|
|
Nongag
6/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Une grande recherche de style, qui m'a laissé froid. Le style, justement, très syncopé, très hachuré, ne m'a pas convaincu. J'avais l'impression d'une hésitation constante entre le poème et la prose, comme si l'auteur ne savait sur quel ton raconter ses émois.
Et tout ce texte n'est que sensation, émotions... Une peine d'amour? Je n'ai pas complètement saisi le propos. J'ai l'impression d'un tableau un peu surchargé... |
Faolan
6/2/2009
a aimé ce texte
Pas
|
On sent qu'il y a la recherche du bon mot sous ce texte mais je trouve que l'effet est raté.
L'écriture est alambiquée. Beaucoup de répétitions. Quant au rôle de l'eau... Désolé. Merci. |
Bidis
6/2/2009
|
Combien cette lecture m’a laissée… perplexe et comme c’est difficile de commenter ce texte !
C’est bien écrit, certes et l'eau est présente, de façon assez esthétique. Mais qu’est-ce que ça raconte ? Je n’apprécie pas les textes qui tournent autour des états d’âme d’un personnage dont je ne sais pas grand chose. Bref je ne suis pas touchée. |
Menvussa
6/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
Il y a de belles images mais du remplissage aussi.
J'ai du mal à adhérer. C'est un peu confus. Je ressent une certaine détresse, un rayon d'espoir... |
guanaco
8/2/2009
|
On est davantage dans de la poésie en prose que dans une nouvelle avec une trame.
Personnellement, j'ai du mal à être touché par ce type de prose évoquant des états d'âme sous forme de flashs. Difficile à commenter en ce qui me concerne. Merci. Guanaco |
Ephemere
8/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour, c'est assez joli à lire mais des phrases nominales, que cela, ça fatigue. L'eau est vraiment un accessoire, qu'il pleuve ou qu'il vente, c'était pareil.
Et j'aime les histoires... pas les états d'âme. FMR |
marogne
8/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
" N'oublie pas
cette pluie sage et heureuse sur ton visage heureux sur cette ville heureuse ..." Je n'ai pas trop adhéré à la forme, peut être eut-il fallu aller jusqu'à le faire en poésie, en épurant encore le style? Comme pour Barbara, j'espère que le gris du soleil va s'éclairer! |
melonels
11/2/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
J'ai eu l'impression que l'auteur recherché à se trouver un style. Puis je n'ai rien compris au texte, sa lecture m'a pris du temps parce que j'ai fait des efforts, mais vraiment je suis désolée, je n'ai pas pris de plaisir à votre lecture. Encore une fois désolé.
|
David
12/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Bonjour FilledeJoie,
Faire une phrase qui dit "Et." ça fait drôle dans une nouvelle, mais je trouve quand même que c'est une petite histoire, même si c'est vrai, le peu d'évènement est comme rallongé par le style. Un peu de charme mais tout le contraire de la simplicité. |
Ariumette
22/2/2009
|
D'abord félicitation d'avoir relevé le défi de ce concours !
Mon avis : J'ai pas très bien suivi le fil de cette nouvelle. En plus l'écriture n'aide pas vraiment le lecteur ! Même si le fouilli peut être un style il faut qu'il soit rangé (hein ?) Oui, je pense qu'il aurait fallu ordonner ton récit pour pouvoir me toucher, ou au moins donner un indice ... Au plaisir de te lire à nouveau Pas de note cause concours |
Mllezou
5/12/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
J'ai bien aimé ta façon d'écrire un peu perdue, un peu coupée. Mais le trop plein d'eau finit un peu par nous étouffer en fin de compte et on est trop perdu dans ton histoire. On ne sait pas ce qui est arrivé au personnage. Le "lui" nous introduit dans les pensées du personnage mais pas suffisament pour que ça prenne.
Le style est néanmoins très travaillé et apréciable pour cela. Merci de cette lecture. Encouragements . Mademoiselle Z |
Margone_Muse
18/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
|
J’aime ce style. Ton style, fille de joie. C’est che-lou (terme peu onirien mais bon), décalé, pas ordonné du tout, mais ça se lit et ça glisse, pour moi. J’ai aimé lire ton texte (bien qu’encore une fois peu dans l’action, mais le visuel y était (bon, un arrêt sur image plus qu’un film pour le coup)), mais l’histoire… y’en a-t-il au moins une ?
J’y vois une fille (dont on ne sait rien, c’est dur !) au réveil, qui n’a pas dormi en fait, prisonnière de son corps et de sa douleur (un (banal ?) chagrin d’amour ?) et en même temps déconnectée de tout avec son esprit qui « plane » seul, et qui profite de l’averse matinale pour prolonger cet état figé au milieu de rien avant que le temps ne reprenne et où elle voit des choses, où elle ressent des choses… Comment ça, je suis en plein délire ? M_M, un peu fatiguée quand même… |
Anonyme
18/4/2010
a aimé ce texte
Un peu
|
S'il y avait une phrase à sauver ce serait celle là : « Des parapluies ? Pourquoi ? Pour peindre les passants d’argent pâle ? »
Pour le reste, je suis perplexe. Le phrasé ne m'a pas plus. Trop de staccato(s). |