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Anonyme
14/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ah, j'aime beaucoup ce genre "flash qui en dit long". C'est quelque chose de difficile, que je ne crois pas avoir encore réussi. Là, pour moi, le texte parle, les personnages s'animent, ont une vraie présence. Un bémol toutefois pour la fin, elle au contraire je ne la "sens" pas comme ça : elle me paraît trop appuyée, annoncer trop brutalement ses intentions. Dommage.
"J’ai l’impression de regarder le monde, mais c’est le monde qui m’ignore" : bien vu ! |
brabant
19/10/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Doug-Pluenn,
"Trois personnages, trois destins, trois instantanés" : Trois "personnages" ?... Il y en un qui est aux abonnés béats absents, un autre qui est aux enregistreurs observateurs absents, ne reste que la dame "au chapeau rouge"... De même un seul destin, le sien ; et un mitraillage d'instantanés, pas trois, mais sur elle seulement. Un lien peut-être : la tasse de café, mais la tasse de café comme attente. Comme l'attente risque d'être longue je souhaite pour eux qu'on leur ait servi un robusta. lol L'expression est élégante tout comme cette femme en rouge. On ne pose pas de lapin à une femme telle que celle-là ; il doit être arrivé quelque chose à son correspondant, absent lui-aussi. "Bien -" parce que j'attends le suite... Dépêchez-vous car, pour ma part, je n'ai que de l'arabica à ma disposition... Merci ! :) |
rosebud
19/10/2012
a aimé ce texte
Pas
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Beaucoup trop d'imperfections, d'à-peu-près, ou de maladresses pour que je puisse apprécier:
- pourquoi constater qu'en effet le deuxième paragraphe n'est pas passionnant? Pourquoi pas plutôt l'éliminer? - elle s'est juste posée là: comme un moineau? Je trouve l'expression disgracieuse, voire impolie avec la dame - c'est le temps qui est assassin: ça c'est déjà pris (Renaud - Mistral gagnant) - ça va faire mal: limite hors jeu comme expression dans ce contexte et dans ce style - un autobus dans la rue fait trembler le sol: un tramway, ou le métro peut-être. Mettons que le bus fasse trembler les vitres - ses doigts agiles, aiguisés comme des serres: on dirait OSS117. Et plutôt que les doigts aiguisés, j'aurais préféré éventuellement les ongles - sur le trottoirs le bruit des pas feutrés s'étiolent: on a posé de la moquette sur le trottoir? - le rendez-vous a rendu les armes, vaincu:?? Je suis sincèrement désolé d'être un peu sévère, mais ça fait beaucoup pour un texte aussi court et dont le concept est potentiellement riche. |
placebo
20/10/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Je trouve que le texte part sur une base potentiellement intéressante mais qu'il y a de légères maladresses dans le style qui ne me permettent pas de rentrer dans l'histoire. "le serveur dans une brasserie" : un peu lourd, le serveur d'une brasserie ? "c'est passionnant" : bien aimé mais casse l'ambiance "ou elle s'est juste posée là" : pas très clair si c'est une interrogation ou non "Je ne tue pas le temps, c'est le temps qui est assassin" : je trouve la phrase trop "grandiloquente", un peu comme si elle avait été préparée avant mais qu'elle n'est pas sortie au bon moment, parce que là il me semble qu'il tue bel et bien le temps. "ou non" : alourdit je pense Sur le fond, pourquoi pas. Il y a effectivement ce lieu où les trois personnages attendent que le monde vienne à eux mais ils restent seuls. La rue les ignore, la nuit se lève. Je trouve qu'on en sait trop peu sur les personnages, trop peu d'empathie, trop peu d'intérêt pour cette dame malgré les tentatives du narrateur d'en savoir plus. Bonne continuation, placebo |
Anonyme
21/10/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime beaucoup la narration par ce personnage présent sans l'être.
J'aurais aimé plus d'intensité sur la dame au chapeau rouge, une analyse plus approfondie de son personnage et peut-être plus de lien entre elle et le narrateur. Sinon, j'ai beaucoup aimé le texte dans sa globalité. Bonne continuation. |
Anonyme
10/4/2013
a aimé ce texte
Un peu
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ton texte est intéressant, il captive, plus tu lis plus t'a pas envie de t’arrêter tu a envie de connaitre ce que va faire l'homme. mais très souvent trop de suspence dans un texte tue l'émotion à transmettre
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