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Anonyme
5/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Eh bien, voilà une histoire toute simple mais intense, je trouve ! Habituée que je suis des nouvelles "à chute", je me demandais comment vous feriez basculer la tension à la fin, comment vous désarçonneriez le lecteur : eh bien, il n'y a pas d'inattendu (sauf qu'il s'agit d'une liaison illégitime), pas de basculement, et c'est ce qu'il faut. C'est l'amour, voilà, bête et indestructible.
L'écriture minimaliste sert bien le sujet à mon avis. Un texte qui dit ce qu'il a à dire avec efficacité. |
macaron
6/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un court récit sans réelle surprise. Une sensibilité toute féminine avec des regrets qui n'en finissent pas, un amour qu'on ne peut oublier. Joliment amené!
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alvinabec
12/3/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Texte court où l'émotion se donne à voir entre les lignes.
Différer à ce point la lecture de la lettre de l'amant me semble un épreuve presque masochiste ( ou est-ce de l'amour tantrique?)... Ton efficace, style peu recherché, parfois plat, des répétitions mais l'auteur fait oeuvre d’authenticité. |
Anonyme
15/3/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
J'ai eu du mal à m'y retrouver, à cause de certaines ambiguités de référence des pronoms. Il m'a fallu trois lectures pour comprendre qui était le "nous", dans les différents paragraphes. Finalement, j'ai réussi à retricoter la chronologie de ces quelques lignes. La question est : suis-je fatigué(e), ou l'ambiguité est -elle réelle, et si c'est le cas, est-elle voulue ? L'incertitude temporelle dans laquelle je me suis senti(e) est renforcée par des temps parfois approximatifs (passage du passé composé au passé simple, par exemple). Sur le fond, j'avoue ne pas être intéressé(e) du tout par cette histoire de lettre aphrodisiaque et son traitement que je trouve assez rebattu... Ce qui est fort subjectif, je le reconnais. |
Acratopege
25/3/2013
a aimé ce texte
Bien
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L'histoire est vraiment touchante, peut-être justement à cause de l'ambiguïté qui plane. D'abord j'ai crû que l'absent était un fils trop aimé, que le "je fais l'amour avec toi..." concernait quelqu'un d'autre; et puis je ne sais toujours pas s'il s'agit d'un amant ou bien d'un ancien amour resté vivace et épistolaire. L'idée de la lettre laissée sur place au moment de partir en voyage, et qui à distance stimule l'imagination, excite les sens à cause justement de son absence, c'est une belle idée, et elle est bellement écrite.
Un moment de plaisir léger, cette lecture, et de nostalgie diffuse... |
brabant
26/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Charlotte,
Bon, suis allé lire les autres coms quand j'ai rédigé celui-ci, sauf celui d'Acratogège qui n'y était pas encore (lol), parce que je me demandais qui était l'auteur de la lettre. En premier lieu, je crois que nous avons tous fait ça, laisser traîner une lettre pour mieux en savourer la lecture. C'est donc une bonne accroche : "Tiens ! Et elle, pourquoi est-ce qu'elle a fait ça ?..." :) Ce texte est très féminin et j'en ai savouré l'élégance. C'est peut-être moi qui me trompe mais je n'avais pas vu ici la lettre d'un amant attendue par une amante - dans le péché - la dame eût été trop pressée de l'ouvrir, je n'ai pas vu de flammes infernales, de pression insoutenable, de passion transgressive, d'excitation irrépressible, voire de peur/crainte ni de doute, etc... etc... J'ai vu la lettre d'un fils à sa mère, qui raconte sa compagne, sa fille amoureuse là-bas à l'étranger et son petit-fils qui rappelle peut-être le grand-père disparu. Mais cette piste de l'amour filial est peut-être erronée. Vais aller voir le thème du bouquin de Djian. La clé doit être là. Déjà le titre : "Maudit manège". Oui, je dois me tromper ! Lol. Mais Djian ne m'a été d'aucune utilité :( Petite canaillouse va ! |
MissNode
26/3/2013
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Charlotte, je suis désolée, ce n'est pas vous, c'est ce texte-là (je suis allée zieuter vos écrits sur votre site, et poèmes comme nouvelles m'ont attirée bien davantage que celui-ci).
J'ai déjà eu du mal avec l'écriture. Exemples : "Elle était là, tant attendue, c'était l'essentiel, je pouvais attendre encore un peu d'en connaître le contenu" où j'ai trouvé lourde la répétition du verbe "attendre" - "au vu et au su de tout le monde qui ne voit rien, ne sait rien" où je trouve la tournure artificielle : le monde sait? voit? ou pas? Bref, je ne peut lire autrement que péniblement ces lignes où "ça" accroche toutes les deux phrases, où il me faut relire et relire pour imprimer une fluidité. Puis, ce propos, ce lyrisme, ces envolées "c'est tout toi entre ces lignes" ah non, pardon "c'est tout toi qu'il y a entre ces lignes" : question de goût, sans doute, et l'odeur trop forte des roses et de la violette m'a toujours incommodée. Pas d'autre chute que l'amour, "encore et encore" : comment dire... plus cette émotion est décrite, plus elle me fait l'effet d'être délayée, diluée, diminuée dans son intensité. Excusez-moi, ce sont ces mots-là sur ce sujet-là qui ne fonctionnent pas chez moi. |
Anonyme
26/3/2013
a aimé ce texte
Pas
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Bonsoir.
" Je fais l'amour avec toi depuis trois jours, au vu et au su de tout le monde qui ne sait rien " Je ne comprends pas. Il y a ici une incohérence énorme. L'ensemble de votre texte m'est apparu comme fade , insipide . Désolée. |
Lyl_mystic
26/3/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir,
J'ai ressenti une vive émotion en lisant votre texte qui ne m'a ni totalement déplu, ni vraiment subjugué : Je trouve regrettable que le style soit dépourvu de toute recherche, trop simple, avec des expressions trop parlées. Ça me rappelle Marc Lévy, Musso, Foenkinos, avec ce même esprit tragico-romanesque. Ce n'est pas la simplicité du style que je perçois comme une faiblesse mais plutôt l'absence d'innovation dans l'expression pour un thème aussi rebattu. Le genre de lecture qui donne l'impression de lire quelque chose de très intime mais avec un style presque dénué d'identité ou de profondeur. J'ai apprécié tout de même la franchise et l'émotion. |
ikran
27/3/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
rien d'immédiat n'a foudroyé ma lecture et je suis arrivé à la fin comme une vaguelette mourante et toussotante sur la plage. Pourtant j'aurais pleuré et je me serais abreuvé de chaque mot si cela m'avait été adressé. Votre intimité souffre peut-être de ce qu'elle est. Nous autres voyeurs avons besoin de vos mises à nu, c'est peut-être ce qui manque (n'y voyez rien de sexuel, c'est une métaphore) |
AntoineJ
1/4/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Agréable même si cela pourrait être plus travaillé
Ne rien dire du contenu est très bien (à chacun d''y mettre ce qu'il veut Pourquoi autant de voyages ? pour narrer l'éloignement ? J'aurais encore plus insister sur l'aspect "je me retiens" ... Ceci étant, à la fin, il manque quelque chose pour conclure (la lettre disparait ? il fallait à tout prix faire un truc dès sa réception ?) |
Menvussa
4/4/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bien aimé ce petit texte. Des sentiments livrés avec pudeur. Le ton me laisse à penser qu'elle ne le reverra peut-être jamais se contentant d'une correspondance aléatoire, comme bribes d'un passé révolu revenant comme en un rêve.
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Pouet
6/4/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai lu sans déplaisir ce court texte.
En revanche la fin est fort décevante à mon goût. Il ne se passe rien en fait. J'ai trouvé aussi trop de répétitions du mot "amour" même si c'est de cela dont on parle, j'ai bien compris. "Je fais l'amour avec toi depuis trois jours", "être dans tes bras après avoir fait l'amour" puis juste après "tu me parles de ton amour pour moi". "commentaires" aussi utilisés deux fois de façon assez rapprochée, je trouve que pour un texte si court cela mériterait d'être évité. Bonne continuation |
Ioledane
2/5/2013
a aimé ce texte
Bien
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Une histoire d'amour illégitime et tentant de survivre à l'absence, se dessine peu à peu, se teinte d'émotion au fil des lignes.
Le style est simple et sans fioritures, j'aime assez. Cependant je note quelques maladresses : - la répétion "attendue" / "attendre" en 3ème ligne - l'errance des temps entre passé composé, passé simple, présent - "c'est comme d'être dans tes bras" : le "d'" est de trop. Vraiment apprécié l'émotion très présente dans les quatre dernières phrases. |
Laroche
17/6/2013
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour. Cela m'a fait penser au magnifique poème de Marie Noël (et qui est aussi son plus connu):"Quand il est entré dans mon logis clos...", mais là où le quotidien chez la poétesse auxerroise est une antithèse parfaite à l'intensité du moment exceptionnel, le quotidien ici semble une mièvrerie en accord avec la mièvrerie de cette passion qui semble bien tiède. N'est-on pas un peu dans des amours "torrides" à la Emma Bovary?
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Asrya
24/8/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J'aimais bien l'idée, le début m'a vraiment séduit.
Retarder l'ouverture d'une lettre pour mieux la savourer. Très intéressant ! Seulement, je trouve que le récit manque d'intensité. L'envie, le désir d'ouvrir et de connaître le contenu de la lettre ne se sent pas assez à mon sens. La lettre est là, et cela suffit ? J'en doute. Dans ces circonstances, il me semble que n'importe qui se questionnerait, inonderait ses pensées de multiples et tortueuses interrogations. Un peu décevant. L'ouverture de la lettre est rapide, racontée, sans en connaître le contenu. Nous lecteurs, ne pourront que supposer les "mots, les serrements de cœur, les larmes de tendresse aux coins des paupières." sans pour autant en profiter pleinement. Un texte qui ne m'a pas ému réellement, je n'ai ni ressenti "l'amour" ni la "passion" Ce n'est pas désagréable à lire, mais cela n'est pas exhalant, Merci tout de même pour votre récit, Au plaisir de vous lire à nouveau, Asrya. |