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Coline-Dé
18/2/2011
a aimé ce texte
Pas ↑
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Une sympathique petite historiette, d'une touche un peu démodée.
Elle n'est pas très longue, mais la minceur de l'argument ne se prête pas non plus aux grands développements. Il me semble même qu'elle pourrait avantageusement être encore élaguée, en particulier de tous ces "qu'elle était ceci, qu'il est cela" dont l'abus alourdit considérablement le texte. Bien sûr, c'est l'abbé qui parle et c'est comme ça qu'il s'exprime... mais quand même : élaguez, si m'en croyez ! car ajouté aux lieux communs sur la bonté de Dieu et les fleurs qui rendent ce qu'on leur a donné ( c'est au centuple, si j'ai bonne mémoire ?) ça fait un peu trop prêchi prêcha pour les mécréants que nous sommes devenus. Introduire quelques surprises ne serait pas malvenu : tout, ici, est bien attendu, et arrive gentiment à l'heure...ce qui fait qu'on s'ennuie un peu ! J'ai bien aimé l'expression " route de légumes" et le sermon en pensant à Finette, qui est le seul " pas de côté" de ce texte. |
costic
19/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une histoire au ton un peu désuet qui ne manque toutefois pas de charme.
On pense aux nouvelles d’un autre siècle, la morale ne manque pas d’intérêt … La soif dévorante rend vraiment les décisions plus difficiles à tenir . Une nouvelle agréable, un peu surannée. On peut peut-être imaginer que la même trame avec des personnages plus contemporains lui donnerait un souffle plus neuf et plus vif. |
Pascal31
8/3/2011
a aimé ce texte
Bien
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Une nouvelle sympathique et bien écrite. J'aurais aimé cependant plus de cynisme, plus de causticité... En l'état, c'est simplement gentillet. Cela se lit facilement, mais il manque un je-ne-sais-quoi pour épicer l'histoire, bien trop tendre...
Un passage m'a étonné, ceci dit : "L'abbé leur parla de choses qu'en principe il ne devait pas connaître, ou alors par les livres. Il leur parla de vie commune, de compréhension mutuelle, de confiance en l'autre." Je pense qu'un abbé sait ce qu'est la vie commune (il a dû grandir dans une famille composée d'un père et d'une mère, non ?), et connaît -probablement mieux que d'autres- la compréhension mutuelle et la confiance en l'autre ! C'est un passage qui m'a légèrement surpris, en fait. En résumé, une nouvelle agréable à lire, mais un peu trop lisse à mon goût. |
shanne
8/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Une nouvelle bien écrite et j'ai vraiment ri. Je me suis bien imaginée la vie tranquille régnant dans le village. Monsieur le curé n'a pas trop d'efforts à fournir même pendant la messe surtout celle de la semaine avec ces vieilles dames, un peu sourdes...Il est heureux avec Finette, une chienne qui sait se faire aimer. Et les années passent, et la mort les sépare. En réaction, un vrai sermon à ces petites dames, sourdes o k mais qui ont bien envie de retrouver le calme donc action de madame Huguette, un jeu relationnel bien décrit entre ces deux personnages. Eh, oui...Comment vais je m'en sortir ? ah, seigneur ! La bataille est perdue d'avance... Fou rire en lisant: Vous dites Madame Huguette ? Rien, l'abbé, rien...un petit verre de vin, peut être ? Ce brave curé serait-il devenu sourd ?... Bravo et merci à vous |
DouglasLejeune
11/3/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Un cure a un chien. Ce chien meurt, une paroissienne lui en colle un autre sur les bras!
Ca pourrait etre un bon debut. ici c'est la fin. Par ailleurs je ne comprends pas la chute: "Les hommes ! Tous les mêmes !". Ca fait reference a quoi? |
alvinabec
11/3/2011
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Charmante histoire dont le déroulé, bien écrit, n'offre guère de surprise. Votre texte, plus condensé, serait sans doute plus percutant. Bonne continuation...
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victhis0
11/3/2011
a aimé ce texte
Vraiment pas
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C'est encore plus niais que la "petite maison dans la prairie" et le niveau des dialogues rivalise du justesse avec ceux des Bisounours...Rarement lu un truc aussi cucul la praline, où chaque personnage est une caricature grossière ( ah le bon curé qui aprécie le bon vin : on dirait une pub des années 80 !) et où le style est à l'envi : pire qu'un sermon d 'une messe de province qui, pourtant, vaut bien le détour en terme de platitude...
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toc-art
11/3/2011
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Bonjour,
honnêtement, je ne vois pas l'intérêt de cette petite anecdote et j'avoue que je ne sais même pas quoi dire du fond (ou du manque de fond). J'en reste tout perplexe. je vais juste me contenter de vous faire part de ce qui me semble incohérent : les temps de récit. Vous démarrez au présent pour dresser le portrait du curé, soit. Mais dans ce cas, quand henriette l'invite, on devrait me semble-t-il revenir à ce présent, ce qui n'est pas le cas. bonne continuation. |
Charivari
11/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Mouais... Ça aurait pu être le rosier de madame Husson, ou le curé de Cucugnan, mais ça n'a vraiment pas la truculence de Daudet, l'humour grinçant de Maupassant. Alors, ce n'est qu'une petite historiette, sympa et plutôt bien écrite, mais sans histoire inoubliable, au style assez plat, aux dialogue insignifiants. Dommage.
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i-zimbra
12/3/2011
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je n'ai pas beaucoup plus aimé cette nouvelle que mes prédécesseurs. Mais il y a peut-être une intention dans la dernière phrase.
Si Mme Huguette ressert à boire au curé, c'est qu'elle aurait encore quelque chose à obtenir ? Je n'aurais pas eu l'esprit si mal placé s'il n'y avait eu plus haut : Citation : Il n'acceptait que très rarement de se rendre chez ses paroissiens. Il savait que, dans les villages, tout se savait toujours, et que les langues, surtout celles qui n'avaient que ça à faire, auraient tôt fait de colporter, de déformer et de gonfler l'événement. Il y aurait donc une chute, mais sans aucune cohérence avec le thème principal : Finette. |
Zaku
12/3/2011
a aimé ce texte
Pas ↑
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C'est en effet un peu gentillet cependant je perçois quelques bonnes intentions. Ce curé et sa chienne, ce semblant de vie de couple, ces paroissiennes manipulatrices sont des sillons à creuser. Par ailleurs ne dites pas tout; laissez au lecteur le soin de faire son cinéma. Quand au style, il mérite d'être apuré.
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Lunar-K
12/3/2011
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas grand chose à ajouter aux remarques déjà formulées par les autres commentateurs : j'ai trouvé cette nouvelle terriblement exaspérante ! Que c'est mielleux, et gentil ! Un moment, j'espérai une parodie de ces nouvelles de jadis, une caricature, mais non, même pas...
Au final, je n'ai trouvé aucun humour ni intérêt à cette histoire. Désolé. |
Anonyme
13/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le portrait de ce curé, qui semble plus attiré par les fleurs de son jardin que par son bouquet de paroissiennes m'a bien fait sourire.
L'écriture est agréable et me semble bien maîtrisée. Pour la suite, j'ai eu un gros problème : S'il paraît normal de passer du présent au passé pour parler de Finette, il me semble qu'il aurait fallu revenir au présent à partir de : "Une des vieilles, madame Huguette, l'accosta un jour :" ...Ou peut-être même un peu avant. C'est à mon avis une faiblesse qui pèse lourd dans le texte. Mais même en en faisant abstraction, j'ai trouvé le dialogue un peu poussif. Car hélas, tout est dit dans la présentation de la nouvelle (c'est sans doute une erreur) il n'y a donc pas de surprise à attendre. alors peut-être aurait-il fallu pimenter ce dialogue, laisser flotter un quiproquo, même si l'histoire est éventée. Par exemple, en introduisant un peu plus de ces apartés en italiques, qui donnent beaucoup de vie à la conversation. En conclusion, un ressenti assez mitigé. Vraiment dommage, j'avais bien aimé l'idée. joceline |
Anonyme
13/3/2011
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Un ton à la Alphonse Daudet très plaisant, je trouve. Tout coule bien, se boit comme un petit vin léger. Un bémol sur ces deux phrases :
"Quelques choux avaient été piétinés et la clôture avait été enjambée. Quelque visiteur mal intentionné (...)". Pour moi, commencer deux phrases consécutives par "Quelques" et "Quelque" est un peu maladroit. |
Perjoal
16/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'aime ce style. On imagine très bien le tableau. Par contre l'histoire... on dirait aussi un tbleau. Rien ne bouge. C'est domage car je m'attendais à l'arrivée du chien, et à une fin inatendue et humouristique.
Cela reste un bon texte |