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macaron
1/4/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'idée n'est pas très originale, un peu scolaire, mais plutôt bien exploitée dans ce texte court. L'ecriture est parfaite bien qu'un peu pédante à l'entame de votre nouvelle.
Votre chasseur est très représentatif des émois des premiers hommes, si près de la vie et de la mort. Un texte intéressant. |
Lunar-K
18/4/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai bien aimé ce court récit, triple naissance du langage, du sacré et de la conscience de soi, dans un même mouvement de retrait. L'idée est d'ailleurs fort intéressante, et loin d'être stupide d'ailleurs (elle n'est pas tout à fait nouvelle non plus). Cette volonté de l'homme de s'extraire de sa condition temporelle par le langage, et tout particulièrement l'écriture (aussi rudimentaire soit-elle), de figer les choses et soi-même, opérant par discrimination dans le réel. Le sacré en découle, bien sûr, comme ce qui nous est absolument extérieur, donc inatteignable, inaccessible. Tout se tient bien je trouve, dans cette nouvelle, beaucoup de cohérence et de simplicité dans le propos (si ce n'est l'introduction un rien pompeuse je dois dire...), mais sans simplisme non plus. Un petit air de mythe qui me plaît bien également. C'est réussi. Bonne continuation ! |
Pimpette
22/4/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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je suis emballée par ce texte!
Sans doute parce que l'idée développée ici(qui ne m'est jamais venue à l'esprit) est une idée simple et profonde...et je l'ai sentie vraie dès la première minute! L'écriture est parfaite car j'ai suivi à peu près tout, mais le plaisir de découvrir cette belle naissance de l'écriture au plus profond d'un homme m'a beaucoup émue...et aidée... |
brabant
22/4/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Diafus,
Oui, c'est une vision très romantique de l'éveil à soi ; personnellement je suis pour une vision plus rationnelle et plus utilitaire voire terre à terre de la naissance des signes comme une prise de pouvoir sur la nature, les choses et les êtres, voire une manipulation du sacré ; la mystique n'a jamais été pour moi qu'une codification de la puissance au profit de quelques uns. D'où le (-) Mais cette lecture m'a été très agréable, qui se berce d'illusion, témoignant d'un humanisme de bon aloi que j'ai un temps partagé. Pensé un temps à la Guerre du Feu de Rosny Aîné sans la luxuriance des descriptions mais avec une foi en l'homme et en la civilisation qui me plaisent beaucoup ici. Merci pour ce texte ! "Onckr" :) |
dowvid
22/4/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai trouvé le texte intéressant. Un peu long à mon goût, parce que trop plein de bons sentiments. Mais bien écrit.
Cependant, je pense qu'on fabule trop sur la "conscience" de l'être humain. Ces premiers humains vivaient plus près des animaux qu'autre chose, et leur attribuer le désir de durer en peignant ou en gravant, je trouve ça un peu "eau de rose". Il ne faut pas oublier que les "artistes" qui faisaient de la musique ou d'autres formes d'expression du genre étaient souvent les tarés du groupe, ceux qui étaient plus faibles, ou qui avaient été blessés. Les "guerriers" en pleine possession de leus moyens avaient-ils le temps et l'énergie pour graver ou peindre après leurs journées de survivance ? Pas certain. Et les effluves de la jeune fille, c'était quand elle était prête pour la reproduction, encore là un instinct animal différent de nos sociétés modernes. Mais à part ces considérations, le tout est bien amené. Un peu Walt Disney à mon goût, mais bien. |
Acratopege
22/4/2013
a aimé ce texte
Bien
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J'avais renoncé à commenter votre texte en espace lecture. Là, je le retrouve avec un plaisir un peu ambigu: je crois que j'aime finalement, après un peu d'irritation, que vous écriviez avec une certaine grandiloquence, un peu de préciosité, la naissance de l'humain. Cela crée un contraste fond/forme qui donne de la consistance à votre récit.
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AntoineJ
13/5/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Intéressante vision de la création artistique !
Je l'aurais vu moins "visionnaire" moins "didactique" ... mais bon, pourquoi pas ! très bien au niveau du style, prenant et donnant envie d'aller jusqu'au bout juste au niveau de la fin : Demain, peut-être, Onckr, porteur de cette première lumière, mourra-t-il dans sa course à la vie, mais ce soir : « Il a entrouvert la porte des limbes du temps, et puisé aux sources de l'infini cheminement de l'homme. » cela fait vraiment trop ! |