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florilange
16/6/2010
a aimé ce texte
Bien
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Belle imagination sur un sujet dont on pourrait croire qu'il ne passionne personne. Et chute surréaliste d'un texte dont la rédaction est correcte. J'ai lu avec un petit sourire cette personnification d'un radar autoroutier.
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placebo
17/6/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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moui, la nouvelle ne tourne pas qu'autour de cette femme, j'ai beaucoup aimé l'entrée en matière. dommage malgré tout que le titre en révèle autant.
j'ai vraiment aimé ce détraquage, cette machine qui ne supporte plus l'ennui et qui s'amuse comme elle peut, cette mort programmée, cette fin... je supposais qu'ils allaient se retrouver, mais pas pour aboutir comme ça :) vraiment rien à redire. du bon travail. peut être espacer un peu plus les paragraphes. Ah si : ''près'' répété première phrase. j'ai vérifié des informations sur les radars, dont cette quatrième génération, tout à l'air cohérent, je n'ai cependant pas d'infos sur une mémoire internet et une transmission à 21 heures, ce serait plutôt transmis en direct. bonne continuation |
Anonyme
22/6/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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L'histoire se lit bien. La structuration est bonne. La première partie montre bien la vie d'un radar assez classique; avec une classification amusante des automobilistes ayant des excès de vitesse.
La seconde est beaucoup plus romanesque. La progression et le rythme maintient l'intérêt. Des idées assez originales : les clichés artistiques, le radar qui se démotive, devient obsessionnel, et sombre dans la folie... La chute est surprenante et intense ! Dommage que certaines constructions de phrases soient lourdes, et que trop souvent soient utilisés des "ce", des "c'est", des "il y a". Bonne continuation à l'auteur |
Myriam
26/6/2010
a aimé ce texte
Bien
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Assez séduite par cette nouvelle burlesque et tragique.
Le point de vue du radar est très amusant, regard malicieux et lucide sur ses "victimes". Le narrateur-"personnage" existe, et son écriture le rend attachant. Les petits détails de sa vie m'ont fait partager son quotidien et ses occupations avec beaucoup de plaisir dans toute la première partie. J'aime beaucoup l'idée du radar/photographe amateur aussi! Quant à la deuxième partie, si j'en aime le thème, beaucoup même, je suis moins convaincue par son traitement. Je trouve l'écriture un peu en deçà, pas assez percutante. Par exemple: "Je suis maintenant devenu obsessionnel. Je passe des heures à consulter la photographie de la fille au cabriolet vert italien des années soixante et je mets mon système en veille l’autre majeure partie du temps...". La phrase est un peu maladroite, un peu lourde, alors qu'elle est un pivot important de l'histoire. Et le reste du paragraphe est trop répétitif à mon goût, même si je comprends bien que c'est une façon de traduire l'obsession. Le dernier paragraphe, je l'aurais vu plus haché, moins compact. Pour étirer le temps... L'autre élément qui me gêne vraiment, c'est l'emploi des temps... Hésitation manifeste entre le présent/passé composé d'une part, et le passé simple/imparfait/plus que parfait de l'autre, qui brouille un peu le texte. Et le présent du début du texte: "Cela fait maintenant près de deux ans je suis installé prés de Millau sur l’autoroute A75 en direction de Montpellier." ne correspond pas à celui de la fin "Tout va bien maintenant, nous sommes ensemble.", puisqu'à ce moment là, moment de l'écriture, il n'est plus installé sur l'autoroute n'est-ce pas? Voilà une incohérence qui perturbe un peu mon plaisir de lectrice! Un bilan un peu partagé donc, mais l'idée de récit et si séduisante et le personnage si touchant que le positif l'emporte! |
Anonyme
1/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour DTW
Rien qu'au titre j'avais envie de la lire. J'ai aimé et j'ai éclaté de rire (j'en ris encore en y repensant), les portraits des conducteurs sont saisissants de vérité (je me suis reconnue dans l'étourdie, c'est à la virgule près ce qui m'arrive ! épatant !) Ce radar est vraiment un bon radar et j'ai compati à sa tristesse, a son usure, à ses folies douces et ses clins d'oeil. J'adore quand les objets me parlent. Je ne les regarderai plus jamais de la même façon. Ou de la même en riant encore plus fort parce que je repenserai à cette nouvelle. J'étais vraiment emballée par ce texte, bien écrit, rien à lui reprocher sinon des formulations que j'aurais changées, mais c'est une histoire de style et j'y touche pas. Plus. Oui donc j'étais emballée vraiment et arrivée au moment clé je me suis dit : comment ça va se terminer ? La fin est bonne mais elle me déçoit un chouia. L'originalité était là dès le début, mais là, oui c'est une belle et bonne fin mais il lui manque ce qui m'aurait carrément "transportée". Le cabriolet vert est attendu. Il arrive. C'est peut-être ça que je reproche à la fin. Très bonne continuation à l'auteur. Merci pour ce moment de détente. Bien + c'est pas assez, Très bien c'est pas tout à fait juste. Donc bien ++ |
littlej
1/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Excellent. Je suis absolument épaté.
Un des meilleurs textes que j’ai lu sur Oniris. Pour moi, cette nouvelle ne présente quasiment aucun défaut. Une écriture limpide, précise et concise. Que dire ? Que déplorer ? Un sujet des plus banals, mais en nouvelle je ne l’ai jamais vu traité… et avec quel brio ! Parlons maintenant du traitement global du texte : Le squelette du récit est maîtrisé et très bien construit. Les bonnes idées foisonnent (la précision des distances par exemple, il fallait y penser quand même). Même le titre est intelligent ! Il tient le lecteur en haleine car il prépare déjà la rencontre. SEUL bémol à mon avis : la fin. Traitée quant à elle avec moins d’intelligence, de dextérité, et avec plus de simplicité (l’effet dramatique rendu par les phrases courtes me semble facile) mais tout de même d’un réalisme cruel (qui n’est pas encore assez accentué je pense). En somme, une nouvelle d’une grande richesse, portée par un style limpide, et d’une originalité réjouissante. Merci DTW de m’avoir rassuré ; il m’est toujours possible de me régaler sur Oniris. j EDIT : quand on lit de plus près, on peut remarquer un souci évident selon moi de ponctuation qui alourdit les phrases : "Je passe des heures à consulter la photographie de la fille au cabriolet vert italien des années soixante et je mets mon système en veille l’autre majeure partie du temps pour rendre mon agonie moins insupportable." "Je veux mourir en fixant sa silhouette mais je ne peux m’empêcher de regarder le fourgon se ruer vers moi comme un taureau rendu fou par la vue d’un foulard rouge." |
Anonyme
1/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est excellent. Le type même d'histoire sympathique bien écrite et agréable à lire. D'abord parce que le sujet est original et que le récit va bien plus loin qu'il n'en a l'air dans la mesure où ce radar est diablement humain. J'ai lu cette nouvelle avec grand intérêt et plaisir du début à la fin. Je ne dirai pas que je ne l'avais pas devinée, la fin, mais j'aurais été fort contrariée si elle avait été différente. Je sens que je vais regarder les radars d'un autre oeil...
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alifanfaron
2/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un style un poil trop "simple". Pour tout le reste, il n'y a rien à dire. L'originalité de l'histoire, la chute, la manière dont elle est amenée, le souci du détail, et te tout très concentré! Chapeau bas DTW!
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doianM
2/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un beau texte, bien tourné.
L'imagination de l'auteur n'est pas gratuite. C'est un peu dans l'esprit des fabulistes d'antan. Et l'dée de l'amour et la mort, intéressante et touchante. Davantage car l'acteur "pensant" n'est qu'un automate. . |
Selenim
2/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le texte a l'originalité de son narrateur. C'est frais, humble, imaginatif. Les éléments techniques sont bien insérés dans l'ensemble plus romanesque. Quand on commence à se dire "Tiens, on dirait un documentaire", la narration reprend la voie de l'intrigue.
L'idée est non seulement sympa mais elle se renouvelle jusqu'au crash final. C'est amusant de voir le quotidien d'un radar, à travers une multitude de facettes bien servies par l'imagination fertile de l'auteur. J'ai trouvé par contre le style un peu en retrait. D'un côté, ça semble logique, c'est une boite qui cause. Mais je suis malgré tout un peu déçu par ce manque de personnalité et de risques. J'aime l'idée qu'un radar puisse s'humaniser à force de prendre en photo des hommes et des femmes au volant. Une sorte de mimétisme létal. Avec moins de répétitions et une écriture plus caractéristique, ce texte pourrait prendre de la hauteur. Selenim |
jaimme
3/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Là on est dans l'originalité. Un thème, un traitement, une fin. Je pense qu'on peut faire encore quelques améliorations dans le traitement, en particulier dans la progression vers l'obsession morbide et amoureuse, mais c'est une nouvelle vraiment intéressante. J'aurais même aimé (mais je connais mes goûts, souvent dans l'exagération) que ce radar fut de génération 27, ouvert à de multiples possibilités car là on ne comprend pas bien comment un radar actuel peut dériver car je ne crois pas que les processeurs intégrés soient bien puissants.
Je constate quand même que le passage du présent au passé est un peu trop anarchique et perturbant pour la lecture. Merci! jaimme |
aldenor
3/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une idée originale, pleinement exploitée avec tous ces petits détails bien « observés » de la vie d’un radar. …
Quelque chose me dérange cependant dans l’utilisation des temps et la construction du récit : On ne comprend pas où commence la narration au présent. Je retiens au début : « Je passe la totalité de mon temps à prendre des clichés …. Ma vie est loin d’être passionnante, mais je ne me plains pas. ». Plus tard : « Je tourne en rond, j’attends la fin. » La séparation se situe à : « Puis un jour je me suis lassé de tout ça. » Mais avant comme après le récit est au présent. Avec des écarts, en particulier dans ce paragraphe : « Puis un jour je me suis lassé de tout ça. Plus rien ne me fait vibrer. […] Je devins vite acariâtre…. » Dans un même paragraphe, trois temps discordants. Le récit en perd ses repères chronologiques. La jeune femme aurait pu être amenée en scène dès le début : c’est d’elle que le radar veut nous parler en fin de compte ; son impulsion devrait être de parler d’elle tout d’abord, ensuite de se lancer dans l’histoire de sa vie, pour revenir sur ta fusion finale, qui me plait beaucoup. Je me résume : des failles dans l’écriture, mais de très belles idées. |
Anonyme
4/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Des radars qui s'humanisent ? qui ont une "âme" ? AU SECOURS !^^
Non, mais ceci dit j'ai trouvé l'idée amusante, le traitement assez honnête aussi, les conducteurs classés par "type", assez bien vu. Mais, mais, je n'y ai pas cru... Peut-être aurais-je pu si vous aviez poussé le "délire" en le faisant aimer une "radarette" ?. Pas un seul instant je ne suis parvenu à me faire à l'idée que ces trucs carrés et moches m'ayant déjà piqués au moins 100 euros puissent avoir des états d'âme, même amoureux. Mais sinon j'ai passé un moment de lecture assez sympathique. |
marogne
6/7/2010
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai trouvé le début un peu trop long, et pas très loin d'une notice d'utilisation ou de promotion de l'engin. Vers la fin, on respire un peu, il y a quelque chose dans ce radar, mais alors, c'est, pour moi, un peu trop vu le début.
Et quel dommage de la tuer cette belle italienne (oui je sais il n'est pas dit qu'elle est italienne, mais ça fait tellement cinéma italien des années 50 que je ne pouvais pas ne pas le déduire). Vers le milieu, l'usage du passé m'a étonné, autrement j'ai trouvé l'écriture agréable. |
costic
6/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Faire la connaissance de ce radar farceur a été très agréable. La description de l'Italienne et les répétitions du "cabriolet vert italien des années soixante ":me paraissent très pertinentes et donnent un rythme interressant au récit. Le passage au présent rend l'histoire plus "vivante", peut- être que ce temps aurait mieux convenu à tout le texte. Des problèmes de concordance de temps avec je devins au lieu de je deviens, je n'avais pas pu...Une lecture très agréable et une l'idée géniale de prêter vie à ces machines qui ont bien besoin de nous paraitre plus humaines.
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LEVENARD
7/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bon crescendo.
Ecriture efficace. Pas de longueur préparatoire trop appuyée. J'ai senti la mort venir, je ne la savais si cruelle. Félicitations. |
silene
14/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Scotchant, à défaut de flashant. Bien torché, bien mené, un texte délicieux.
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Anonyme
15/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Idée vraiment originale et je me suis facilement projetée dans ce radar qui voit toute sorte de gens défiler avec des mimiques et des humeurs variées à faire rire mais également à son destin solitaire et un peu triste en dépit de sa bonne volonté et de ses efforts pour rendre sa tâche plus agréable.
Ce mal aimé amoureux qui s'accroche à la dulciné comme à une bouée de sauvetage et le dénouement burlesque et pathétique. Une surprise agréable. Juste une petite remarque. "C'était la solution de facilité" est inutile à mon avis car évident. Et la dernière phrase me paraît un peu plate. Sinon le style de narration est tout à fait adapté au personnage. Dorénavant, j'offirai un clin d'oeil condescendant aux radars en espérant qu'ils ne s'éprennent pas de moi :-) |
Yaya
26/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magnifique! Le panel d'émotions que vous parvenez à nous faire partager, amusement, attendrissement, frayeur, tristesse… Un véritable tourbillon servit par une écriture belle et fluide. Le sujet est en plus original. Que demandez de plus? Rien… Merci beaucoup.
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monlokiana
26/7/2011
a aimé ce texte
Pas ↓
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Cette nouvelle ne m’a pas plu.
L’idée est originale c’est vrai, c’est fluide, ça se lit bien, ce n’est presque pas ennuyant, aussi, c’est vrai… Mais, l’histoire des radars prend au moins 95% du texte, la romance, 5%. De ce fait, je ne sens pas trop bien le coté sentimentale/romantique de ce texte. Et je me suis agacé du mec qui parle de lui et de ce son boulot, de comment il se fout de ce pense les gens qu’ils arrêtent. L’auteur nous le force, le lecteur n’a pas son terrain de jugement ni la liberté d’apprécier comme il le veut le narrateur… La première phrase du texte m’a un peut confus : « Cela fait maintenant près de deux ans je suis près de Milau… » Il ne manquerait pas un « que » ou une «, » après « ans ». ? Et sur la fin, la femme est morte. Et le narrateur aussi, je me trompe ? D’où raconte t- il son histoire ? En étant vivant ou en étant au-delà avec elle ? Comme je le disais, je suis indifférence à cette nouvelle. Elle me parait trop…technique… |