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Cassanda
13/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une scène d'une pièce de théâtre ! Ca change !
L'histoire est un peu saugrenue, mais elle m'a fait bien sourire ! En revanche, c'est quand même un peu gros comme fin ! C'est un peu amené comme un cheveu sur la soupe, trop gros pour être crédible... J'aime bien le retournement de situation, l'exploitation de cet homme sensé se reposer par sa femme. Les lunettes semblent donner le pouvoir à l'un ou à l'autre et ça, on le vit bien. Y a-t-il une suite ? |
studyvox
13/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est mignon.
Et j'aime bien le palindrome final! |
jensairien
22/1/2008
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La fin humoristique et extravagante plait à mon goût pour le théâtre de l’absurde. Toutefois le reste est sans saveur. Dommage. C'était intéressant cette histoire de lunettes.
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aldenor
10/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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L’idée est astucieuse et bien rendue.
Mais pour ce qui est du rayon humour/détente je suis dérangé plutôt qu’amusé. A tour de rôle les deux personnages m’ont mis mal à l’aise. Les rapports de force sont dans mon esprit peu propices à l’humour. Une fin dans laquelle ils se retrouveraient d’égal à égal pourrait peut-être amener la note optimiste, d’où se dégage le rire. Tel quel, Geneviève écrase les lunettes et capitule. Ca se termine sur un rapport de force. C’est ce qui m’a dérangé. Elle n’aurait pas dit « Je t’aime » mais autre chose, je ne sais pas quoi, une phrase qui les mets sur le même pied, tout ce qui précède pouvait devenir drôle, émouvant, je pense. |
aldenor
9/2/2008
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Rectificatif. Je disais dans mon commentaire:
"Et puis, on ne comprends pas: on croit que Geneviève a passé sa journée sans lunettes et ensuite on dirait qu’elle est presque aveugle." J'avais mal lu. Elle sort bien entendu, non pas de chez elle mais de la piece. |
Ephemere
2/1/2009
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C'est léger ; il y a d'autres façons pour se sentir homme... mais Bon !
"que tu n’as pas sauté du travail" : expression étrange ; sauter est-il à l'ordre du jour ? FMR |