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wancyrs
13/10/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour,
Si je comprends bien, c'est le style de narration qui est mis de l'avant ici. Eh bien, on aime ou on aime pas, et moi je suis entre les deux... Je ressens quelque chose de différent, mais je n'entre pas vraiment dans le récit. J'ai l'impressions que ça va dans tous les sens - et peut-être c'est voulu -, et moi j'ai du mal à suivre... Peut-être n'ai-je pas la culture nécessaire pour suivre, je ne le sais pas... Pourtant c'était bien parti avec les deux premiers paragraphes... Dommage ! |
Geigei
15/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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La contrescarpe !
La seule évocation de cette place me touche. Le mot déjà me plait. L'ambiance décrite aussi fait remonter des souvenirs, même si j'ai été jeune dans les 80's alors que l'ambiance de ces coins-là était finissante. Merci pour cette lecture pleine de nostalgie. "une boite de sardine et une bouteille de rouge ont fait la rue Michel"^^ |
Donaldo75
22/10/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Le style narratif est naturel, pas littéraire, et c'est je suppose ce qui rend ce texte propre au concours. En tant que lecteur - et je pense qu' c'est l'effet voulu - j'ai l'impression que l'auteur me raconte directement ce souvenir, attablé avec moi dans un troquet parisien.
L'essai est transformé. |
Robot
31/10/2024
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Dans le règlement du concours 36 il est indiqué que le texte doit "Présenter une singularité forte dans le sujet, voire dans le traitement." J'avoue ne pas avoir vu dans ce texte où se situait l'originalité demandée pour le concours. C'est une histoire racontée de manière trés classique. Intéressante par l'écriture dynamique, mais trés classique.
Je ne mets pas d'appréciation. |
Cyrill
31/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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L'évocation d'une époque est réussie je trouve. L''écriture assez relâchée, orale et comme ça passe par la tête, installe un enthousiasme communicatif. C’est une pensée qui fonctionne en flashs de la mémoire autour de quelques portraits truculents et souvenirs aussi accessoires que mémorables.
Cette pensée part parfois en arborescence, ainsi nous apprenons incidemment et sans que ça influe sur l’action, que « mon cousin Serge était rentré pour raison de travail » et que « j’avais obtenu un appart par la société Peugeot où j’ai été dessinateur industriel avant de me convertir dans le cinéma ». On se fiche pas mal du cousin Serge, mais tous ces détails finissent par faire un joyeux tableau qui signe bien l’époque, la jeunesse, l’insouciance, et la nostalgie qui va avec. Merci pour la lecture et bon concours. J’édite pour rajouter que l’épilogue « et ses derniers mots furent : « Quand je pense que mes potes de La Rochelle arrivent ce soir pour France-Angleterre de rugby demain, on va en tenir une bonne à la troisième mi-temps !!! » m’a absolument réjoui tant ils sont dans le ton de ce qui précède tout en le sublimant. J’ai écouté plus que lu ces paroles comme s’ils venaient d’un familier me parlant de familiers, même le cousin Serge dont je me fous, avec qui j’aurais fait les 400 coups y’a un bail. Et ce serait ne rien comprendre à l’écriture si je me posais en père la morale à l’écoute de ces souvenirs de beuveries. Je n’oublie pas que je suis là pour commenter et juger de la dimension littéraire du texte. Et je remonte ma note. Hugh. |
Myndie
31/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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J'ai bien aimé ce voyage en gaie beuverie, l'atmosphère décrite avec simplicité sur un ton un peu goguenard;
j'ai bien aimé l'évocation des années babacool et tout ce qui va avec, les robes longues, les pattes d'éph, l'estafette qu'on imagine décorée "peace and love"; j'ai bien aimé le mauvais jeu de mots assumé : "le resto était devenu un bateau… ivre !!! (je ne peux m’en empêcher)." Mais, en replaçant tout ceci dans le contexte du concours, il m'est difficile de trouver à votre texte le caractère exceptionnel, atypique, la singularité demandés. C'est pour moi une nouvelle, bien écrite et qui m'a fait sourire plus d'une fois mais que je ne classerais pourtant pas en Laboniris. Bonne chance à vous! |
papipoete
31/10/2024
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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bonjour concurrent
Une de ces histoires que sans picole, ça ne peut pas marcher ; se bourrer la gueule pour avancer, dans cette cour des miracles, tant que son Roi est vivant. NB je ne vois pas dans ce récit, que je trouve très prosaïque, l'originalité qui le ferait entrer dans le thème du concours. Je constate beaucoup de fautes de conjugaison aussi, dès le début de la virée ce " j'avais installé une estafette " pas plutôt " affrété ou équipée " ? Ce texte me rappelle trop l'époque dorée, où l'un de mes êtres chers, vivait ainsi jusqu'au jour où il fallut choisir entre la vie et la mort... |
Lebarde
31/10/2024
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Ben oui, mais qu'est ce que ce texte vient faire ici?
Les (bons) souvenirs des uns ne sont pas nécessairement les (bons) souvenirs des autres, en tous cas pas les miens! J'attendais éventuellement une chute à cette équipée parisienne en Estafette relatant la rencontre avec Jean Luc, chanteur/musicien, navigateur, originaire de La Rochelle et à l'occasion supporter de rugby et connu du tout Paris où l'on boit. Pour plus de détails, voir dans le texte, mais rien pas de chute sauf peut être que ce Jean Luc, ce poivrot fêtard est déjà prêt pour "la troisième mi-temps". Très peu pour moi, je vous laisse à vos beuvries ... |
plumette
31/10/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Le narrateur se fat plaisir à évoquer son passé, sa jeunesse et ce Jean-Luc qui savait créer du lien avec sa guitare et son goût de l'animation.
il y a une ambiance et une époque qui parait plus libre et joyeuse qu'aujourd'hui. cette petite vignette souvenir n'est pas déplaisante, mais je suis un peu surprise qu'elle figure dans ce concours car autant sur la forme que sur le fond, il n'y a pas vraiment de recherche. |