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Anonyme
26/9/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Voilà une courte nouvelle bien ficelée. J’ai aimé l’atmosphère du récit qui m’a rappelée, je ne sais pourquoi, celle un peu bohème de « Les Ritals » de François Cavanna. J’ai également appris ce qu’était un « taxi Boy ». Même si j’aurais aimé que la fascination de la petite curieuse Fiona pour cette famille grecque soit un peu plus approfondie, ça ne m’a pas empêchée de lire ce récit avec plaisir. Merci pour cette lecture gratuite et le temps que vous avez passé dessus. Anna en EL |
Cyrill
13/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Embellie,
Une nouvelle courte et qui va à l’essentiel, et pourtant j’ai noté dans la description des lieux, des personnages et des scènes tout ce qu’il me fallait pour me les représenter. Je trouve que la société enfantine est particulièrement bien décrite, mise en action et en paroles de belle façon, convaincante. On partage la fascination de Fiona et l’attraction que Socrate et son père exercent sur elle. Un mystère à peine dévoilé de l’Autre qui se passe de jugement, tout comme la narration se passe avec bonheur de morale : on reste à hauteur d’enfant. J’ai beaucoup aimé, les mots sont justes, l’écriture sobre et agile. Merci pour cette lecture qui me donne le sourire. |
senglar
13/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour embellie,
Hier je ne savais pas qu'il existait des chats sans queue (virevolte "L'îlien") aujourd'hui j'apprends ce qu'est un taxi boy. Décidément les Oniriennes sont pleines de ressources. Ce taxi boy semble respecter les règles puisqu'il ne va pas du taxi au matelas qu'il considère comme une source d'appoint très secondaire. Forcément serviable avec ses cavalières il a l'air un peu distant avec sa femme qu'il laisse pousser la cardeuse, ceci dit il lui cède la place du chef de meute puisque c'est elle qui ouvre le chemin. Je suppose qu'il se rattrape en conduisant la danse le soir au fond des pistes. "Si tu veux couvrir de rose Tout ce que tu vois en gris Si tu es vraiment morose Viens danser le sirtaki" Doit se prénommer Zorba le père de Socrate, et s'il a la tête de "Milord" plutôt que celle d'Anthony Quinn c'est vrai qu'il peut devenir très riche. Mais pour cela il faudra qu'il passe de taxi à escort et se préoccupe un peu plus des matelas. "Viens danser avec Zorba Viens danser avec Zorba Viens danser avec Zorba" Je sens que je vais passer un bon moment à regarder danser Monsieur Périzélos... |
Donaldo75
16/10/2022
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Bonjour embellie,
Je reconnais un avis mitigé sur cette nouvelle ; même après deux lectures, je trouve dommage qu’elle ne développe pas plus l’histoire car la chute – à savoir le travail du père – est assez abrupte et surtout qu’il y avait plus de place pour la relation entre Fiona et Socrate. C’est bien écrit, là il n’y a pas d’ambiguïté, la narration est prometteuse mais la promesse amène probablement le lecteur – c’est le cas me concernant – vers une sorte de frustration de lire un début seulement même si pourtant il y a un développement – que je trouve court – et une fin. |
Anonyme
29/10/2022
a aimé ce texte
Bien
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Une jolie nouvelle mais qui m'a semblée un peu courte, j'aurais aimé en savoir plus sur les héros de l'histoire, Fiona et le mystérieux Socrate. L'écriture et fine et vivante. Bravo !
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Messircule
4/11/2022
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai aimé l'ambiance de la nouvelle et je rejoins un autre commentaire sur l'envie de pouvoir me plonger plus longuement dans cette ambiance et cette relation.
Par contre beaucoup de phrases m'ont dérangé par leurs tournures et j'ai eu une impression de saccades dans le rythme qui dérange la lecture. Merci pour le partage. |
Tadiou
8/11/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Embellie. Que votre écriture est fluide, agréable, bien ciselée !
Je me suis laissé porter par ces agitations d'enfants et le mystère du "crasseux"; le narrateur donne bien à sentir la répulsion-attraction de Fiona. J'attendais la suite, le lever du voile après une telle entrée en action prometteuse. Hélas, je suis plutôt déçu et reste sur ma faim. Car la fin fait plutôt "pschitt" pour moi. Comme si ce récit n'était pas terminé. A une autre fois |