|
|
xuanvincent
13/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un bel hommage aux marins-pêcheurs, j'ai apprécié cette nouvelle.
La musique, du compositeur et pianiste Didier Squiban (un de ses albums, reprenant des airs bretons traditionnels, me plaît beaucoup), a donc fait naître ce texte, que j'ai trouvé très bien écrit, rempli de poésie et émouvant. |
Menvussa
13/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
C'est très beau. j'ai trouvé au début que c'était un peu chargé, trop détaillé et cela empêcher le récit de s'envoler. Mais cette impression n'a pas duré.
Un bel hommage rendu aux disparus, à ces enfants que la mer, jalousement, a su garder pour elle. |
Anonyme
13/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Très beau texte, très belles phrases, beaucoup de poésie.
J'aime en particulier ce que la nouvelle laisse supposer. Très bien écrit. Les décors sont bien rendus. Le fils est très attachant. Merci Colibam. |
widjet
14/4/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Un auteur qui sait faire voyager son lecteur, d'un lieu à un autre, d'une époque à une autre. Une jolie histoire écrite d'une plume désormais aguerrie. Bon, n'ayant pas le pied marin (je dois être malade sur un pédalo moi !), je n'ai pas été étreint par l'émotion, mais je salue la fluidité et la pudeur de récit une fois encore bien écrit. Ca fait plaisir.
En seulement 4 textes (en dépit de son raté en souvenir des feuilles mortes ), Colibam rentre dans le club restreint des oniriens confirmés. Bravo W PS : Pierre, notre auteur amateur de kayaks, devrait apprécier EDIT : Non Flupke, cette belle phrase a déjà été écrite par un (voire des) auteur(s) bien avant Colibam. Neanmoins, c'est très bien de l'avoir reprise |
clementine
13/4/2009
|
Touchant et pudique, l'écriture est un vrai délice.
Un témoignage et un hommage aux "gens" de la mer qui ne peut laisser personne indifférent. |
Selenim
13/4/2009
|
Contrairement à Battements d'Elle, pudique et achevé, j'ai été dérangé ici par l'aspect tire larmes du récit.
L'écriture est empesée pour susciter l'émotion. Il n'y a pas, à mon gout, assez de spontanéité. L'histoire aurait gagnée en sentiments ce qu'elle aurait perdu en effets de manche. Selenim |
Anonyme
13/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Très joli texte qui ne peut laisser indifférents ceux qui ont approché les gens de la mer...
Une très belle écriture aussi merci j'ai relevé deux détails dans la forme: our après jour, année après année, j’ai posé mes filets, les ai remontés, les lèvres chargées de sel, les cheveux crissant d’écume. (ici on se doute bien que les lèvres c'ets l'auteur mais ...) Et le soir, quand le vent tombe et que tout se tait, j’ai vu les poissons s’endormir sous les miroitements mordorés du soleil couchant. (et ici... les temps seraient les même ce serait mieux non?) sinon particulièrement aimé: Mais quand un parent perd un enfant, dans aucune langue de la terre il n’existe de mot pour exprimer ce qu’il devient. Je regarde le sable filer entre mes doigts de solitude Merci Xrys |
Anonyme
13/4/2009
|
Cet hommage part d'une bonne intention. La plume de l'auteur de "battements d'Elle" est magnifique.
Mais le lyrisme appuyé du texte dessert l'émotion et peut agacer les gens de mer. Je parle en connaissance de cause. C'est dommage car il y a des passages sublimes comme celui-ci, tout en retenue: " quand un parent perd un enfant, dans aucune langue de la terre il n’existe de mot pour exprimer ce qu’il devient." |
Anonyme
14/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour colibam ! Une bien belle plume pour rendre hommage aux marins-pêcheurs de la Côte des légendes que l'on appelle aussi Pays Pagan, là où se situent la plupart des histoires de naufrageurs. Beaucoup de lyrisme au fil des mots... peut-être un peu trop car ça ne colle pas vraiment avec l'esprit local qui a toujours accepté, avec un certain fatalisme, les fortunes et infortunes de mer. Merci pour eux...
|
Bidis
14/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Ce texte que, pour ma part, j'ai trouvé bien écrit, imagé, poétique m'a laissé une impression de mélancolie et de beauté.
Deux petites choses m’ont heurtée : - Le « jus âcre des bruyères » : ce « jus » me paraît bizarre, je ne comprends pas du tout à quoi il peut bien se référer. - « La vieille dame referme le livre » : il ne s’agit pas de livre mais de carnets. |
Flupke
14/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Bonjour Colibam,
Joli texte, bien écrit. Très belle trouvaille : "Mais quand un parent perd un enfant, dans aucune langue de la terre il n’existe de mot pour exprimer ce qu’il devient". C'est de toi ? Non pas que je suggère le contraire mais simplement pour mes références personnelles. Avec une phrase comme ça tu entres dans la catégorie des auteurs ultra citables. La langue des homo sapiens deviendrait-elle normative d'une échelle de malheurs ? Bravo. Amicalement, Flupke |
victhis0
15/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
J'ai grandi au bord de cette mer, je la connais bien. Mais je nai pas retrouvé ici l'ambiance marine qui m'est chère. Assurément, le style est très littéraire, trop peut être. Trop de lyrisme, trop de phrases au vocabulaire trop choisi, presque maniéré.
C'est dommage car le fond demeure sincère : plus de c dépouillement d'"écriture nue" comme dit un immortel, aurait servi le propos. Félicitations quand même pour la maîtrise de la langue. |
Marite
16/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
« J’ai effleuré la peau douce du monde,… »
« J’ai laissé mon chagrin couler dans la mer, … » « Je regarde le sable filer entre mes doigts de solitude,… » Ce sont les trois phrases que je retiens. Elles sont très belles. Elles vont rejoindre dans ma mémoire les quelques autres qui servent, comme ça, au fil du quotidien, à donner une bouffée d’oxygène à l’âme et au cœur. Merci Colibam pour ce très beau texte. |
Nicolas
19/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
On lit cette nouvelle comme on écoute de la musique. Le style coule comme une jolie ritournelle. Les mots sont choisis, bien choisis, ils font mouche. J'adhère à fond à ce rude univers marin. J'ai pris un grand plaisir à te lire, bravo Colibam
|