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widjet
12/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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La forme est séduisante. J'aime bien l'idée de raconter une histoire de façon épurée, avec quelques phrases courtes, riches de sens. C'est un exercice de style qui m'inspire aussi.
Ici, il m'a fallu deux lectures pour comprendre (enfin je crois). Malheureusement, il manque l'essentiel. L'émotion. La faute à un style et une écriture trop neutres, des phrases qui manquent soit de force, soit de poésie (lire Origine inconnue de Tchollos dont l'exercice est à mon sens plus concluant). Sans doute s'agit il de pudeur. Mais le risque est grand de laisser le lecteur insensible sur ce qui se passe dans cette histoire d'amour brisée et ce déchirement des deux êtres. Dommage. Widjet |
Anonyme
12/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Il y a incontestablement un style Isfranco.
L'auteur (excellent au demeurant) semble hésiter entre la prose et la poésie. Mais c'est une hésitation assumée. La mise en page est recherchée, comme lors du précédent concours. L'histoire est un peu confuse. Mais elle semble n'être qu'un prétexte à un bel exercice de style. |
Anonyme
12/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé le style qui colle au détachement du personnage constatant froidement, sans émotion, que son histoire d'amour expire... Mais du coup, j'avoue ne pas adhérer à une fin aussi pessimiste et... définitive, le personnage parait triste, anéantit, mais assez fort, toujours à cause de cette sorte de distance que donne le style, pour affronter l'évènement.
Bon, voilà is, pour moi le type devrait s'en sortir, mais peut-être que Lyse est une "vraie" fille ? et que je n'ai rien compris finalement ? |
Menvussa
12/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'y ai trouvé de la poésie, par contre cette succession de paragraphe numérotés m'a dérangé, je trouve que cela ne fait pas naturel, trop recherché et du coup, ça nuit au texte lui même le faisant apparaître comme un simple exercice de style.
Quand à comprendre le fond, je pense que sur les deux, l'une est virtuelle mais je suis tenté de dire : Laquelle ? |
Anonyme
12/1/2009
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Aucune n'est virtuelle. Les deux filles ont des prénom différents... Cécile et Lyse. Il y a des traces dans le sable.
Pour ce qui est de la phrase il vit seul depuis la nuit des temps, il s'agit évidemment de faire allusion au fait qu'on peut avoir un sentiment de solitude tout en vivant en couple... Ni plus ni moins. Mais je ne voulais pas d'un trop laid "il se sent seul depuis..." Simplement il y en a une avant, l'autre après. L'eau est ici symbolique, comme un baptème en quelque sorte |
guanaco
12/1/2009
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Personnellement je n'ai pas adhéré au style ni à la forme de cette nouvelle qui pour moi, d'ailleurs, ressemble plus à une poésie (avec toutes les réserves qui s'imposent étant donné mes connaissances en poésie^_^).
Je pense que je n'aurais pas pris le parti d'introduire une autre femme (qu'elle soit virtuelle ou non d'ailleurs) et j'aurais centré ma nouvelle uniquement sur la déception amoureuse, mais je respecte le choix de l'auteur. Pour finir je ne suis pas convaincu du rôle fondamental de l'eau dans cette trame. Merci toutefois pour ce texte. Guanaco |
dude
12/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Pour un exercice de style, c'est réussi. Et en plus, la forme ne l'emporte pas totalement sur le fond. Cet écueil évité, il reste un bon moment de lecture. On se laisse porter par ces petits bouts phrases. J'ai moins acccroché au découpage en numéros.
Peut-être qu'un tel sujet méritait qu'on laisse l'émotion transparaître davantage? |
colette
12/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il y a, chaque année, plusieurs morts aux barrages de l'Eau d'Heure, nous conterais-tu l'histoire de l'un d'eux ?
Je trouve que le dosage est parfait : une récit dépouillé mais avec suffisamment d'indices pour ressentir les émotions non exprimées dans le texte. Sur la forme, les numéro ne m'ont pas gênée mais je n'ai pas compris leur nécessité. |
Anonyme
12/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'apprécie le style totalement dépouillé de ce texte où l'on trouve une réelle force d'évocation.
la mise en page me convient tout à fait, elle accentue les non dits et les silences ainsi que le détachement de ce personnage. Pas besoin d'en rajouter, tout est là. Un petit bémol seulement : l'amorce de l'idylle avec l'autre fille me parait peu crédible. |
Anonyme
13/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Alors ou je suis un peu pâlote ou y a que moi qui a compris le truc? (j'y reviendrai!)
Bref, 1- la forme. Oui. Originale. Mais Dieu Is que c'est difficile à suivre sans en perdre le fil (de l'eau... ). à mon gout trop saccagé, trop hachuré, trop...cassé. Mais j'aime le dégradé. 2- l'histoire. Belle. (ET JE REVIENS AU TRUC) Cet homme qui perd tout, qui pense à en finir, et qui au détour de son suicide croise sa Lyse (Harlequin, peu importe), qui lui rend gout à la vie. La mort d'un amour, la naissance de la vie après-la-mort-de-l-amour... 3- Le rythme. Pour moi il est trop travaillé, comme le style, et du coup, ce qu'on y gagne en "pure technique", on le perd en émotion. Moi, je pense que quand on écrit ce genre de texte, il faut qu'on ait cette impression que les mots hurlent l'émotion. Des incisions qui s'ouvrent béantes dans l'âme du lecteur. E là, Is, bien que tu le sais, j'aime beaucoup ce que vous faites, ben j'aime moins. Parce que je ne t(y reconnais pas vraiment. Mais c subjectif. De loin ton texte le plus abouti d'un plan purement théorique. Belles phrases, comme toujours, mais Is, qu'as-tu donc fait des images...??? Et comme tu commences à avoir l'habitude, môa, quand je ne me sens pas objective je ne note pas, ben t'as le droit à pas de note pour le moment. Je me repose dessus et je noterai quand je me sens le cran de le faire... Merci néanmoins pour la beauté de l'histoire, et pour la première fois dans ce concours, une utilisation de l'eau qui soit plus métaporique que réelle (sauf pour la fin hin) BON EDITH v'là vot'note... |
melonels
13/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai aimé ce style épuré, l'essentiel est là et donne encore plus de force au récit. Je ne suis pas amatrice de poésie, mais il y a de la poésie dans ce texte et c'est toute la beauté du texte. Merci.
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Ephemere
13/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien la forme exploitée à fond. Je préfère rester dans le rêve et laisser à ces souvenirs toute leur virtualité. Rêves d'un homme qui va se noyer en poursuivant une chimère. Qu'est-ce que quelques traces sur le sable : les siennes ? Tant mieux si le texte va au-delà des désirs de l'auteur. En règle général, on n'entend pas ce que l'auteur veut signifier.
Et un bravo pour les noms de lieu. FMR |
melany
13/1/2009
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c'est une idée interessante, j'ai beaucoup aimé la première partie sur un amour qui se termine, cette phase de transition où chacun comprend peu à peu et où tout le monde souffre... j'ai moins accroché sur la fin, je me dis qu'elle aurait pu être plus gaie s'il y a une nouvelle rencontre et une nouvelle histoire...
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Anonyme
13/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup la forme à mi chemin entre nouvelle et poésie.
Pour le fond une histoire finalement banale racontée avec pudeur peut être aurait on aimé quelque chose de plus mais néanmoins un très bon moment de lecture. |
xuanvincent
13/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Beaucoup de commentaires pertinents ont déjà été écrits sur ce texte.
Ce récit m'a paru osciller entre poésie et nouvelle. La structure, l'enchaînement de courts voire très courts chapitre a retenu mon attention. Je me suis toutefois demandé si le grand nombre de chapitres ne nuisait pas un peu à la lecture. L'eau dans cette histoire d'amour (assez banale comme l'a dit précédemment Xrys) m'a paru bien présente. |
Nobello
13/1/2009
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Avant de lire les commentaires, j'en étais à tourner autour de "symboliques" qui relèvent peut-être, finalement, de l'hallucination...
Pourtant, cette "Lyse" (la dilution ?) ne me semblait pas plus nommée au hasard que le médium employé -le sujet, l'eau, liée à la sensualité plus ou moins voluptueuse et tonique suivant les représentations ; s'agissant d'un lac, je suppose qu'on reste dans le "sage"-. Et puis la forme employée, singulière, qui fait à mon sens le constat de ce qu'elle est, telle que, plutôt que "d'hésiter" entre nouvelle et poésie. Et si l'auteur ne m'a pas "gêné" en adoptant une forme potentiellement déroutante, c'est que le pari est gagné pour ce qui me concerne. Cela dit, je trouve que tout ça est mis au service d'une "histoire" un peu maigre. |
Marian
13/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Lyse, c'est plutôt la "dissolution" que la "dilution", non ?
Bref. J'ai bien aimé à la seconde lecture. Surtout la fin, parce qu'au début, bien que ce soit épuré, le lecteur obtient trop d'informations redondantes qui empêchent le texte d'être subtile. Mais je trouve que la fin est meilleure, que la rencontre avec Lyse est délicieusement poétique. |
Bidis
13/1/2009
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C'est un texte extrêmement poétique.
Je n'y ai pas compris grand chose à la première lecture mais quand un texte est beau, je ne cherche pas à comprendre. Cependant j'ai relu celui-ci sous l'éclairage des commentaires des prédédents lecteurs. Les prénoms trop étranges me rendent toujours une histoire lointaine, un peu figée et Égon me semble un prénom bien bizarre... Je reste avec l'impression d'un bel incompris qui se promène avec esthétisme dans une histoire d'amour banale à trois ou quatre personnages. |
Anonyme
14/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai pas capté à quoi renvoyait la "Plate taille", pas compris, j'ai sans doute pas lu assez attentivement. Mais c'est pas grave. J'ai bien aimé la "truite en fumée" en revanche. C'est quoi ce prénom, "Egon", ça fait un peu chevalier - mais j'y connais pas grand chose- et pourtant on parle de téléphone alors... Bref on a bien l'droit de donner des prenoms moyenageux à ses personnages nan?
La forme poétique me plait, l'écriture est jolie. J'aime beaucoup l'entame, après des trucs me plaisent moi, puis de nouveau une phrase m'interpelle... Une lecture constituée de roulis qui ne fut toutefois jamais humectée par l'écume de l'ennui et de l'indifférence. |
Flupke
14/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce texte sollicite l’attention constante du lectorat. (Moi aussi deux lectures).
D’habitude je n’aime pas trop ce genre de texte trop cryptique, squelettique, où il y a juste le strict minimum. Mais ici ça m’a quand même plu. J’y trouve un effet poétique et c’est assez agréable de combler les manques soi-même à la deuxième lecture. |
victhis0
15/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Singulier, original, lent et rythmé, inimitable...J'adore cet espace personnel d'isfranco, île particulière de la mer onirienne.
Merci pour ce bel exercice, tout en retenue, fluide et mélancolique |
marogne
15/1/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai trouvé de belles idées dans ce texte (de très belles), en particulier dans 1, 4, 8 et 19. La forme est originale, et attire le lecteur qui veut savoir, cherche à comprendre.
Mais l'émotion n'était pas là, et et j'en ressorts en ne retenant que quelques émotions passagères, quelques rides qui vont au loin, s'atténuant.... |
papyrus
16/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé le style mais je ne suis pas sure d'avoir compris toute l'histoire.
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nico84
17/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je crois avoir compris is, Lyse est la personification du naufrage (étymologiquement la destruction). Le naufrage d'un couple, le naufrage d'un homme qui se rend compte, qui se rend tout simplement.
Qui n'accepte pas, impuissant. Ton histoire est subtile (si j'ai compris) mais forte. Merci et bravo pour cette nouvelle. Maintenant, peut être que plus de détail seraient utiles. Faire davantage de personalisation de cette Lyse et même de la mer. Aller au bout de tes idées, aller plus loin dans tes pensées et dans l'intensité, choisir des mots et expressions plus fortes. Tu as une belle écriture, mes conseils sont seulement pour te perfectionner et toucher davantage d'oniriens. |
Faolan
20/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je ne sais pas si j'ai saisi toutes les subtilités mais l'ensemble m'a plu. La fin est heureuse et c'est tant mieux !
Certains chapitres n'auraient-ils pas pu être regroupés ? J'aime bien les courtes phrases. Exercice difficile hésitant entre nouvelle et poésie en effet. Il fallait oser ! Merci. |
Anonyme
19/1/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Bon je connais pas le thème du concours, mais j'apprécie vraiment ce texte très simple.
C'est l'aspect très épuré, très calme et fluide qui me séduit de prime abord. Et puis, en relisant je vois des choss au delà de ce qu'il y a au premier niveau.... Un beau, très beau Isfranco! |
kullab
21/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Oui à la forme, plutôt oui à l'histoire ; une nouvelle en forme de poème, de plusieurs poèmes même. Exercice de style délicat. Je ne suis pas un aficionados des histoires d'amour mais cette façon de traiter le sujet m'a plu. C'est réussi.
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Nongag
21/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Oh! le culot d'écrire une chose pareille! Et c'est foutrement bien fait. De l'étonnement du départ, j'ai navigué de plaisirs en surprises et j'ai fait une bien belle croisière. Ceci dit, la deuxième partie me semble un peu moins forte et comporte certaines répétitions qui diminuent (un peu) la force du départ.
Original! |
Anonyme
25/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une écriture ciselée, élégante, une vraie bonne écriture dans laquelle chaque mot est mesuré, claque ou caresse. La "femme incolore" est incontestablement un moment phare du texte. La vraie et la naiade sont de la couleur de l'eau, ici, incolore. Isfranco manie le rythme comme on peindrait ou jouerait une petite musique. Il me rappelle le plaisir que j'ai eu à lire les premiers romans de Sagan. Bref, Isfranco est une bonne ménagère à mes yeux : il cuisine avec trois fois rien et le plat est savoureux, il frotte avec deux gouttes de javel et le sol est reluisant. Quant au texte et à son contenu, la dose est juste, ni trop ni trop peu. Cela ne passe pas pour irréel parce que justement cet homme malheureux est qui sait en proie à des troubles psychologiques. Et rien de lourd, du fluide qui glisse entre les doigts, comme le thème qu'il a respecté. Mon seul bémol serait que personnellement je déteste les guillemets et j'en ai lu deux de trop, les tirets aussi, je les aurais bien... Histoire de rendre le texte résolument moderne. Mais c'est histoire de commenter à fond, rien de plus !
Moi j'ai aimé. |
macalys
31/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai beaucoup aimé ta façon de raconter cette histoire, avec des phrases courtes, des mots simples et poétiques. Au bout de quelques minutes de lecture, j'avais les larmes aux yeux... Ce style minimaliste m'a touchée.
Tu laisses aussi beaucoup de liberté à ton lecteur pour imaginer le décor, la situation. Tu suggères quelques éléments et laisse le lecteur parcourir le reste du chemin. Ca permet de s'immerger vraiment dans l'histoire. Mais cette façon de suggérer sans jamais entrer dans les détails a aussi ses effets pervers. J'avoue qu'à la fin du texte, j'ai cru que ton personnage se noyait. Quand j'ai vu dans ton message d'explication qu'il n'en était rien et que la "fille du lac" n'avait rien de virtuel, j'étais un peu perplexe. Alors j'ai relu et je me suis rendue compte que l'imprécision de certains passages m'avait conduite sur une fausse piste. Voici les bouts de texte qui m'ont induite en erreur : - Dès le passage 11, le mot rêve et le champ lexical du rêve sont très présents. - Il entre dans l’eau. Elle le prend dans ses bras. 18 La fille du lac est belle. --> Le "elle" en gras se rapporte à l'eau ou à la fille ? Dans le doute on peut très bien décider (comme je l'ai fait en lisant ton texte la première fois) que les deux se confondent. J'ai donc cru à une espèce de naïade, d'esprit de l'eau, qui lui murmurait des mots doux à l'oreille dès le début du texte. - Elle l’essuie, le réchauffe. -->On continue un peu dans l'irréel et l'abstrait et donc pour moi la piste de la naïade se confirme. Car j'imagine qu'elle ne l'essuie pas avec une serviette et ne le réchauffe pas avec ses bras, pas encore du moins car il ne fait que l'observer... J'ai donc cru à une espèce de magie. - L’eau, en son mouvement aléatoire, trace sur nous l’ombre sans fin d’un rêve à faire encore --> Cette phrase (très belle au passage) rattache encore ton texte au fantastique pour moi, malgré l'apparition du prénom de la belle. - Il plonge et la rejoint. Enfin. --> Comme je croyais dur comme fer à l'aspect fantastique du texte, j'ai cru qu'il se noyait. Bon et puis en fait cette fin tragique me plaisait plus. Je trouve que ton héros se remet un peu vite de sa rupture sinon. |
David
10/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour isfranco,
Le texte va bien là où il veut, il a une jolie simplicité par delà la mise en page, un peu surprenante, ultra aèrée, je ne sais pas encore trop quoi en pensé. |
Anonyme
15/2/2009
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Un peu trop épuré, je trouve, mais c'est mon avis.
Un peu trop facile aussi. Pas le texte, l'histoire. Il l'aime, renifle une odeur de trahison sur laquelle il refuse de mettre un nom, soit... mais une fois certitude acquise, il va se jeter à la mer, comme on dit dans le sud ? Trop facile ! Seconde lecture : il ne se jette pas à la mer, il sait que l'avenir de l'homme c'est la femme et que l'eau, c'est la vie. Cette Lyse devient cette inconnue qui finira par arriver, au détour de l'inattendu. Donc, il y a de l'espoir. Tant mieux. |
Ariumette
21/2/2009
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D'abord félicitation d'avoir relevé le défi de ce concours !
Mon avis : Une forme non conventionnelle pour nous faire oublier une histoire un peu trop déjà vue ? Mais j'ai vraiment aimé ce style, épuré, qui ne dit que l'essentiel... C'est beau mais ça manque un peu de fond. Je ne note pas cause concours |
jaimme
24/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Les numéros scandent le texte. Lui donnent un rythme, même si leur présence me gêne.
Le reste. Aucune critique. Parce qu'il n'y en a pas à faire. Parce que je n'en ai pas envie. Une épure. Que j'ai aimée. Oh oui! |
wancyrs
24/6/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Moi qui aime l'originalité, me voilà servi... Comme on le dit, en remuant un peu, on trouve souvent des trésors cachés.
À cheval entre nouvelle et poésie, entre rêve et réalité ; narré comme un film 8mm qui se déroule lentement... voilà mon ressenti. N'avoir pas compris qui de lyse ou céline était la chimère, c'est là le genie de cet oeuvre. Je me suis identifié à cet Egon( quel homme à un moment de sa vie ne broie pas du noir ?). J'ai trouvé le dénouement un peu triste, une issue à ne pas prôner lorsqu'on sait la force que les écrits peuvent avoir sur les moeurs. Mais d'un autre côté, c'est la triste réalité d'un monde qui s'enfonce continuellement dans l'imperfection. Merci pour ce texte beau et original, riche en émotion, en images. |