|
|
Neojamin
25/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
Un très beau texte, mi conte mi poème. Etant plus spécialisé dans la nouvelle, je ne sais pas trop quoi dire...mais ce fut un beau moment de lecture. Je n’ai rien à commenté sur la forme. C’est poétique, c’est touchant...Merci pour cet instant! |
Anonyme
10/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un décor de carte postale ancienne. Des personnages de contes, une ambiance heureuse, sécurisante, simple, et puis l’absurde s’en mêle et le personnage principal est plongé dans la fureur.
Il ne s’en remettra pas. Puis on revient un peu au décor du début, beaucoup de joie et de soleil en moins. Il y a sûrement encore beaucoup à en dire. C'est bien. Votre idée est originale surtout quant à la forme du texte. Bravo ! |
Pimpette
10/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Ce sont les deux longues premières strophes qui font mon bonheur!
Deux personnages tellement forts que je crois avoir connu Mimile dans nos campagnes normandes! UN grand coup de coeur Le reste est bon aussi mais ce n'est plus la même émotion pour moi! "Il offre un oignon cru au petit déjeuner avec de larges tranches de miche et du pâté, et l’éclat de sa voix fait peur à Carabosse. Oui! Oui! Je l'ai connu... Tout le monde l'appelait Muller' mais ce n'était pas son vrai nom... |
Anonyme
10/4/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Je ne vois pas l'intérêt d'avoir mis ce texte en poésie qui n'en est pas une alors qu'il aurait pu faire une très belle nouvelle.
C'est dommage à mon sens car la forme freine l'histoire qui se serait mieux développée en prose. Un exemple avec la première phrase ... j'aurais préféré lire : "Mimil est un géant comme on en voit dans les contes" et que les rimes et les pieds soient envoyés au diable. |
placebo
11/4/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Jolie forme et joli texte, j'ai suivi l'histoire avec plaisir.
Le Vietnam, ça me semble tellement lointain… presque autant que le moyen-âge et la fée Carabosse. Merci pour le rappel, placebo |
Anonyme
11/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Salut Edgard et respects à Mimil et Bicalin...
Et dire que j'ai failli passer sans les voir... Une superbe histoire que les gens de vingt ans ne peuvent pas connaître et qui me ramène à l'enfance quand les légionnaires et autres bidasses rentraient d'Indo comme on disait à l'époque... Le cuir et le cœur tannés par ce qu'ils avaient subi ou fait subir, beaucoup d'entre eux plongeaient dans la piquette comme on disait alors et ne s'en remettaient jamais vraiment. C'est tout cela que votre récit me rappelle et je revois ces pauvres types qui souvent n'avaient qu'une idée en tête, repartir là-bas tant ils étaient mal considérés au pays... Merci Edgard pour ce récit sans fioritures et tellement vrai ! |
Francis
13/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Une histoire, des mots qui interpellent ! L'histoire de Mimil m'a d’abord emmené au bout de mes souvenirs, au cœur de mon enfance : "oignon cru, tranche de miche, gerbes dorées, la batteuse..." Et puis, il y a ce voyage dont on ne revient pas indemne. Dans les livres d'histoire, on cite les morts, les blessés mais on oublie ceux dont la vie ne sera plus jamais comme avant. Là-bas, ils ont laissé leurs rires, leur insouciance. Désormais leurs nuits sont hantées par des visages, des fantômes. Durant mes recherches, j'ai rencontré des survivants des camps. Quarante ans plus tard, ils faisaient encore des cauchemars. Certains parlaient de ce passé enfoui, douloureux pour la première fois. Mimil méritait ce coquelicot que Bicalin avait cueilli pour lui. Une belle plume qui raconte simplement et avec beaucoup de poésie l'histoire de Mimil.
Merci. |
AnneMariesquieu
14/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
C'est un texte fort pour un" monde" simple; Je trouve la forme géniale, renforçant ce contraste; Beaucoup de trouvailles: "on s'aime sans le dire" "les minuits mangent les midis"...Même les rimes particulières donnent du rythme tantôt paisible, soudain plus inquiétant.J'ai trouvé les deux vers:
"C'est un pays lointain de grands fleuves et de boue, et de soleil ardent, il y a des fusils... extraordinaire! Cette rupture brève des fusils claque la guerre dans ce paysage où on s'alanguissait déjà... Je le relirai souvent. |
Anonyme
3/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
j'ai beaucoup apprécié votre texte, en sachant que cette année, nous étudions la guerre et ses conséquences, j'ai lu beaucoup de texte qui traite de ce sujet mais le votre est original et apporte une autre approche. merci pour ce beau texte! |
hersen
14/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Je suis un peu désarçonnée de trouver des vers alors que je suis dans la section " nouvelles ". ( je me suis toujours dit que je ne comprenais rien à la poésie...) En fait, nous sommes dans une histoire très belle, très touchante et, malheureusement, combien de fois déjà répétée.
On évoque les saisons et leur changement par une image : L'ambre vif des moissons le parfum de prunelle a quitté l'alambic Je trouve que c'est très beau. C'est d'ailleurs ce que je retiens de ce texte. C'est très beau, alors que le sujet en est pourtant une belle saloperie. Pas tout à fait d'accord avec Alexandre quand il dit que les jeunes ne comprendront pas : une guerre ou une autre, les dégâts sont les mêmes. Guerres passées, présentes ou à venir, malheureusement. Je ne me sens pas du tout compétente pour mettre une appréciation. Mais est-ce qu'au final, vers ou pas vers, seulement compte ce que l'on dit ? Bravo Edgar Je mets quand même une appréciation, tant pis si je ne peux juger de la qualité des vers. |
Marco
8/6/2015
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime cette poésie sans dire autre chose qu'elle me rappelle une auteure Argentine, un géant, quelque chose de surréaliste. Vous m'avez transporté sur le dos de Mimil.
Au plaisir. |