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marimay
15/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Elliot,
Oh my god, que j'aime ! Je viens de lire ta création époustouflante d'un seul jet. L'amour en rayon, du sur mesures ! Il fallait y penser.Ta façon d'enchaîner dialogues et réflexions intérieures fait de ta nouvelle une histoire vivante avec un mélange de romanesque, d'humour et de fiction. Un grand bravo ! |
Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Tres chouette ce texte, drôle ironique... sympa comme tout et ça met de bonne humeur ... Cool, merci...
Une petite remarque... - Tatata ! Nous avons un service de livraison à domicile ! Je vous demanderais juste une petite signature ici, ici et là. Deux fois, une fois pour chaque produit. Ce fut un plaisir de faire affaire avec vous, cher monsieur. Les deux là, dans vos boîtes ! Maintenant ! Allez, allez, on se presse ! Il me semble que le futur conviendrait mieux que le conditionnel... Mais quel bon moment de lecture... |
Selenim
15/3/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Dommage, l'idée était bonne mais le traitement ne me convient pas.
Dès l'introduction, un élément me gêne: où sommes*nous Dans un rêve? Un mode imaginaire? Dès le début on sait que l'on est dans un monde où tout peut arriver et les événements extraordinaires de la suite deviennent ordinaires. Dans ce genre de texte, il faut au contraire commencer avec une description du réelle, pragmatique, pour accentuer le contraste et dilater les aspects fantastiques. répandre, répandent Certains dialogues sont trop répétitifs, notamment ceux sur l'aspect créatif du narrateur. L'intrigue avance lentement mais l'atmosphère ne s'épaissit pas pour autant. Il manque un grain de folie, une dose d'absurde. J'ai trouvé les vendeuses plutôt agressives. Pour des vendeuses, dont la profession est de tromper et ne jamais se dévêtir de leur sourire, je pense qu'elles prennent un peu trop leur client pour un imbécile. "Sale pute." "De celle que j'aurais volontiers achetée dans le gros registre de la sale pute." Pour quelqu'un qui se veut créatif, le narrateur aurait pu employé un langage moins fleuri. Le passage avec les boites géantes, il y trop de comparaisons avec Barbie. Une fois suffit. J'ai été un peu désarçonné, au fil de ma lecture, de découvrir que ce magasin, qui se présente comme celui de l'amour, n'est en fait qu'un sexshop. Il n'y a pas d'amour dans les rayons, seuls des jouets sexuels. Le texte n'aurait-il pas dû se trouver dans la section humour/détente? Par contre, j'ai bien aimé le parallèle omg_ogm. Je ne sais pas si c'est voulu, mais dans ces boites colorés, je ne vois que des ogm sans âmes qui me font froid dans le dos. Des poupées sexuelles à taille humaine pour êtres humains déshumanisés. |
Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien l'idée de base du texte. Par la suite il me manque un petit quelque chose pour m'emballer vraiment, mais il y a de l'idée.
C'est bien écrit avec un mélange dialogue / récit intéressant. Au départ (je suis un peu dyslexique) avec le titre j'avais cru à une histoire d'OGm mais non Par contre je trouve un peu caricaturaux les deux "produits" Séductrice mystérieuse/silencieuse et le presque mélancolique romantique qui ne jouit pas. Il y a de l'idée mais je me demande pourquoi ça correspond à Créatif Au plaisir de te relire. |
Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Intéressant mais très curieux.
Un certain malaise en cours de lecture. Une ambiguité de taille: c'est "réél" ou pas ? Au début du texte, l'auteur dit : "dans ce magasin tout droit sorti de mon imaginaire." et la suite parait si "réelle" qu'elle fait froid dans le dos. Ca pourrrait être une agence d'Escort-Girls. Mis à part le fait que c'est pas du "leasing". Quoi que si = nouvelle formule, un mois d'essai. Brrr. Ca me fait penser aux "vitrines" de certains pays. J'ai été perturbée par le premier "sale pute". Au début du texte, le héros me parait s'être égaré là. Il ne sait pas trop où il est. Il est un brin naïf... ce "sale pute" surprend. D'autre part, si la première femme qui le "bouscule" un peu est par lui immédiatement traitée de "sale pute", ça me fait croire que le héros est tout à fait à sa place dans ce magasin. Ce qui est dérangeant, (avis personnel) c'est que le héros soit assez naïf pour croire qu'il va trouver ici ce qu'il cherche : l'amour. Oui, mais lequel ? Il donne le sentiment de chercher le grand, et repart, heureux avec ses lots de... consolation ? J'aurais aimé savoir ce que la vendeuse cherche à la lettre "J" ? Si je me suis trompée et que le héros ne cherche pas l'Amour mais seulement l'autre... à quoi ça sert qu'il se décrive puisque de toute façon, le produit n'aura pas son mot à dire ? En fin de compte, je m'aperçois que ce qui me gêne le plus, c'est cette ambiguité entre le fantasme et la réalité. Pour ce qui est de l'écriture, elle est fluide, vivante, très agréable à lire. |
xuanvincent
15/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Voilà un bien étrange magasin (qui m'a un peu évoqué celui d'une nouvelle de widjet)...
Les idées, pour certaines d'entre elles, m'ont intéressée, amusée. Pour la forme (notamment les dialogues), j'ai plus ou moins apprécié. La manière dont le narrateur traite la femme ("sale p..."), de manière récurrente, m'a un peu gênée. Amusant, le personnage qui se trouve (aspect fantastique de la nouvelle) réduit à la taille d'un jouet et qui se retrouve dans une pochette surprise ! Le début, comme coquillette, m'a intriguée : le narrateur se situe-t-il dans un magasin réel ou bien dans un lieu tiré de son imaginaire (en fait, il s'agit me concernant d'un détail) ? La fin (la boisson omg) m'a un peu étonnée. Cette nouvelle aurait pu (également) sans doute été classée dans la catégorie "Fantastique/merveilleux". Ce pourrait être le genre d'histoire qui remonterait le moral de certains lecteurs (plutôt masculins que féminins) en mal d'amour... (?) . détail : Quelques coquilles ont dû se glisser dans la présentation des dialogues (quelques problèmes il m’a semblé de retour à ligne). |
Menvussa
15/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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De l'humour dans cette vison futuriste du commerce de l'amour, j'ai apprécié la timidité de notre acheteur face à la vendeuse.
De même que cette progression dans la file d'attente avec le monologue muet qui s'y rapporte. Après j'ai trouvé que le récit était un peu inégal, du bon et du moins bon, quelques longueurs aussi. La chute, avec ce parallèle sur le choix d'une boisson, ne m'a pas paru apporter quoi que ce soit. Ben oui, il faut un minimum d'informations. |
David
16/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Elliot,
Il n'y a qu'un prénom parmi tout les personnages, le héros est aussi anonyme que les vendeurs, les prostitués... Barbara. Elle ne fait pas grand chose sinon, genre assistante de la caissière, elle guide quoi, elle n'est pas moins cupide que l'autre, mais bon elle a le prénom-titre d'un poème de Prévert sur la fin du monde, à Brest, et l'amour. Il y a cette lettre J aussi dans le registre, en quoi la caissière a bien pu traduire "créatif" dans son jargon, Barbara ajoute "poète", "écrivain", il y a un putain de mot caché... JACQUES !!! c'est Jacques le J quand le héros dit à la caissière qu'il cherche de l'amour et qu'il est créatif, elle ouvre son registre à Jacques et l'envoie à Barbara, direct... J'ai eu du mal à l'appeler "sale pute" la caissière, mais bon c'est comme ça. J'ai bien aimé car il manque juste ce qu'il faut pour que ce soit une nouvelle comme j'imagine le genre, pas trop raccroché à un contexte facilement identifiable, mais à la lecture immédiate, sans gène pour moi, et avec une putain d'idée forte de ce magasin incroyable ! Bravo ! |
jensairien
18/3/2009
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bon, un détail, mais cette nouvelle devait être en humour non ? Il n'y a rien de romanesque là-dedans.
le "sale pute" vraiment ça ne le fait pas. C'est vulgaire et le narrateur ne l'est pas. la lettre J, tu poses cette énigme pour oublier aussitôt d'en donner la réponse (même d'une façon suggérée), c'est une erreur. "omg" Que vient faire ce truc dans cette nouvelle ? Qu'est-ce que ça apporte au déroulement du récit, au fond de l'intrigue ? Je crois bien rien, tout simplement. Enlève-le et fait relire ton texte. Il n'en souffrira pas. tu as apparemment voulu faire un jeu de mot avec ogm mais ça ne tient pas. Tu as construit ta nouvelle la-dessus (la chute même qui n'apporte pas grand chose) et là encore c'est une erreur. en enlevant tout ça (ce n'est pas grand chose) en approfondissant les dialogues, les sens que peuvent révéler ces amours plastics, en jouant plus sur les ambiguïtés, en laissant planer le doute peut-être sur les vrais motivations du narrateur, sur la réalité même de ce magasin (ça pourrait aussi bien être une attraction spéciale de fête foraine), tu aurais pu emporter ton lecteur plus loin, vers ses propres questionnements sur le rapport amoureux, la relation à deux et la grande question : qu'est-ce que l'amour. en fait, avec cette idée marrante, tu n'as fait que survoler très vite, sans presque rien montrer, des choses qui nous concernent tous. |