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Anonyme
22/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir,
Ca se termine mal, finalement. Pour notre héros, car c'en est un. Il fallait faire un choix et le garçon est mort, pas la fille. Une histoire bouleversante qui m'a profondément ému. J'aurais juste souhaité une chose : que les chasseurs ne soient jamais arrivés, car dans la vraie vie, personne n'arrivent à point pour vous sauver, ou presque... J'aurais aimé qu'Aurélien se tire de cette situation tout seul. J'aurais aimé que tout le monde s'en sorte, évidemment. Et qu'Aurélien survive malgré ce poids sur la conscience. Je me dis que si j'extrapole autant, c'est que j'ai vraiment aimé cette nouvelle. Ce qui est le cas. Bravo ! Wall-E |
hersen
22/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Toute la nouvelle tient dans la notion de choix, abominable dans ce cas présent.
Ce caractère abominable est considérablement renforcé par ce VTTiste qui est là en sauveur et qui ordonne au petit garçon de pousser sa soeur; ce genre d'histoire où un fond de morale judeo chrétienne nous dit que non, c'est pas bien, me pousse toujours à me demander ce que moi, j'aurais fait. Dans le cas présent, Aurélien arrive fortuitement, rien ne le prédestinait à vivre un tel dilemme, il se trouve qu'il choisit. Pour sauver un enfant. mais quelle qu'en ait été l'issue, l'enfant survivant aussi aura gravé dans son cerveau "pousse la". Et pour moi, la véritable horreur est ici. C'est un très bon texte en ce sens qu'il met l'accent sur l'inconnu de nos réactions face au danger. je remarque une incohérence : Aurélien demande où est le garçon aux pompiers qui, eux, lui parlent de la fille; mais il y a forcément trois vélos au bord de la route, donc les pompiers auraient dû activement chercher une troisième personne et comprendre la question d'Aurélien. |
vendularge
25/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Voilà une histoire terrifiante qui rappelle bien sûr le "Choix de Sophie". Je suppose que le 2 répétitions du début (le soir venu comme tous les soirs venus/après s'être..et après s'être...) sont là pour marquer la monotonie du quotidien. Le thème du concours est tout à fait respecté. C'est donc, l'histoire qui est importante et la façon dont elle est construite, ici la construction me semble efficace. Nous éprouvons cette angoisse mêlée d'effroi. Un détail: pourquoi, alors qu'on sait qu'il va ouvrir la main gauche, demande t il au garçon de pousser la fille avec tant d'insistance (en dehors du fait qu'il faut les décrocher l'un de l'autre)? bonne chance Vendularge |
Anonyme
26/8/2016
a aimé ce texte
Pas
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Autant être franc, je n'ai pas du tout aimé. Concernant le style, je trouve que vous donnez trop de détails inutiles. Les phrases pourraient être plus courtes sans nuire à la compréhension.
Des maladresses à plusieurs endroits : "au point de se sentir violé par une angoisse incontrôlable." Violer pour parler d'une angoisse est incongru. À un autre moment vous parlez de politique, on se demande ce que ça vient faire ici. Le paragraphe 5 est flou, on visualise mal la situation. Quant à l'histoire elle est mal ficelée. Vous évoquez des problèmes de couple, ensuite une suspicion d'adultère réelle ou fantasmée, cet accident avec les enfants à la dramaturgie excessive, et enfin un suicide pour clôturer le tout ! Là-dedans vous calez le thème du concours comme un cheveux sur la soupe. |
Bidis
12/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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J’ai dû m’accrocher pour continuer ma lecture, parce que l’écriture me semblait un peu limite, ce dont je m'explique ci-après dans mes remarques ponctuelles.
Mais une fois arrivée au sauvetage des deux enfants, je suis emportée par l’action et ne peux absolument plus décrocher. Cependant, la fin de l’histoire me ramène à mon esprit critique : il aurait fallu arrêter la nouvelle à la phrase : « Le couple se sépara etc… ». C’était une chute suffisante, il ne fallait pas en rajouter, à mon avis. Le mélodrame n’est jamais très bon. Ainsi donc, j’ai vraiment beaucoup aimé le passage du sauvetage des enfants et du sacrifice obligé de l'un d'entre eux, il y a une progression dans le suspense qui est très bien rendue. Je trouve que l’auteur aurait intérêt à reprendre cette nouvelle à la lumière des commentaires des uns et des autres. Remarques : - « il se rendait dans la cuisine » : à mon avis, il aurait fallu écrire « il se rendit ». Je sais que cela peut se discuter, mais l’imparfait s’emploie pour une action qui a une certaine durée dans le temps. Pour la phrase suivante, on peut lire que « le café et sa chaleur permettent, en général, à quelques neurones etc. de sorte que l’imparfait s’accepte, mais ce n’est pas la pensée de l’auteur qui est que ce sont les neurones du personnage qui fonctionnent plus adroitement à ce moment-là, donc là encore le passé simple conviendrait mieux. Tandis que ce qui passe à la télé peut se concevoir dans la durée. - « Les trains ne partant pas à l'heure, les inondations du moment, les « fous de Dieu » qui partaient faire le Jihad » : répétition du verbe « partir » d’autant plus gênante que ces deux actions ont un caractère dramatique très différent, le premier anodin et le second tragique et qu’ils sont conjugués à deux temps différents. - « après un passage fluide dans la salle de bain, et après avoir revêtu » : répétition de la préposition « après », d’autant plus gênante que l’un est suivi d’un nom commun et le second d’une forme verbale. - « il montait dans le véhicule » : de nouveau un imparfait qui, pour moi, ne va pas. Encore une fois, j’admets que cela puisse être voulu par le style. Mais alors, il faudrait que celui-ci soit, d’autre part, parfait. - « Aurélien poussa plus encore ses pensées… Il avait bien en tête un moment particulier auquel il pensait souvent » : je ne trouve pas très heureuse l’expression « pousser des pensées » et dans ces deux propositions qui se suivent, on a la répétition « pensées/pensait ». Mon évaluation est une moyenne entre des ressentis très différents vis à vis de ce même texte. |
Anonyme
12/9/2016
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je n'ai pas trop aimé ce récit.
Tout d'abord je trouve le thème du concours un peu trop plaqué, pas vraiment support au récit. Ensuite l'écriture me gêne : c'est parfois lourd, un peu convenu, simpliste. C'est finalement assez rébarbatif à lire. Enfin: je trouve dommage cette accumulation de malheurs ! Que le couple batte de l'aile plus la mort des enfants plus le suicide plus Émile Zola etc...c'est beaucoup! Trop même. Sinon je ne vois pas trop l'intérêt de parler de Chamalieres et Vichy qui n'ont aucun impact sur l'histoire! (Pourtant ces deux villes feraient de tres bons supports). Félicitations tout de même d'avoir tenté de relever ce défi, ce n'est pas rien et c'est tout à votre honneur. |
plumette
12/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce texte démarre lentement en décrivant un peu lourdement une certaine banalité de la vie. Je me suis vraiment demandée où l'auteur voulait en venir et puis, avec le récit du " sauvetage" l'action a pris le dessus d'une façon magistrale et j'ai oublié un certain questionnement comme: un précipice dans une fôrêt avec un un vrai risque mortel? 2 enfants jeunes livrés à eux-même qui courrent après un lapin et rammasse des myrtilles dans les bois à côté de Chamalières, à quelle altitude?
le dilemme horrible d'Aurélien et sa façon de le résoudre m'ont tenu en haleine jusqu'à la chute du garçon. Après, j'ai regretté le choix de faire intervenir des tiers et également la fin de la nouvelle qui m'a un peu rappelé la lourdeur du début. Pour moi, le thème du concours est bien là, il y a un véritable basculement en quelques secondes. Par contre la manière d'amener les 13 secondes dans le texte ne m'a pas convaincue, et du coup, le titre non plus. le clin d'oeil des 13 chpitres ( ou paragraphes) ne me parait pas utile. ce texte est tout de même un tour de force pour sa progression dramatique. Plumette |
in-flight
12/9/2016
a aimé ce texte
Pas ↓
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Bonjour,
Une histoire tragique qui s’encombre de détails inutiles. Je vais cité un exemple ci-dessous, sachant que j'ai repéré 3 ou 4 cas de ce type: "Heureusement pour lui, le vêtement était de bonne qualité, les coutures semblaient résister au poids de l'enfant." Deuxièmement, l'écriture ne me semble pas avoir été assez travaillée. Le style est (trop) simple, mais ce qui me dérange surtout c'est de ne pas pouvoir m'identifier à votre personnage, la faute à un une écriture trop neutre qui s'apparente à un rapport ou un récit linéaire:"On l'affubla d'un plâtre au bras droit qu'il dut garder pendant trois mois durant".--> pendant/durant dans la même phrase alourdit le propos Enfin, le thème du concours apparait d'une façon que je trouve forcée. la malédiction du chiffre 13 et l'inévitable "tout bascule" à la fin du compte à rebours (qui donne lieu de titre à ce récit). Bref, sans moi du début à la fin pour ce texte. |
Alphekka
12/9/2016
a aimé ce texte
Pas
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Le truc qui me gène dans ce texte est que la situation aurait pu être résolue beaucoup plus simplement si Aurélien avait appelé les pompiers au lieu d'essayer de les tirer hors du trou... non ?
Je n'arrive pas à rentrer dans un texte avec ce genre de problèmes de logique... Et puis le déroulement de l'action est très flou. J'ai dû relire une deuxième fois pour bien comprendre ce qu'il se passait. Mais bon. En fait, je crois que j'en ai assez de tous ces textes qui finissent mal. Ce n'est plus original à la fin ! En plus c'est déprimant. Ce texte en particulier a beaucoup trop de pathos à mon goût (surtout le flashback et la malédiction du chiffre 13 qui sont de trop à mon avis) |
Charivari
12/9/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour.
Je n'ai pas trop apprécié ce texte, désolé. La première partie, qui parle de la vie quotidienne du personnage, avec même des détails sur la manière dont fonctionne une cafetière et les infos de la radio, ne sert strictement à rien et même me paraît assez mal écrite. Ensuite, on nous parle de la relation entre le personnage et sa femme... Mais ensuite, vers le milieu du texte on se rend compte que le sujet est tout à fait autre : l'accident et le choix déchirant que doit effectuer le personnage. Malgré toutes les tentatives pour essayer de concilier les vicissitudes de la vie maritale d'Aurélien et la scène de l'accident, je ne suis vraiment pas convaincu par le rapport entre les deux éléments du texte, sauf le fait qu'Aurélien a deux filles, ce qui aurait pu être dit avant, je pense. Le noeud de l'action, -l'accident, la falaise, les deux gosses- est vraiment intéressant, cependant, à mon avis la fin gâche tout, avec le suicide du personnage, c'est beaucoup trop larmoyant pour moi, et trop abrupt, j'aurais préféré qu'on reste dans les demi-teintes, dans le psychologique, dans le complexe. |
Pepito
12/9/2016
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Bonjour,
Forme : en voilà une ékriture qu'elle est marrante ! "Ce vendredi-là" "comme ... tous les autres jours de semaine" faut savoir c'est "ce jour-là" ou "tous les autres jours" ? "mystère inconscient" quoi ça y'en a être "un mystère inconscient" ? "inconnu" et "machinal" à la fois ? "le trajet de son travail" passe par la cuisine ? ... "lancerait le processus de filtration." 3-2-1... Ingnition ! "parcourant l'œsophage, permettrait à quelques neurones encore chancelants de fonctionner plus adroitement." un œsophage cervical en quelque sorte... ;=) une neurone plus adroit, c’est un un neurone qui capte mieux les idées je suppose. "les phrases débitant les malheurs" les phrase ne débitent pas, elles sont débitées... "après un passage fluide dans la salle de bain" ça, ça coule de source... "sa tenue hebdomadaire" et le troisième mercredi du mois, changement de slip ! > " tenue de travail" peut-être "le véhicule qui lui servait d'outil de travail." il est croque-mort ? "tous les soirs venus de la semaine" quoi ça y'en a être, "des " soir venus (vidus vecus) "piloté son réveil par le biais de son téléphone portable" whoua ! La domotique est au taquet, chez notre héro... Moi qui programme bêtement la fonction réveil de mon téléphone ;=) ... "Aurélien se disait, comme souvent il l'éprouvait sur son vélo, que la vie était belle. " heu… il éprouvait la vie sur son vélo ? ... "On l'affubla d'un plâtre au bras droit " et d'un nez de clown ... "fluide glacial" haaaa, enfin une référence qui me parle ! ;=) ... "Aurélien se tétanisait, de tout son corps." Il a essayé de se tétaniser du corps d’à côté mais c’était pas efficace… Fond : Désolé, j’peux pas dire, j'ai abandonné ma lecture avant le décompte final... Merci beaucoup pour cette lecture très rigolote. Pepito |
MissNeko
12/9/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir
Sur le fond : trop de malheurs tue le malheur. On passe d une suspicion d adultère à un accident puis une séparation Et un suicide. Le thème du concours est respecté. Sur la forme : des phrases longues et parfois maladroites, des détails inintéressants. On se perd un peu. Le style est un peu scolaire. |
JulieM
13/9/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Cette histoire aurait pu me convaincre mais :
1) l'écriture est peu soignée, beaucoup de fautes en tout genre. 2) le passage crucial est rallongé inutilement et amène l'effet inverse de celui désiré. 3) finalement, je n'ai pas cru à cette histoire à cause de ces défauts, il y avait de l'idée pourtant ! La sensation générale que le texte n'a pas été travaillé, relu, agencé. Dommage, merci du partage. |
placebo
13/9/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je vois le début comme une introduction, qui permettrait de se lier au personnage, de s'attacher à lui. Je trouve cette partie moins entrainante que le reste, les details donnés sont-ils pertinents ?
La deuxième, avec l'action, est vraiment prenante, mais là j'ai eu un souci de visualisation de l'action. La troisième, epilogue, me laisse un peu sur ma faim - après s'être battu, partir comme ça ? De bonnes choses au final, mais pas convaincu. Bonne continuation, placebo |
Anonyme
5/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
J'ai beaucoup apprécié le suspense et le choix impossible. Cette partie est très bien rendue. C'est très prenant et donc très réussi. Bravo pour cela. En revanche, tout le début me semble inutile, les problèmes de couple par exemple, cela fait remplissage, pourquoi ne pas simplifier au contraire, une vie tranquille, voire douillette, partir faire du vélo, en faire un moment de loisir hebdomadaire, presque routinier, un plaisir simple qui va contraster avec le drame. Pareil, pour la suite, encore des accumulations de drames... Trop c'est trop, ce qui m'a fait sortir de l'histoire. Dommage. Bonne continuation. |