
28/6/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Désolé, je n'ai pas été emballé du tout. Ni par l'histoire, que j'ai trouvé banal, ni par le style, à mon goût assez lourd. Pourtant, les sujets choisis seraient susceptibles de me toucher.
Mais surtout, on cherche tant bien que mal le lien entre les deux vies narrées, et ce lien n'arrive pas (ou m'a-t-il échappé?). Dommage. |
Anonyme
28/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour catox,
J'aime beaucoup l'originalité de l'écriture, sa musique très particulière, ces dialogues qui n'en sont pas, intégrés de cette façon au texte, ils donnent au personnage une aura très particulière. J'aime beaucoup le rythme, une bien belle écriture. "il parlait comme quand on est tout seul avec plein de sentiments dedans." j'aime particulièrement cette phrase. Tout le passage qui commence par "A Vancouver" est un réel plaisir. Ca n'en a pas l'air mais c'est très poétique et surtout, très musical. Par contre, je n'ai pas accroché à l'histoire. Je suis passée totalement à côté. Au plaisir de te lire. |
florilange
29/6/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
Le style est musical & agréable mais le serait encore + avec de ci de là quelques virgules manquantes. En fait, selon moi, il n'y a pas vraiment d'histoire. C'est comme lorsqu'on regarde 1 tableau puis 1 autre juste après. C'est beau, ça me plaît, ça fait rêver. Mais pas d'histoire, juste 1 fenêtre ouverte pour qu'on y glisse la sienne. Alors on poursuit le rêve...
Florilange. |
Lilas
1/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Des vies qui se superposent, s'entrecoupent, se chevauchent puis reviennent encore. Des marées, ponctuées de relents d'émotions offertes, une autopsie à vif dans le tracé sinueux de ce vieux photographe où l'on décèle quelques cicatrices à peine refermées ...
Me suis laissée porter par l'ambiance de ce récit ! |
colibam
2/7/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Un instantané de velours écrit sur un style et un rythme particulier. En lisant ce texte, je pressens que les lourdeurs, libertés de ponctuation et répétition n'en sont pas et participent à l'identité de la plume.
J'ai cherché le rapport entre l'épisode du bélouga, la fille et le photographe. Le corps laiteux et lisse, la pureté, la candeur des deux "créatures", l'une dont la mort reste immortalisée dans le souvenir du vieux, l'autre, bien vivante, qu'il tente d'immortaliser sur la pellicule. Mais peut-être n'y a t'il aucun rapport. Un haussement de sourcil à l'évocation du jardin. Mais non. Rien. Un instantané de velours... |
kullab
14/7/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour catox,
Comme victhis0, j'ai été surpris par ce parallèle avec l'histoire du poisson : une créature immaculée repose sur la plage, une belle femme sort de derrière un rideau de velours rouge, et l'on découvre que la créature immaculée est un poisson mort... Ca m'a fait un drôle d'effet. Je n'ai probablement pas tout saisi de la portée de ce texte mais j'ai apprécié l'écriture, que j'ai trouvée agréable et maîtrisée. |
Anonyme
13/12/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour,
j'ai apprécié ce récit, les pensées du vieil homme qui s'égarent, cette solitude ancrée, terrible, ces gens qui se cotoient enfermés dans leur monde respectif, étrangers les uns aux autres, et ces souvenirs aussi qui reviennent à la surface (sans jeu de mots), ceux qu'on retient parfois d'une vie, qui peuvent sembler anecdotiques à tout autre que celui qui les a vécus, je trouve tout cela très bien rendu. Le style me parle aussi, très expressif, avec une désinvolture étudiée, comme si l'écriture devait aussi se passer des métaphores le temps venant... En revanche, la rupture de temps me parait inexplicable, pas l'épisode du béluga échoué, mais quand le vieux y repense ou quand on suit l'évolution du rhabillage de la jeune femme et sa sortie dans la rue. Là, le présent s'impose toujours à mon avis, nulle raison de choisir le passé. On revient d'ailleurs au présent, donc je ne vois pas de logique ici. (en gros, selon moi, seuls les passages en italique devraient être au présent) Mais en dehors de cette réticence, le reste m'a plu. |