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izabouille
3/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai pas tout compris, l'histoire (s'il y en a une) m'a échappé...
Sinon, il y a une belle écriture, un style intéressant mais le sujet est vague. J'ai bien aimé les références cinématographiques insérées dans le texte. Il y a aussi des erreurs ou des oublis, comme "le mur de l'ignorance ouvrira sur la vie en ombres chinoises." Ne serait-ce pas "s'ouvrira" Et aussi "Cela fait une que mon projecteur caviardé", il doit manquer un mot, "heure" je suppose. Bonne continuation. Iza en EL |
plumette
7/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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le point de vue du réverbère : bonne idée de départ de ce texte !
le faisceau lumineux éclaire un lieu bien spécial: le grand mur d'enceinte de la prison où viennent à la nuit tombée les femmes, mères, soeurs, amantes de prisonniers pour y danser un ballet bien spécial. y avait-il une consigne pour l'écriture de ce texte , imposant à l'auteur d'utiliser un maximum de titres de films? j'ai trouvé que ce passage faisait un peu plaqué et n'apportait pas grand chose à l'histoire. La deuxième partie du texte qui met en scène une femme parmi les autres a réactivé mon intérêt avec de belles images. je trouve que la nouvelle aurait pu s'arrêter à "mourant sur ses lèvres". Plumette |
matcauth
19/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Votre texte n'est pas d'une approche facile, car la personnification a un côté irréaliste qui rend la lecture compliquée. On ne peut s'empêcher de regarder cette même réalité, on compare, et finalement la suspension d'incrédulité ne tient pas longtemps. Ou alors, il faudrait que tout l'environnement autour, du reverbère, en l'occurrence ici, soit personnifié également. Mais vous instaurez une ambiance de belle manière, on ressent ce calme, ce silence, cette monotonie, malgré les rêves de cet objet. Ce teste est écrit à parti de pas grand-chose, et, ce qui est plutôt lugubre s'embellit. Je n'aurais toutefois pas insisté autant sur les noms de films, même s'il est agréable de se rappeler de quelques uns d'entres eux. L'ensemble est agréable à lire, c'est donc ce que je retiendrai de cet exercice somme toute difficile. |
Stephane
11/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir emju,
Entrer dans l'esprit de ce réverbère a été une expérience fascinante. L'idée est vraiment bonne et l'effet de ces jeux d'ombres est spectaculaire. L'ambiance est envoûtante et les images plus belles les unes que les autres. Cordialement, Wall-E |
Corto
18/12/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Votre réverbère gardien de l'ombre semble bloqué au temps du cinéma muet. Curieux car dans les multiples "rue des Pénitents" de France et d'ailleurs ce n'est pas tellement le défilé des ombres que l'on voit mais plutôt le vacarme des cris et hurlements, ceux de désespoir et d'amour, d'impatience et récriminations.
Il est bien vrai que "L'écran est réservé aux femmes venues de loin parfois" ce qui ne diminue en rien le tintamarre de la souffrance et de la séparation. De ce fait j'ai trouvé votre description cinématographique un peu irréelle bien que fort bien écrite et brillant de nombreuses références. Mais "la grande illusion" m'a laissé sur ma faim. |
vis9vies
11/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’ai beaucoup aimé ce texte plein de poésie, une histoire intemporelle qui se joue en noir et lumière, les références au cinéma qui entraînent la nostalgie, la pluie, la femme indistincte qui occupe toute la scène au point qu’on en oublie l’acteur immobile. Tout le déroulement est très visuel. On pourrait sans difficultés en tirer un film (ou une animation) ;)
La poésie est appuyée ça et là par de belles phrases avec de jolies assonances : « Rue des Pénitents, sur le grand écran baigné de lumière, c'est chaque nuit le cinéma en plein air. » J’ai relevé quelques maladresses, mais rien de grave, juste deux trois bricoles qui pourraient améliorer la narration, la rendre plus littéraire : *) Au début. « qui font d’elle et pour moi ». Pourquoi ajouter « et pour moi » ? On a déjà un narrateur qui s’exprime, on le sait que toute appréciation sera la sienne. Le « et pour moi » est non seulement inutile, mais maladroit, comme un « moi, je ». *) Un peu plus loin. « femmes venues de loin parfois »… « lascives parfois ». Certaines répétitions de mots choquent plus que d’autres. C’est le cas des mots rares ou difficiles, mais c’est aussi le cas des adverbes. *) « À l’instar des affiches […] la femme est… » On comprend la pensée, mais syntaxiquement ce n’est pas ce qui est dit : la femme est-elle une affiche ? *) La plupart des « en » et des « y » qui suivent un pronom personnel (j’en, j’y) sont inutiles et surtout alourdissent inutilement. « j’en ai vu danser… » Et que donnerait la phrase avec « j’ai vu danser » ? ;) *) Dans le même ordre d’idée, les « il y a » ou « il y avait »gagnent à être discrets. *) La répétition de « tout feu tout flamme » *) « Cela fait une que mon projecteur… » Il manque un mot ? Une heure ? *) Il est souvent plus élégant de faire appel aux comparaisons sans dire explicitement qu’on le fait, en faisant sauter les termes « comme, tel, pareil à, etc. » sans rien enlever au message écrit. Ex. : « Dans la lumière, elle paraît immense, malingre, échevelée, une "chatte sur un toit brûlant" frissonnante et apeurée. » Mais c’est affaire de goût ;) *) Erreur de frappe : « La pluie finit par se calmer ». « des hommes se précipitent […] et l’arrachent… *) « Mon œil en feu […] la forçant… », alors que la phrase suivante dit « Mais le corps inondé de lumière reste froid à mes appels… », c’est donc qu’il ne force pas. Il exhorte ? Une phrase m’a dérangé, au tout début : « Sur cent mètres, elle étend son ruban bitumé, fière et soumise, au pied du grand mur lisse et froid. » J’ai un peu de mal avec le « fière et soumise », n’arrivant pas à associer les deux. J’aurais plus compris quelque chose comme « fière dans sa soumission ». |
Pierrick
9/6/2019
a aimé ce texte
Bien
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On pourrait, à vous lire, passer assez vite son chemin tant il y a de confusion dans votre narration qui ressemble plus à un exercice de style qu'à une nouvelle. Et pourtant, quelque chose nous retient par la manche : des volutes poétiques, un surréalisme touchant, une écriture noire en même temps qu'incandescente et, bien sûr, cet hommage très (trop) appuyé au cinéma. Votre passion du 7 ème art semble authentique mais, grands dieux, pourquoi l'affubler de cet inventaire de titres de films ? C'est inutile, lourd, pompeux et ça fait "Vous avez vu comme je m'y connais en cinoche !". C'est dommage car votre texte possède un climat, une ambiance, une signature intéressante.
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mirgaillou
16/7/2019
a aimé ce texte
Bien
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J'ai lu ce texte avec intérêt car j'ai eu l'occasion de voir un reportage sur cette pratique. Je n'ai donc pas eu de mal à entrer dans cette histoire qui offre un sujet original.
Je vous ferai la même remarque que plusieurs autres critiques, vous avez tendance à sauter des mots... Quant aux titres de films, c'est vrai vous en abusez un peu. mais je peux faire une critique très positive, car vous proposez un sujet vraiment inédit. À l'avenir, essayez de taper moins vite et n'oubliez pas de vous relire! |