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Robot
14/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Grâce à l'écriture assez froide et sans fioritures les scènes qui nous sont exposées parviennent à susciter un malaise qui oblige le lecteur à ressentir et à vivre les courtes séquences rapportées ici.
Il y a de la tragédie dans ce récit mais sans lyrisme excessif. On peut presque vivre celà comme représenté sur une scène théâtrale. |
Vilmon
14/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai bien aimé ce style scénario de pièce de théâtre, avec la ligne de temps à rebours. Il y a des réactions psychologiques post traumatiques intéressantes. C'est écrit avec simplicité, mais il y a une réflexion qui progresse chez le lecteur. Peut-être qu'il aurait été intéressant d'indiquer quel lien uni Gisèle et Joris.
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wancyrs
15/10/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Salut,
Dans ce genre de texte on y entre ou on n'y entre pas ; moi je suis resté au seuil. J'ai bien perçu le travail, l'envie de susciter quelque chose, mais j'aurais aimé avoir plus d'éléments... les personnages de Joris et Théo sont bien emmenés. Mais la mère qui sort de nulle part pour mourir dans les bras de son fils en lui demandant de prendre soin de son petit frère fait un peu trop cliché et manque d'originalité. Oui, on parle de bruit d'explosion, de fumée de grenade, de sirène de police : cela est-il suffisant pour nous renseigner ? Pour moi le tout aurait été crédible si peut-être Joris retourne le corps de sa maman pour trouver une grosse tâche de sang dans son dos par exemple... Le texte en l'état, je ne peux l'apprécier... Bonne chance pour le concours. |
Geigei
15/10/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Ce pourrait être un scénario ramassé pour le concours "Hlm sur cour(t)"
Court ? Non Littéraire ? Peu. Par essence, un scénario est très descriptif. Quoique. 1. Le lecteur doit comprendre que Joris tente de se suicider car il ne supporte pas la violence de la cité. Au tout début, du moins. 2. La phrase "t’as juste besoin d’un peu d’aide pour pas pousser de traviole." de la vieille GISÈLE serait la patte de l'auteur.e, pour donner du sens. 3. Théo, un jeune autiste, est harcelé. Joris le défend. 4. Mort de la mère de Joris, victime de la violence... ?? Atypique ? Oui, parce que la forme est celle d'un scénario pour un futur court-métrage. Mais cela n'est atypique que sur ce forum. Une lecture fluide. Cinq personnages. La somme "suicide" + "problème psy" + "mort d'une mère dans les bras de son fils" = un récit misérabiliste dérangeant. Pas ému. Contrarié car perplexe quant à l'intention. |
Cox
25/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Je dois dire que ce texte m'a un peu redonné foi dans l'intérêt du concours qui ne me semblait pas toujours évident. Proposer un script est judicieux puisqu'effectivement, Oniris aurait difficilement pu le publier dans ses catégories existantes (encore qu'en laboniris, bon...). Le concours propose donc ici une ouverture vers de nouvelles formes intéressantes, et en l'occurence un texte qui me plaît bien. Les codes majeurs du format sont respectés (sans la mise en forme). On retrouve une neutralité de ton qui est caractéristique de ce médium puisque ça reste un document technique plutôt que littéraire. Je relève un bon équilibre entre répliques et lignes d'action, un usage parcimonieux des directives parenthèses. Pour ce que je peux en juger, je pense que ce n'est pas votre premier script? Ce qui me plaît pour le concours c'est que ce n'est pas juste un machin mis sous forme de script pour rentrer dans les clous, mais que ça a bel et bien été pensé cinématographiquement; fond et forme sont en adéquation contrairement à nombre d'autres propositions qui se contentent d'apposer un artifice par-dessus un texte lambda. Les lignes d'action ne sont pas une narration déguisée. Les indications restent concrètes et visuelles (une caméra ne lit pas dans les pensées). Les contrastes de couleur sont réfléchis et soutiennent la symbolique. L'action est pensée pour la caméra (le sang qui coule du bras, la terre qui vole, la poussière sur les feuilles, typiquement le genre de trucs qui rendent bien à l'écran). On a même des indications d'éclairage. On sent que le blocking des scènes a déjà été anticipé, et comme dans beaucoup de bons scripts, j'arrive souvent à me représenter le résultat à l'écran (la scène finale par exemple, avec les deux corps allongés en position foetale, je vois bien un plan avec une caméra en god's eye view et un petit travelling arrière). Bref c'est un bon texte où l'ecriture épouse sincèrement le format, pas juste pour rentrer dans les cases concours. Et puis, il est intéressant en tant que court parce qu'il s'affranchit dans une certaine mesure de sa limite de caractères, en évoquant largement au-delà de ce qu'il raconte: une guerre suggérée en fond, des persos avec une complexité qu'on entrevoit à peine (scarification? Mère victime de la guerre civile? petit frère handicapé? l'importance thérapique du jardin?). Le lecteur est libre de donner plus d'ampleur imaginative au texte avec les éléments à sa disposition. On sent qu'il y a largement matière à plus. Et c'est finalement ma seule critique, qui est une critique de la catégorie plutôt que du texte: j'aimerais bien qu'il y ait plus. L'auteur en a en réserve, c'est dommage de se limiter à ça. De plus, il faut reconnaître que le ton intimiste et la tragédie ne fonctionnent qu'à moitié quand on ne connaît pas les persos. L'emotion peut apparaître un peu forcée (je pense notamment à l; intervention de Gisèle qui ne fonctionne pas bien pour moi). Tout ça taperait bien plus fort dans un court-métrage de 30 minutes où on a le temps de comprendre et de s'attacher. Mais pas la place. |
Provencao
5/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Où donc Hortithérapie pourrait-elle être de cette manière ? Dans la nouvelle et elle seule. Tout se passe donc comme si cette nouvelle trouvait sa vérité dans cette espèce d’ombre, de sombre, la terre justement, qui reste toujours à côté du monde austère en ces tours HLM grises et lugubres . En cette nouvelle poignante, ce scénario trouve sa vérité parce qu'à mon sens, c’est en elle qu’elle recouvre sa réalité authentique. |