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Anonyme
20/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Très joli texte. Très bon rythme, ça se lit tout seul. Un seul bémol, ici : "Il était aussi une fois un homme brisé." le "aussi" casse mon rythme de lecture. J'ai aimé l'histoire et la façon de la raconter. J'ai pensé évidemment à l'autisme mais la fin a changé la donne. Aucune importance, des êtres ainsi faits existent probablement. L'amour est cruel, on ne le répètera jamais assez. |
alvinabec
20/11/2013
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Texte on ne peut plus elliptique où le lecteur est constamment baladé sans pouvoir poser ses fesses sur un trépied stable. J'ai successivement cru lire un conte, une allégorie, un portrait d'autiste léger puis celui d'un schizophrène délirant, enfin un homme en état de catatonie, non un fantôme d'ogre 'tué' par un chagrin d'amour. A cause de ces occurrences multiples que le texte propose, je n'ai pu accroché à ce personnage, pour moi protéiforme. |
Anonyme
22/11/2013
a aimé ce texte
Bien
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Voilà une histoire glaçante, je trouve, un instantané effrayant, logique, implacable et loufoque. Une réussite dans son genre, un mouvement efficace, mais je trouve la fin faiblarde : l'ogre malheureux détruit par l'amour, pour moi c'est un peu facile... J'ai eu l'impression que vous n'aviez pas trouvé comment clore votre idée, votre déclinaison de talent malheureux.
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jaimme
30/11/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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L'idée est très belle et vouloir l'écrire à la manière d'un conte une très bonne idée. Je regrette pourtant deux choses: trop de fois vous répétez "il était une fois...", dans un texte aussi court je n'en vois pas l'utilité et cela casse le rythme de la lecture; la fin, d'autre part, n'est pas assez claire ("emportée au bras de son homme" ne donne pas de clef évidente"), elle manque d'être peaufinée et c'est dommage car les expressions poétiques sont présentes sans être assez nombreuses.
C'est donc, à mon goût, et seulement à mon goût attention, presque réussi. |
i-zimbra
13/12/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Une belle idée, qui n'a pas besoin d'être originale.
"Intelligent" arrive cinq fois, trois fois "suprêmement". Bien, moi déjà je ne sais pas trop ce que c'est, intelligent, mais l'ogre montre surtout de grandes facultés de régurgitation. Il aurait fallu quelques exemples de plus, et moins les développer. Le faire plus physicien ou philosophe que musicien, puisqu'il est défini comme avide de savoir. Que la fille soit partie au bras d'un autre laisse penser que la déchéance d'Edgar peut venir d'une déception amoureuse ; c'est dommage, parce que tout son parcours tend à prouver que c'est sa rationalisation dévorante qui a simplement buté sur l'ineffable. Je ne regrette pas de ne pas avoir entendu sa musique. S'il pouvait s'avérer vrai musicien, il se sauverait par sublimation. |
Robot
13/12/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce qui me semble curieux, c'est que j'ai eu envie de poursuivre ce texte jusqu'à la fin car cette forme de mystère me plaisait. Je voulais savoir ce qu' était Edgar. Mais mon exigence était trop concrète puisque lecture terminée je n'en sais guère plus sur ce qu'était le personnage. Je sais tout sur ses capacités, mais il reste un mystère cet affamé de savoir qui semble ne pas connaître le comment de ce qu'il sait... et au fond, cela me plaît.
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Pepito
13/12/2013
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Forme: çà file à toute allure, belle envolée.
Peut-être, un à la ligne avant "Un jour, un vieux..." et un abus de "Il avait été une fois..." Une palme pour "Une capacité à englober ce qui l'entourait qui frisait le gargantuesque." Fond : les décimales de Pi m'ont d'abord gêné, avant de réaliser que tout est maths, en dehors de l'imagination. Merci pour la lecture Pepito |
placebo
13/12/2013
a aimé ce texte
Bien
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J'ai lu ; le début me faisait penser à un manga de Tezuka, la femme insecte, sur une personne qui "avale" les talents des autres. Et puis on part dans un monde froid et mathématiques, finalement, avec une unique femme comme bougie dans la nuit.
Je trouve que le texte arrive à maintenir une certaine tension tout du long et que la fin arrive presque rapidement/sans très bien tout dévoiler. Bon, j'accepte de ne pas tout savoir ^^ J'aime bien le prénom Edgar pour ce personnage. Bonne continuation, placebo |
senglar
21/12/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Dowvid,
Que conclure de ce récit aux allures de conte, comptine et parabole ? Que la femme est plus complexe que le plan d'un quillard, d'une galère (voyez où celle-ci a mené notre héros !*), que l'architecture de Notre-Dame avec ses gargouilles (ibidem*), que la structure d'une mélodie de Beethoven (ibid*), puisque que celle-ci à fait péter les plombs, les sens du remarquable cerveau comme des remarquables oreilles d'Edgar. Le voilà donc "catatonique" à cause d'une femme des bois qui a fait glouglou. Pour le guérir je conseillerais un flacon d'Obao à la fraise... des bois. Cela va de soi :) Pas si ogre que cela l'Edgar, mais diablement attachant ! Brabant :))) |
carbona
11/11/2015
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
Je n'ai pas été très séduite pas ce texte. D'emblée je n'accroche pas avec l'adresse au lecteur du début et puis la structure du récit 'il était une fois..." ne me plaît pas beaucoup car ça traîne. Donc je m'ennuie un peu et commence à survoler les prouesses d'Edgar jusqu'à "Edgar ne savait pas pourquoi tout le monde le regardait de cette façon." où là je pense à une personne autiste et cette possibilité éveille mon intérêt. Mais je suis déçue car le récit introduit la femme, la cause de son état catatonique. Catatonique, je ne connaissais pas, en cherchant dans le dictionnaire j'ai vu que c'est un état léthargique très souvent rencontré dans des cas de schizophrénie. Est-ce le cas ici ? Ou s'agit-il d'une personne autiste comme je me l'étais imaginé ? La chute "mourir" d'amour ne me séduit pas. Une autre fois peut-être. Merci pour ce texte. |