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Asrya
28/8/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas
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(Espace lecture)
Pfiou... un texte qui ne m'a pas du tout emballé. A la première lecture, comme à la deuxième. J'ai essayé pourtant, de comprendre, de rentrer dedans, de chercher mais... en vain ! Certains passages me paraissent complètement inutiles, comme le premier paragraphe par exemple ; mais c'est loin d'être le seul. Quelques phrases me laissaient penser qu'il y avait quelque chose d'intéressante derrière tout cela : "Je me figurai qu’Alec, contrairement à annoncé par Jean-C, était sacrément mignon et pas aussi charismatique que ses ambitions ne le décrivaient." ; "qui pût nous faire oublier que nous étions en train de parler." ; mais... non. Pas grand chose pour se rassasier. Je ne sais pas si vous vous êtes relu, mais, vous devriez le faire de manière plus assidu ! Des mots sont en trop par ci, par là, quelques syntaxes incompréhensibles ; ce ne fut pas simple d'aller jusqu'au bout ! Je reverrai également la ponctuation car lire votre nouvelle à voix haute est assez déconcertant. Voilà pour la forme, j'en viens au fond. J'imaginais quelque chose de sympa autour de ce conformisme du quinoa, les possibilités étaient aguichantes mais tout est très vite retombé de mon point de vue. Cette discussion entre les personnages... déjà dure suivre par manque de clarté, mais tout cet épisode sur l'expérience du quinoa/toilettes... diantre quelle longueur. Je n'avais qu'une hâte, que ça se termine. A la première lecture, et encore plus à la deuxième ! Je n'ai pas été convaincu une seule seconde par cette verrine de quinoa ; autant, si ce n'est plus que votre personnage. Le bouquet (de persil) survient avec Alec et son histoire d'escargot... alors là... j'ai décroché : complètement. Peut-être est-ce de ma faute, je n'en sais rien, mais je n'ai strictement rien compris à cette boursouflure au niveau de sa bouche. Que fait cet escargot sur ses gencives ? D'où vient-il ? Pourquoi les escargots peuvent-ils être carnivores ? En quoi est-ce que cela fait de lui un bon politicien ? Je suis largué... complètement. Il me faudrait probablement des explications pour mieux cerner cette nouvelle ; à l'heure actuelle, je ne peux qu'être réfractaire à cet écrit, trop... incompris. Ceci-dit, s'il y avait quelque chose à comprendre, ça a le mérite d'être original ! J'espère avoir l'opportunité de saisir vos explications, Merci malgré tout pour cette lecture, Au plaisir de vous lire à nouveau (dans un style plus accessible pour moi) Asrya. |
Tadiou
2/9/2017
a aimé ce texte
Un peu ↓
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(Lu et commenté en EL)
C’est une histoire farfelue et décousue qui pourrait être distrayante et drôle ; tout à fait bizarre évidemment aussi avec un homme accueillant en permanence un escargot et se mettant à parler comme lui … Mais les multiples maladresses, incorrections, d’écriture rendent la lecture très pénible. J’en ai noté quelques-unes : « ……qu’il appréciera ta timidité juste » « Heureusement, un coup du sort arriva et jugula le manque d’inspiration qui oppressait l’air de cette cuisine devenu poisseux de malaise. » « cette sensation effrayante désarticulait mes certitudes » « mon palais d’adolescente ne devait pas être corrompu par telle mondanité » « ne m’adressait pas la moindre attention. » « une chouette vitaminée » «une détresse aviva mes nerfs et vivifia tous mes membres » « cette histoire est atroce pour l’imagination des sens » « d’un rire sain, aussi vital que de l’eau plate. » Je vous engage à reprendre ce récit et à soigner le style et vos phrases. Vous pourriez aboutir à un bon récit humoristique avec un volet politique de défense de l'écologie. Tadiou |
Donaldo75
5/9/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas
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(Lu et commenté en EL)
J'ai trouvé ce récit extrêmement décousu. Quand la narratrice raconte le pourquoi de son amour inconditionnel pour le quinoa, en tant que lecteur je m'attendais à une histoire racontée de manière plus naturelle, puisqu'elle parle avec Alec. Ici, c'est une histoire dans l'histoire, comme si l'auteur ouvrait un nouveau chapitre. De plus, le style est lourdingue, avec des digressions en pagaille, des détails inutiles, des retours en arrière, bref toute la panoplie de ce qui perd un lecteur, même courageux. Ensuite, l'histoire d'Alec, après celle du quinoa, semble certes moins pataude mais n'emballe pas les foules. Enfin, la chute, l'escargot dans la bouche d'Alec, sonne faux au regard de tout le reste, du sentiment général de sérieux de la narration précédente, même celle du début, qui, entre parenthèses, était la plus réussie. Cette fin, dis-je, part dans le surréalisme bancal, une forme d'humour raté parce que disproportionné. Même la dernière phrase, qui aurait pu constituer une chute fameuse, tombe à plat. |
Perle-Hingaud
6/9/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Autant commencer par là : de nombreuses choses sont perfectibles dans votre texte. Par exemple, au fil de ma lecture : -« Dans la cuisine de Jean-C - notre hôte et ami commun » : Jean-C ? Je connais des Jean-Philippe qu’on appelle JP, mais Jean-C sonne comme si vous aviez voulu préserver son anonymat, ce qui est étrange, enfin, ce qui me parait très artificiel. Après, il s’appelle peut-être Jean– Cléophase, cet ami, et là, bien sûr… - notre hôte et ami commun : j’ai eu du mal à saisir les liens qui les unissaient. Principalement à cause de cette phrase : « ça l’amusait, de nous imaginer que son meilleur ami rencontre sa copine dans sa cuisine. » A cet instant, j’ai supposé, à tort, que la narratrice était la petite amie de JC. (à revoir également : la syntaxe malmenée, comme à d’autres endroits du texte). - le récit de la mésaventure du quinoa est trop long. Je me suis ennuyée, Julia n’apporte rien à l’histoire, tous les détails relatifs à l’oncle et à sa femme sont inutiles. Seule la grand-mère est bien vivante. Mais… mais j’ai aimé ce récit loufoque. Il y a un vrai univers, empli de petits détails, décalé, un peu glauque, et dès le départ je me suis demandé: mais où nous emmène l’auteur ? Je voulais le fin mot de l’histoire, j’ai tenu bon et je n’ai pas été déçue ! Merci de m’avoir permis d’entrer dans cette dimension étrange. Raccourcissez un peu le chemin, ratissez plus finement la terre battue et la promenade sera vraiment agréable. |
plumette
28/9/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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je suis entrée dans ce récit grâce au regard que la narratrice porte sur la vie et sur les gens.Un regard original qui ouvre le lecteur à un univers très singulier mais que de texte en texte j'apprécie vraiment
. j'ai lu avec plaisir toutes les péripéties mais je me suis dit, à partir du moment où la narratrice raconte sa mésaventure avec le quinoa, qu'il y avait au moins deux histoires dans l'histoire. J'ai beaucoup aimé le début, cette mise en présence d'Alec et de la narratrice, la description physique d'Alec, la gêne qui monte et la chute du luminaire. Le quinoa est prétexte à parler de ce repas familial et la narratrice nous livre des choses sur sa famille et ses origines. j'ai aimé ce passage, avec la grand-mère et sa poigne! et puis j'ai compatis à la mésaventure qui se déroule dans les toilettes. C'est raconté de façon juste et également pudique. j'ai moins apprécié le débat qui suit le récit et la chute loufoque à souhait m'a presque déçue comme si tout cet univers décrit auquel j'avais adhéré avec plaisir était finalement " pour de faux". Pour moi l'écriture est bonne jusque dans ses petites bizarreries qui sont justement signe d'une personnalité d'écriture. A vous relire encore, Plumette |
Anonyme
28/9/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Soyons clairs : en Espace Lecture, votre texte m'est tombé des yeux. Je crois que j'ai décroché à la rencontre près des poubelles, c'est vous dire si je n'étais pas allée loin ; je ne voyais pas où ça pouvait mener, ce truc, et l'écriture ne me retenait pas spécialement.
Et puis j'ai eu l'occasion de tout lire, sans pouvoir me laisser aller à l'impatience qui me caractérise, et je dois dire qu'un charme particulier s'est dégagé pour moi, celui de l'étrangeté, d'un décalage discret mais affirmé avec pour apothéose le putain d'escargot qui "gambade" sur les gencives d'Alec. Qu'est-ce que quoi qui ? (C'est à la fois adorable et gerbant comme image, chapeau.) Toute l'histoire a cette qualité d'improbable complet, mais curieusement sans clash frontal avec la réalité telle qu'on la connaît. Je trouve cela vraiment étranger, plus qu'étrange, comme si le texte venait d'un autre monde, parallèle pas loin, mais sans réel point de contact avec le nôtre. Une qualité intrigante dans ce texte, donc, mais ce qu'on me demande d'apprécier quand j'évalue c'est comment je l'ai aimé. Eh bien, pas trop, je dois admettre. Peut-être l'intrigue me déroute-t-elle trop, ou peut-être l'écriture très détachée m'empêche-t-elle de vibrer avec ce que vivent et ont vécu les personnages (l'épisode pourtant amusant du quinoa ne m'a pas fait sourire), peut-être le décalage intervient-il dans un décor par ailleurs trop "ordinaire" à mon goût, quoi qu'il en soit je ne suis pas emportée. Mais votre texte a au moins le mérite d'un ton bien à lui. |
Anonyme
4/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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le passage du quinoa qui tombe dans la culotte est vraiment sympa
le tour de table des convives me plait bien pour le reste j'accroche moins globalement sans vraiment savoir expliquer pourquoi; peut-être y-a-t-il des variations dans le style. |