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florilange
15/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'ai aimé lire cette nouvelle, qui nous ramène, de manière tout à fait agréable, à des temps très lointains. C'est assez bien raconté pour faire revivre l'époque de ces pionniers de l'aviation.
Cette rencontre de Clément Ader et des frères Wright enfants est amusante. Quelques bricoles dans le style mais pas assez pour gêner la lecture. |
Mistinguette
21/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bien imaginée cette tranche de vie de pionniers de l’aviation. S’ils revenaient parmi nous ils seraient probablement médusés par le progrès fulgurant de ce qu’ils ont initié. Un bon moment de lecture et une écriture plaisante.
Un style simple, dans le bon sens du terme. J’aime beaucoup, merci pour cette lecture. |
Anonyme
28/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très bon texte! Vraiment. Certes j'avais trouvé des le départ, en raison des noms, de qui il s'agissait, mais la qualité narrative joue à fond et je me suis laissé porter par l'histoire, tranquillement.
Je regrette un peu que l'on n'en sache pas plus sur la maman des deux frères, car si elle apparait au début, par la suite elle disparait complétement ce qui est un peu gênant. Il n'y a pas de temps morts, ce qui est une très bonne chose pour ce type de récit, et si l'auteur a parfois une propension à délayer un peu (au début notamment), ce n'est en rien gênant. Bref conquis par ce récit, vraiment. |
Flupke
28/4/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Texte intéressant. Je n’ai pas vraiment trouvé trace du voyage de Clément Ader en Caroline du Nord sur l’internet (comme semble le suggérer ce texte). J’imagine que cela a été vérifié. Pas très bien saisi le sens de la phrase « Ores qu’un courant ascendant nous fit prendre un peu d’altitude … » « La tour de contrôle » Le narrateur a 5 ans en 1876 et utilise un vocabulaire très développé mais surtout une terminologie futuriste. Anachronisme linguistique ? Mais peut-être parle-t-il d’un passé très ancien en mélangeant vocabulaire contemporain et d’antan ? Malgré quelques fautes de style (pas très convaincu par « doucettement » même si ce mot existe) le texte se laisse lire. La chute est classique pour ce genre de texte à tonalité historique. Le titre est bien trouvé. Bonne continuation. |
Anonyme
30/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai enfin l'occasion de commenter (à nouveau rebienvenu chez toi Fao) un auteur qui m'avait plu lors de son inscription par son style bien particulier et cette espèce d'ambiance Sépia qu'il superpose sur ses mots.
Le titre est très bon^^ Il met sur la piste sans trop en faire... Et puis l'histoire, toute belle, très convaincante d'une paire d'enfants et d'une rencontre absolument essentielle... Est-ce que c'est basé sur du réel, comme le souligne Flupke, peu importe... enfin peu m'importe... je me suis laissé guidé par les yeux de Wil, et quel regard! Edit : j'aime le regard d'Orville sur Wil, celui de Wil sur Ader, celuis que je pose sur le tout par la narration bien maitrisée... je trouve que c'est un bel exercice...^^ très visuel... Un style donc, qui me plait complètement, qui réunit le doux et le rêve dans des mots choisis, des dialogues qui se tiennent... et j'avais déjà eu ça lors de mes premières lectures des textes de l'auteur, ce mélange de réalisme et de fiction est très bien tenu... Merci Faolan, et j'espère que tu continueras de nous abreuver de ce genre de textes, qui décidément me plait beaucoup. Bonne continuation, et au plaisir de te lire! **PS: Private Joke : Dis, Fao, quels beaux paragraphes, ni trop longs, ni trop courts, les arrêts suivent très bien le fil narratif et sont tout à fait cohérents dans l'enchainement d'idées etc...^^ J'aime surtout la manière dont le texte, et les paragraphes, trouvent une aération (faut utiliser un vocabulaire aérien, que Diable!) naturelle dans les dialogues (j'ai dit que j'aimais bien les dialogues? J'aime bien les dialogues, j'aime beaucoup la manière dont les frères se parlent, dont Ader parle... oui j'aime les dialogues...) et pis voilà quoi, fallait le souligner, c'est important la forme (même chez Décathlon : à fond la forme!!) |
Anonyme
1/5/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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« Ores qu’un courant » : dans quel sens doit-on prendre ce mot ? Maintenant je suppose. C'est tellement peu usité que j'ai eu un blocage.
« La collision inévitable, nous roulâmes au pied de la petite dune. » « voyant l’excitation me trémousser, » : « Nous courûmes jusqu’à ce que le sable durcisse. » Des usages de la langue peu usités mais corrects et qui surprennent. Un style auquel il faut s'habituer ; je ne vous cache pas que j'ai cherché dans le dictionnaire (http://www.cnrtl.fr). « et entreprit d’esquisser l’instant » : très belle image. Idem : « l’appareil se mit en branle, brisant lentement le souffle du vent du large. ». Au début je me suis dit : tiens des enfants qui volent (les parents aussi). J'ai donc revu le genre dans lequel le texte est publié (réalisme/historique) et là, j'ai compris qu'il s'agissait d'un jeu. Ce qui me faire dire que c'est très bien exprimé et amené. « et se brisa nette » : est-ce volontaire (nette ou net) ? « Les frères Orville Wright (19 août 1871 - 30 janvier 1948) et Wilbur Wright (16 avril 1867 - 30 mai 1912) sont des pionniers américains de l'aviation, à la fois chercheurs, concepteurs, constructeurs et pilotes. » : (source Wikkipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Orville_et_Wilbur_Wright) Vraiment un excellent texte mais qui nécessite pour certains mots l'usage du dictionnaire. Personnellement ça ne me gène en rien. |
Corbac
2/5/2010
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Un très bon texte ! Le contexte historique est respecté et on sent que l’auteur maîtrise son sujet. Rien que pour ça, cela valait le coup de découvrir cette nouvelle. Ajouter que l’écriture est parfaitement maîtrisée et j’en deviens tout simplement admiratif.
Le premier paragraphe m’a un peu déconcerté - Je les voyais vraiment en vol moi ! -, mais après une seconde lecture, je le trouve très bien choisi pour réaliser l’intro de cette nouvelle. Bonne idée de faire découvrir cela par les yeux d’un enfant. L’identité de celui-ci était assez facile à deviner, mais cela n’a en rien gêné mon plaisir. Ah oui, le titre de la nouvelle aussi est très bien trouvé. J’ai vraiment apprécié. Au plaisir de te relire Faolan. |
Mellipheme
13/5/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Jolie rencontre, peut-être imaginaire mais qu'importe, entre ces pionniers de l'aviation encore enfants.
L'enthousiasme des personnages pour ce qui est en train de s'inventer hic et nunc est émouvant. Le style est agréable, léger comme les aéronefs mis en scène. |