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Anonyme
19/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bon, ben désolée, je n'ai pas compris la fin. J'ai l'impression qu'il n'y a rien à comprendre, que le malaise de Bernard Schenkel est passager, mais alors comment interpréter cette histoire de venue au monde en diluant le poison et en se faufilant dans le noir ? La dernière phrase me ramène à la solution où rien ne s'est passé, et qui me convient. La digression précédente, si c'en est une et non une révélation, est selon moi totalement incongrue et me gêne beaucoup.
Sinon, j'aime assez cette description d'une angoisse nocturne informe... "un des gamins d'en face devait lui aussi connaître la pénibilité anonyme de devoir s'extirper du sommeil pour se mouvoir dans un couloir en pleine nuit" : lourd, je trouve "C'était le seul élément susceptible d'avoir été ingéré par les trois" : là, le raisonnement me paraît spécieux ; pourquoi les trois personnes n'auraient-elles pas avalé toutes trois du yaourt acheté au même supermarché, par exemple ? |
Pascal31
19/5/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il manque peut-être une ou deux relectures pour gommer quelques coquilles et éventuellement retravailler la fin qui m'a semblé quelque peu expédiée.
Malgré cela, c'est une nouvelle que j'ai trouvé à la fois bien écrite et intéressante. L'écriture est concise, efficace. Le style, sobre, dessert parfaitement cet intermède nocturne. Un poil déçu par la fin, donc, qui aurait pu apporter davantage, mais un court récit que je trouve tout de même bien réussi. |
Margone_Muse
27/5/2011
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup le style : analytique, distancé.
C'est rythmé, il y a du relief dans cette nouvelle. Beaucoup d'expressions sont très plaisantes à lire : "une fois réglés les préliminaires fastidieux du cogito." ; "du vieux radio réveil, en attente, déréglé, négligé." ; "mais mû par la certitude qu'au bout de sa pensée se trouverait une perle, comme au fond d'un sac on découvre toujours la clef que l'on cherche." ; etc. J'ai vraiment adoré la forme. Le fond est sympa mais sur la fin, ça se dégrade un peu : qui nous dit que la voisine et le jeune ont mal au ventre ? Même si cette phrase "cela aurait pu lui sembler grotesque en plein jour, mais, désorienté par le calme de la nuit et bien trop peu certain de quoi que ce soit, Bernard Schenkel se trouvait plutôt angoissé." prend de l'avance sur ce que je vais dire, ça me paraît incongru qu'une personne pense à ça... Après, je ne comprends pas du tout le dernier paragraphe et j'ai le sentiment désagréable que quelque chose m'échappe. Mais bon, mis à part cette fin un poil étrange, je reste sur une impression positive donnée essentiellement par le style. Bonne continuation, Margone_Muse |
Jagger
31/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bref, une histoire d'un homme avec des ballonnement nocturne :-)
Ma première réaction est que je ne saisit pas bien le rapport avec l'incipit. Ensuite, pour le fond, eh bien pas grand chose à se mettre sous la dent, mais il est claire que c'est la volonté de l'auteur. Le style est pas mal et permet de ne pas s'ennuyer le long de se texte. Quelques tournures pas idéales selon moi mais rien de dramatique. Pas grand chose à dire de plus, si ce n'est, qu'au final, j'ai apprécié de me laisser transporter pas l'écriture mais que, au vu du peu d'avance fait dans ce récit, je m'en demande l'utilité et le sens. Peut-être n'y en a t-il pas et qu'il s'agissait simplement de faire un bout de route. |
beth
7/7/2011
a aimé ce texte
Un peu
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La révélation : au commencement ça gargouillait dans son ventre …..Ceci est ma chambre….ceci est ma chambre quotidienne….ceci est l’obscurité….la référence à l’eucharistie me parait un bon début pour une révélation…
J’ai bien aimé : émergeant de son lit comme un périscope Je n’ai pas aimé : une voix d’emballage de médicament (plutôt notice non ? mais cette comparaison reste néanmoins très intéressante à mon avis et à garder en la remaniant.)/à pas de loup /l’orée du sommeil/un visage terne lui apparut (visage terne. aurait suffit)/la mèche de cheveux qui le surplombait (même si le verbe est juste, c’est maladroit, de plus le verbe est « récurrent dans le texte…est-ce une aura ? une auréole ?)/Bien que l’entortillement des draps révèle (temps du verbe)/plancher à elle qui était par conséquent son plafond à lui (inutile non ?)/ne pas faire de bruit et ce pour ne pas la réveiller (ne pas faire de bruit suffit)/situation triviale (cette situation est triviale ou troublante ? c’est l’un ou l’autre/et bien trop peu certain de quoique ce soit : sur de rien, quoi ?/en évacuant le mal nuitamment (adverbe mal venu)/solitaires avoisinants/ et puis : RECURRENT : le mot : récurrent, finit par m’agacer de façon récurrente, il circule partout et de façon récurrente : à l’université, dans les lycées, dans les cercles littéraires, dans les prises de paroles de tous les milieux. Il y a des mots comme ça qui perdent leur sens de façon récurrente parce que ce sont des mots-tendance, de bon aloi. Le propos reste mystérieux : j’y vois une métaphore sur la naissance, la venue au monde ? Une révélation de l’être à lui-même ? La nausée de la grossesse et finalement c’est de lui-même que Bernard Schenkel va accoucher ?cela reste confus car dilué dans le texte. J’aime bien l’idée d’un texte minimaliste ou il ne se passe rien ou pas grand-chose sinon des élucubrations mentales. Du coup l’incipit : au commencement ça gargouillait dans son ventre, me semble très bien vu…le premier paragraphe aussi. La dernière phrase du dernier paragraphe devrait pouvoir prolonger l’idée de dilution du poison par le poison, quel est ce poison initial dont le mal de ventre en est le symptôme… ?La dernière phrase actuelle nuit au texte à mon avis. Le résumé d’en tête du texte reste énigmatique pour moi, de par le mot : inversion J’espère avoir pu être utile à l’auteur par ma lecture. A plus de vous lire. |
toc-art
10/6/2011
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Bonjour,
j'ai trouvé ce texte terriblement ennuyeux et affecté dans l'écriture, ne serait-ce que dans cet anonymat de Elle dont je ne vois pas l'intérêt. Mais en fait, pour être franc, je n'ai pas vu d'intérêt à ce texte qui m'a semblé terriblement artificiel. Mais je suis peut-être passé à côté. bonne continuation. |
Mona79
11/6/2011
a aimé ce texte
Bien
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Je me suis finalement reconnue dans cette situation angoissante qui a parfois été la mienne : la nuit où la douleur imprévue réveille et inquiète, le remède avalé qui fait son effet apaisant après le cortège de suppositions abracadabrantes qui l'accompagnent, puis la naissance du repos libérateur : la détente. Tout ceci est bien rendu, j'ai ri parfois : pour le coup du bélier des canalisations, par exemple...
Quelques lourdeurs dans les phrases, mais un ensemble plaisant à lire, bien qu'il ne se passe presque rien. |
Anonyme
12/6/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Texte qui n'apporte rien si l'on a pas la fin (que j'ai malheureusement pas compris). Je m'attendais à une révélation extraordinaire... Je reste sur ma faim. Une petite explication de l'auteur, peut être ?
Sinon, le style est plaisant... |
Anonyme
19/6/2011
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L'auteur s'est amusé à me balader avec ces Bernard Schenkel à répétition, ces Elle dont on peut tout supposer, cette révélation qui ne vient pas et cette fin qui ne révèle rien.
La montagne a accouché d'une souris. L'écriture est agréable, parfois énervante avec ces précisions inutiles : les toilettes de BS, le plafond qui est son plancher ... du coup, je me dis que ça a une importance, que BS est un extra-terrestre entré en collusion dans la peau de BS... (j'ai même pensé qu'il était enceint !) mais non, rien. Comme une panne d'imagination. |
Menvussa
7/7/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ce n'est pas mal écrit mais de là à en faire une histoire. Je reste sur ma faim. Des lentilles pourquoi pas mais n'allons pas en faire tout un plat.
Cette façon artificielle de le nommer Bernard Schenkel, ça ne fait pas naturel, voulu ? Certes, il est vrai que cela en rajoute mais comme le tout tourne un peu court!!! |