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Asrya
12/4/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Ce n'est pas mal écrit, on ne peut pas dire ça.
La structure narrative est relativement cohérente, les phrases sont bien écrites, sur la forme, pas grand chose à remarquer, ça se lit convenablement. Le style manque un peu de "percutant" malgré tout, alors que le début du récit tisse quelque chose de prenant, la lente démoralisation des soldats engendre presque un certain ennui à la lecture. Ce n'est pas suffisamment rythmé, cela manque d'émotions, c'est difficile de se projeter dans l'humeur des personnages et l'ambiance globale de cette fin qui approche. Puis un passage assez... déroutant avec Anoul qui se "déhanche lascivement" et qui se met à "danser sur la table de jeu" ; vu le contexte, j'ai du mal à me le figurer, quant à la remarque du narrateur, je ne comprends pas cet "ultra-conformisme déprimant". Je ne vois pas le côté ultra-conformiste qui est cité. Je dois passer à côté de quelque chose. La chute arrive bien penaude pour donner un semblant de vraisemblance à cette gangue fantasque de guerre ; il s'agit simplement d'un individu, à priori "interné", qui n'en a pourtant pas particulièrement l'air. Il s'invente simplement une histoire avec de petits personnages, tout ce qui a de plus "normal" ; un caractère peut-être "enfantin" mais qui a tout de sain. Je ne vois pas bien l'intérêt d'en arriver là. Pas convaincu par le déroulement de l'histoire qui me paraît assez creux, même s'il y a une intention derrière, je n'en doute pas. Merci pour le partage. PS : "je m’en battait provisoirement les testicules" , quitte à s'en battre quelque chose, les "couilles" m'auraient paru plus spontané. |
Donaldo75
15/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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J’ai trouvé ce texte riche, créant un univers particulier ; la fin éclaire bien tout ce qui a été exposé auparavant et permet à mes petites cellules grises de réconcilier le tout. A cet égard, la forme est aboutie. Ai-je aimé ? Pas complètement. Je trouve que c’est surchargé, que la narration pèse parfois des tonnes en termes stylistiques ce qui a irrité ma lecture à plusieurs reprises et d’ailleurs j’ai failli abandonner en cours de route. Je suppose que c’est le risque dans ce genre, quand l’univers est très travaillé avec pléthore de sémaphores narratifs, de figures de style j’en passe et des plus détaillés. Il y a beaucoup, à boire et à manger, un fouillis dont je comprends l’objet au vu des phrases de fin mais qui me semble quand même « too much ».
Je salue quand même la performance. |
hersen
16/4/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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J'ai vraiment aimé ce texte, pour l'écriture d'une part, que je trouve très aboutie, mais aussi pour la montée en puissance du début. Les trois premiers paragraphes me laissent un peu dans le doute, on ne sait pas trop où on va.
Mes gars, commençai-je... A partir de là, l'univers se précise, l'idée se renforce : on est où, là ? Je suis très intriguée au fil de ma lecture, mais bien ancrée dans l'uniers de l'histoire, car ne pas savoir où on va, si on aime bien le chemin, n'est pas un problème. De toute façon, on fait ça tout le temps dans la vraie vie. Et j'arrive en fin de lecture, et moi aussi je mets la troupe sous le lit en même temps que le narrateur. Et j'ai aimé faire ça, ça me donne une intimité avec lui, et je referme la porte et je le laisse avec ses démons. Le ton est vraiment juste, c'est à dire qu'il donne une note légère à l'histoire d'un gars qui elle, ne l'est pas. Chacun son monde et après tout, on peut le partager. Merci de la lecture. |
Alfin
16/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Très beau texte, rempli d'images, de sons et d'odeurs. Un mouvement crescendo qui nous tient en haleine malgré la difficulté que représente la surabondance descriptive de cette fresque saturée.
Un peu de simplicité dans le choix des mots aurait certainement donné plus d'air au lecteur, mais la densité nauséeuse des mots rend cette lecture aussi oppressante que la situation vécue par le protagoniste. Nous voyageons donc avec difficultés dans les méandres de son enfermement, peut-être de sa folie, de son interrogatoire… Nous ne le saurons pas. |
Anonyme
30/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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En lisant ceci :
Je fis poindre une aube nouvelle et déshabillai la végétation de ses frusques sinistres pour donner des couleurs plus vigoureuses à notre entreprise. Quelques tintements suraigus accompagnèrent l’extinction des étoiles. j'ai cru à l'immersion du narrateur dans un jeu vidéo où il modifiait à loisir les paramètres environnementaux ; la mention de la vitre contre laquelle s'affaissait Aurike m'a alors paru bizarre. Pour moi, la révélation finale de la situation est vraiment venue à la toute fin, au dernier paragraphe. Si je la trouve un peu simpliste, proche de la monstrueuse ficelle narrative « tout cela n'était qu'un rêve », elle m'apparaît aussi efficace, la dernière phrase poignante. Je crois que ce dernier paragraphe aurait davantage d'impact, et de logique, conjugué au présent. Sinon, j'ai été vraiment emportée par l'ambiance de déréliction générale, et le décalage mental qui s'installe par touches de plus en plus confirmées et convaincantes à mon avis. De belles descriptions ! Un texte réussi, pour moi, mais dont la conclusion, d'un point de vue purement narratif, me laisse un peu réservée. |
Disciplus
30/4/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Troublant "Trouble"! Si nous voulons bien nous laisser embarquer dans cette étrange histoire de soldats perdus dans un décor irréel, doit-on pour autant subir cette avalanche de mots superfétatoires et verbeux.
Nous comprenons qu'il faut, pour justifier la chute, que le texte soit mystérieux, illogique, voire énigmatique, mais le style abscons et cabalistique avait tout pour me perdre. Par respect et courtoisie pour le travail des correcteurs et des lecteurs en espace libre qui ont validé le texte, je me suis astreint à continuer ma lecture jusqu'à la fin. Comme Socque - (Bien le bonjour) - j'ai soupçonné que nous naviguions dans un jeu vidéo. L'idée semblait intéressante. Perdu ! La fin me laisse sur ma faim. Trop fade, trop rebattu. Fâcheux et un poil désagréable. |
jeanphi
30/4/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
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Un style proche de la génialerie à mon sens. On ne s'improvise pas écrivain, certains commentateurs vous l'auront bien fait comprendre, mais le partage en vaut la chandelle par l'originalité rare, et l'aisance à produire un langage claire procédant hors des canons d'écriture et des sentiers battus.
Contrairement à vos deux précédentes nouvelles, vous ne cherchez pas ici une écriture conventionnelle, un bon ou un mauvais point selon les avis de chacun. Cela me permet de lire quelque chose de vraiment peu commun, espérant pour vous que Ken Follett ne passe pas dans les parages ! |
Jemabi
30/4/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime un peu
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Ce qui frappe d'abord, c'est la richesse de l'écriture, une profusion de mots et de tournures qui donne parfois le tournis mais devant laquelle on ne peut que tirer son chapeau. Cette maîtrise parvient dès le début à créer une atmosphère et à rendre captivant le récit. Pourtant, au bout d'un certain temps, j'ai eu l'impression que ce récit tournait en rond et, en tant que lecteur, j'ai finalement perdu patience à trouver un sens à cette gesticulation de quelques soldats perdus dans un labyrinthe de décors changeants, même si je comprends que leur côté obssessionnel peut déboucher sur une métaphore, comme dans le film "Onoda". Très peu d'éléments nous font peu à peu glisser vers le retournement final. J'en aurais personnellement mis plus, pour alimenter les surprises d'un récit somme toute assez sage s'il se déroule vraiment dans la tête d'un déséquilibré. Mais encore bravo pour le style.
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plumette
1/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Tout en étant admirative d'une richesse lexicale indéniable, je ne peux dissimuler que j'ai trouvé ce texte étouffant. Accaparée par la forme, j'ai eu un peu de difficulté à suivre le narrateur dans son histoire.
Une histoire qui se veut visuelle me semble-t-il mais dont les images trop complexes à mon goût m'ont empêchée de bien voir ce dont il s'agissait. Pourtant, il y a un univers, une ambiance grâce à un travail qui mérite d'être salué. Pour ce texte très loin de moi et de mon genre d'écriture! mais que j'ai apprécié un peu comme une expérience, je me suis posée la question de l'appréciation de l'écriture: si je mets "aboutie" et non pas "très aboutie" c'est parce que la forme que je reconnais comme étant très soignée a pris trop de place. J'espère que je me fais comprendre. la chute m'a permis de reconsidérer tout l'ensemble à l'aune de ces "troubles" et je trouve que c'est très habile. A te relire |
Angieblue
1/5/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime un peu
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Une histoire bien étrange. Si j’ai bien compris, il s’agit d’une personne internée qui joue aux petits soldats.
Je n’ai pas super accroché, mais je reconnais un beau travail sur l’écriture. J’ai adoré les deux premières phrases. Elles sont superbes et n’ont rien à envier aux plus grands auteurs classiques. « La lande hirsute », « une nuit croassante » qui renvoie aux corbeaux dont il est question plus loin. Bien trouvé aussi la terre qui boit le sang telle une éponge. D’entrée, ça annonce une couleur, une atmosphère. Mais, après, j’ai été un peu déçue. Il y a une poésie, une délicatesse, une sensibilité qui ne colle pas trop avec le tableau morbide et fantastique annoncé. Par exemple, quand vous dites : « Une tape sur l’épaule par-ci, un pincement de joue par-là. » « J’ornai ma voix d’un accent slave irrésistible » « J’avais un faible pour cette beauté vaporeuse » En fait, ça ne fait pas très viril dans un contexte de guerre. J’ai tiqué quand j’ai lu cette phrase : « Je fis poindre une aube nouvelle et déshabillai la végétation de ses frusques sinistres pour donner des couleurs plus vigoureuses à notre entreprise. » Je me suis demandé qui était le narrateur, ça m’a intriguée. La chute m’a éclairée, mais l’explication aurait pu être plus fantastique qu’un simple jeu avec des figurines. Non, en fait, je trouve qu'il y a trop de sophistication, de délicatesse, de manières chez le narrateur. ça m'a un peu endormie au lieu de m'envoûter, de me troubler. Par ailleurs, j’ai eu du mal à comprendre les lieux et leur succession. A un moment, les personnages sont dans une voiture, puis ils font la fête dans une sorte de bar. A chaque fois, on ne sait pas trop comment…Ok, notre metteur en scène, maître du jeu, fait des changements de décor, mais il m’a manqué quelque chose pour accrocher à l’histoire, plus d’action peut-être car ça ronronne un peu… En somme, l’idée est bonne, l’écriture excellente, mais ça manque d' ingrédients fantastiques et psychédéliques pour me fasciner et m’entraîner dans ce théâtre macabre créé par un esprit troublé. |
JohanSchneider
3/5/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
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Ce n'est pas avec un déluge lexical, une avalanche d'adverbes et un tsunami d'adjectifs qu'on emportera mon adhésion.
Exemple, les "flacons et seringues qui s’entrechoquaient dans un grelottement satanique sur un plateau virginal" auraient gagné en crédibilité et perdu en ridicule en se contentant de s'entrechoquer sur leur plateau, sans plus de fioritures. Cette surenchère langagière qui ne connaît quasiment aucune trêve de la première à la dernière ligne n'a pour seul résultat que d'asphyxier le fil narratif, tué net dès la fin du deuxième paragraphe et qu'aucune soi-disant prouesse "stylistique" ne vient ressusciter. |
Cyrill
2/5/2023
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Tiramisu
2/5/2023
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Bonjour Cyrill,
Pas de doute sur la qualité de ton écriture, et sur ta capacité d’utiliser un vocabulaire riche et varié. La chute est bien vue. Il y a un univers intéressant créé ici. Mais … il est difficile pour moi de visualiser les scènes. J’ai essayé de comprendre pourquoi j’ai cette difficulté à être emportée par ton texte. A mon avis cela ne va pas assez loin ou plutôt ce n’est pas assez concret pour rendre l’ensemble vivant et donc prenant. Je crois que ce qui me gêne, c’est que c’est un narrateur qui écrit, ce n’est pas un narrateur qui vit l’action, tellement les phrases sont construites avec un vocabulaire recherché. Tout est pensé et structuré. Alors bien sûr, le narrateur invente, mais il n’invente pas au point d’être dans le vivant voire dans sa folie. Il manque de l’émotion brute, surtout quand on connaît la chute. En gros, l’impression que j’ai, c’est un auteur qui écrit sur un narrateur qui en train d’écrire, pour moi cela met trop de distance. Merci pour cette lecture. |
Dimou
4/5/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
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Bonjour Cyrill
Tout d'abord ce que je constate c'est que tu as conféré une grande intelligence à ton narrateur ( c'est lui le fou mais c'est moi qui doit sortir le dictionnaire... ), et une imagination fertile ! enfantine dirais-je, car il joue encore aux petits soldats.. "Je trouvais ce décor peu crédible", "mes gars....ne ressemblaient à rien de bien vivant" : Je pense que dés ce passage tu donnes une piste quant à la chute. Mais à la première lecture je ne me doutais encore de rien. Ce personnage me fait penser à l'homme qui parle à Bruce Willis à l'asile dans le film "l'armée des douze singes", en costard avec des chaussons roses ; ce dernier est conscient d'être malade et est plutôt cohérent dans son discours ( qui est fantasque certes ). Comme le héros de ta nouvelle, un genre de "doux-fou" ( au passage sympa "fin-de-mondiale", bonne formule, je la mémorise pour une future conversation ), et qui, à y regarder de plus prés, n'est pas si fou que ça : il semble l'être surtout en présence des autres ou plutôt des infirmiers, je cite : " c'est alors que mon esprit et mon corps se grippèrent comme pris de court dans une gangue d'imbécillité", est-ce à cause des médicaments ou des médecins ? c'est nébuleux. quoi qu'il en soit c'est ici qu'il déraille et pas avant j'en suis persuadé. En tout cas, avec ce vocabulaire profus et ces scènes variées, cette chute qui se laisse désirer juste ce qu'il faut, ton huit-clos ne m'a pas ennuyé une seconde. Une écriture travaillée qui à nécessité beaucoup de temps et d'énergie créatrice pour sûr. Bel effort ! A très bientôt |
Malitorne
5/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Malgré des phrases surchargées qui rendent la lecture parfois pénible, j’ai bien aimé l’atmosphère étrange et énigmatique qui se déroule tout au long du récit. On se pose mille questions pour essayer de comprendre et tout se dévoile à la fin, d’une façon pas vraiment originale cependant. C’était donc un fou, ah ouais, d’accord ! Ne fait pas Shutter Island qui veut…
C’est quand même bien essayé, la tension est palpable et plutôt réussie. Par contre, ce qui me hérisse les poils au plus haut point, c’est cette imagé éculée de la psychiatrie : médecine punitive et sans âme. Ce malade va se prendre une piqûre dans le cul, ça lui apprendra à délirer ! D’une, les injections on les fait dans des conditions bien précises : lors de phase d’agitation ou pour administrer des molécules actives sur le long terme. Ce n’est pas le cas de votre patient. L’infirmier aurait simplement dû lui proposer des gouttes relaxantes. De deux, si vous saviez le nombre de patients qui aimeraient rester en HP ! Ils ont le gîte, le couvert, une équipe aux petits soins, des assistants sociaux qui se démènent pour leurs papiers…. L’extérieur est angoissant, menaçant, l’hôpital un refuge. Donc, svp, Vol au-dessus d’un nid de coucou c’est du passé. |
Pouet
7/5/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Salut,
de ce que j'ai lu il me reste comme une allégorie de l'Espoir, oui, avec un grand eux , la solitude menant sans doute à l'aliénation si ce n'est aux couvents d'aliénés. Le combat. Les rêves. L'utopie. Demeure une modernité médiévale dans la prise de position, dans le "choix" qui devrait s'imposer mais qui louvoie, bienséant dans son confort de circonstance. Car, en effet, la vie est courte. Alors bon. Les quartiers sanglants sont plus durs à avaler que les pavillons bien cuits. La lucidité intermittente n'est que rarement le clou du spectacle. Alors le combat vain et transitionnel, chatouiller l'universel au sein d'un groupuscule qui ne saurait changer la couleur du laid. Mais boire par renaissance... Voilà quelques modiques élucubrations que m'auront inspiré ce texte fort bien écrit naviguant sur le fleuve de l'intemporalité . Un texte qui dit. Du moins qui murmure à mon oreille. Les visions sont troubles et l'œil sec ne saurait traquer les limpidités. |