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Vilmon
14/1/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
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Bonjour,
Désolé, ça ne marche pas pour moi. Une ode est un poème lyrique, on n'en retrouve pas. De la folie, aucune ombre de celle-ci, à part de mentionner Babylone sans idée comment cette ville se compare à ce texte. C'est plutôt des plaintes florales qui se répètent, des griefs exprimés par des oubliés. Mais qui est ce "nous" ? Ma lecture accroche par endroits, l'utilisation de "buildings" envoie à néant les efforts pour s'exprimer de façon distinguée. Vilmon en EL |
Vincente
31/1/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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J'aime bien l'idée de ce cri à la fois de colère contre les "normaux" et de douleur contre la bien-pensance qui plonge ces "fous" dans l'antichambre de la vie, "l'asile" qui leur tient lieu de demeure.
Une "ode à la folie", "une fugue à voix plurielles" qui avoue son malaise par une écriture assez criarde, peut-être ainsi un peu brouillonne, comme sortie d'un seul jet, un cri du cœur en quelque sorte. J'ai eu du mal à choisir, ou accepter, une lecture dans un mode empathique avec le(s) narrateur(s) (ou plutôt l'entité narrative) ou, compréhensif envers le propos. Accepter donc l'écriture turbulente de l'incompris qui s'épanche, ou me remonter les manches pour entendre le cri et l'espérance de compréhension qui est portée. Je prendrais alors pour moitié l'une comme l'autre, considérant qu'à elles deux elles forment un tout. (tenez pendant que j'y suis : le "Tout et le Rien ainsi que leurs contraires" m'est apparu un peu trop lourd, même si l'on peut imaginer qu'il y a là une intention d'écriture volontairement redondante, comme abusive à la façon du reproche qu'elle souhaite dénoncer, une sorte d'effet boomerang, un retour à l'envoyeur…). J'aime bien la positivité qui parvient en final à "chanter [cette] fugue à voix plurielles", comme par désespoir dans une espérance démesurée, une manière de combattre et s'emparer du "Tout" et du "Rien" pour les utiliser pour la bonne cause. |
baldr
31/1/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour, il me semble que ce texte tourne autour d'une critique convenue des réseaux sociaux, dont seule une sociologie sérieuse, ou un roman visionnaire, peuvent rendre compte. En une demi-page, vous ne pouvez pas dire grand-chose et cela manque de profondeur. Par ailleurs, la structure du texte semble lâche. Le style est relativement recherché mais pas la structure.
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