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Menvussa
16/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est bien de vouloir lui rendre hommage. Bon, faudrait nous le jouer sur scène, un One FluckeMacChang'Show (OFMC). C'est bien écrit, y a de bonnes trouvailles, mais à lire c'est un peu "lourd", c'est souvent le cas avec les textes de sketches, faut les voir joués.
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Anonyme
16/12/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Un poème qui a fait couler beaucoup d'encre (o combien d'exégètes s'y sont cassés les dents) Il était donc grand temps qu'un chercheur inspiré nous donnât enfin les clés de ce qui -à mon avis- est la grande oeuvre de la fin du siècle dernier.
Il fallait mettre les points sur les i et vous le fîtes brillamment cher Flupke avec l'érudition et la modestie que nous vous connaissons. Un regret : le grand Samuel n'aurait pu publier son poème sur ce site.(car un distique, a fortiori un quatrain, se voient refusés et on se demande bien pourquoi. Alors un poème aussi minimaliste et pourtant riche d'infinis...) Encore bravo et mille mercis |
Anonyme
16/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup aimé, j'ai du vérifier au moins deux ou trois fois certains mots dans mon dico, là j'ai moins aimé. Plus que Desproges, j'y ai vu du Pierre Dac.
merci Xrys |
Anonyme
16/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le challenge est de commenter ce commentaire avec autant de perspicacité et d'érudition que son auteur.
Après plusieurs essais infructueux, je me contenterai de remercier et de féliciter ce bon Flupke pour son éminente contribution. |
widjet
16/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Avec un Lucchini pour donner sa voix unique, sa gestuelle fougueuse à ce texte foisonnant, cela donnerait un sacré show !
Bon, c'est sûr que l'exercice est périlleux, très élitiste (faut sacrément s'accrocher par endroit), mais la gymnastique est souvent adroite et surtout drôle. Certes, l'auteur prend le risque de perdre son lectorat en route, mais le jeu en vaut la chandelle, ne serait-ce pour le ton donné (assez pince sans rire) à ce texte et la subtilité des mots utilisés. Sinon je ne connais pas Samuel O'Singh (c'est grave ?). Pour ceux que l'ignoraient encore, Flupke est un auteur à part, inventif et taquin. Le lire est toujours un plaisir. Widjet PS : je précise que pour lire ce texte, il faut être doué en apnée (et notamment sur l'avant dernier paragraphe !) |
xuanvincent
16/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Le sujet m'ayant paru au premier abord très sérieux, la catégorie "Humour-détente" m'a au départ surprise.
Il m'a été un peu difficile de rentrer dans l'univers de ce texte et de sourire en le lisant, lors de la première lecture (j'avais davantage apprécié les précédents textes de l'auteur). La longueur des paragraphes m'a un peu freinée. En le relisant, j'ai pu mieux apprécier son humour. Je retiens toutefois l'écriture de ce texte, que j'ai trouvé bien écrit. Après coup, j'aurais bien vu cet exposé illustrer une partie du "Petit Prince", celle où un savant fait un exposé absurde et ridicule. Malgré tout, j'ai trouvé ce texte intéressant, bravo à l'auteur pour son travail d'écriture ! |
victhis0
16/12/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Ah quel délice...Quel pied...J'adooooooore ce genre de délire, brillant, drôle, du pur foutage de gueule...Merci infiniment pour cette oeuvre...
Un coup de chapeau spécial pour l'avant dernier paragraphe, authentique prouesse, qui m'a fait beaucoup rire. Du chipot : se faire du blé : pas très logique avec la langue employée l'an de grâce 1979 : un peu lourdingue et anachronique |
David
17/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Flupke,
L'avantage pour l'exégète avec un poème aussi court, c'est que ça lui laisse énormément de place pour parler de lui, la finesse de son analyse, son avant-gardisme et sa singularité... Les mots savants sont souvent un paravent, les notes en bas de page peuvent servir à crâner, bien dénoncées les ficelles de ce truc-là, un bel hommage à l'auteur de la citation du début en tout cas, bravo ! |
studyvox
17/12/2008
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Je trouve ce texte "très bien plus".
Un bel humour, pour dénoncer les dérives de certains critiques d'art contemporain. L'analogue de ce merveilleux poème, en peinture, est cette magnifique toile, qui ne contient qu'une seule couleur, mais tellement belle! L'argumentation avec une phrase d'une longueur qui aurait été du goût d'Isidore Ducasse, est particulièrement réussie. Bravo. |
Bidis
17/12/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Magnifique, Flupke !
Le texte le plus jubilatoire que j’aie lu depuis… Pierre Desproges. Tout à fait digne de ce dernier. En plus, j’ai continué à rire sur Wikipédia (Piero Manzoni et sa merde en conserve vendue au prix de l’or)… PS : j'adore le commentaire d'Aldenor |
nico84
17/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai aimé l'idée loufoque et j'aime les gens qui savent qui savent rire de tout et surtout d'eux. Une intelligence rare.
J'adore. |
Nobello
18/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est bien fait, le sujet est génial et bien traité, et il y a très visiblement quelqu'un derrière. Un peu long, peut-être, mais je suis très client de l'exercice.
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jensairien
18/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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une belle prouesse fantaisiste, maligne et rondement menée. Ici pas un mot qui ne soit dissonant ou mal venu et ça fait plaisir : une cacophonie pleine d'ironie parfaitement orchestrée !
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Doumia
20/12/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Flupke
Magistral ! Ton exposé savoureux et éblouissant - j'ai mal aux yeux- vaut le détour ! S’il y a bien quelque chose que je ne regrette pas c’est de l’avoir lu. Vraiment en faire autant sans jamais en faire trop c’est de l’art ! Bravo et merci c’était un régal. |
Nongag
3/2/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est excellent! Un vrai tour de force, drôle, intelligent et pétillant. C'est un exploit. Une diarrhée verbale tordante qui se moque allègrement des dérives de la masturbation intellectuelle.
Un petit chef-d’œuvre d'ironie, j'adore. |
Faolan
7/2/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Un excellent texte. Il m'a bien fait rire ! Ironie, humour, recherche du bon mot. Chapeau bas !
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Anonyme
14/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quand je pense au temps que cette exégèse a du te prendre, à la concentration qu'elle t'a demandée pour ne surtout pas sortir du contexte, aux sueurs froides que très certainement, parfois, elle a du générer, je me demande comment tu t'en es sorti, psychologiquement parlant.
J'espère que tu vas bien, si je pouvais, avec ta permission, je te préparerais un grog bien chaud, avec peu de rhum mais beaucoup de miel afin que ta voix, lorsque tu déclameras ce texte te reste fidèle. En préconisant cela, je pense à la dernière partie de ton speech, la plus périlleuse et la moins balisée de ce parcours du combattant. Du souffle (donc plus de cigarettes, désolée, ami, faut ce qu'y faut) une bonne nuit de sommeil et tu verras, demain, ton nom brillera au firmament des amphithéatres. Moi en tout cas, je t'y vois déjà, debout sur cette estrade, devant ces centaines de bouches rendues muettes d'admiration ! Bon en clair, fais moi pas de la peine, assis toi, pose ta plume et respire un bon coup. C'est pas grave... Ca va passer. |
jaimme
15/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Excellent!
L"humour de Flupke, cette exégèse (et non une critique, bien choisi) est savoureuse. J'ai souri, de plus en plus, puis vraiment ri au fur et à mesure de la lecture. La phrase à rallonge à la fin est d'anthologie! Un régal d'intelligence! |
Anonyme
10/1/2010
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour Flupke, et Merci
Votre ratio de 10000/1 me parait difficilement atteignable pour un onirien lambda qui s'essaie modestement à commenter les textes que l'on publie ici, voire même, c'est la surprise de cette nouvelle année, ceux qui n'y seront jamais publiés. Rien que pour le votre il me faudrait 10000x10000 soit 100 000 000 de caractères (si tant est que l'on puisse faire confiance à ma calculatrice hors d'age) Le nombre est impressionnant et peut-être serait-il opportun de l'exprimer en lettres pour les littéraires purs et durs qui constituent, j'imagine, l'essentiel des habitués de ce site. Soit donc cent millions de caractères. Comme je ne tape que d'un doigt (l'index de la main droite) au rythme d'une lettre à la seconde (ce n'est qu'une estimation, mais elle est assez fidèle), il me faudrait plus de 30 000 heures pour en venir à bout. Ceci bien entendu sans compter le temps nécessaire à la réflexion. Vous comprendrez que je ne puis vous suivre sur un tel terrain. Je me contenterai ici d'un commentaire succinct. En première lecture (il y en a eu 37), mon intention a été retenue par un amalgame qui me semble abusif. Vous invoquez ce I, qui, chez les anglophones est la traduction du pronom personnel Je. Sachant que "Je est un autre", c'est bien connu, on peut en déduire que "I is an other", donc qu'il n'a rien à fiche dans le sujet qui nous préoccupe. En revanche j'ai bien apprécié que vous soulignassiez les caractères monolettriques et palindromiques du poème dont vous faites l'exégèse. Certes, ils ne m'avaient pas échappé, mais je ne pense pas qu'il fasse généraliser ma perspicacité. Pour le lecteur lambda, il n'est jamais inutile de mettre les points sur les i. J'aurais par contre aimé que vous vous attardassiez sur l'évidente parenté entre le poème de Samuel (que certaines dames s'autorisaient à appeler Sam) et la célèbrissime "ballade à la lune" d'Alfred de Musset. "C'était dans la nuit brune Sur le clocher jauni La lune Comme un point sur un i" On passe là tout près du plagiat ! Que vous ne l'ayez pas mentionné me semble préjudiciable. Comme on ne peut vous soupçonner d'ignorer l'œuvre de l'amant malheureux de George Sand (du moins n'aurai-je pas cette en impudence) , il faut y voir comme de la complaisance envers ce vieux Sam. Vous comprendrez que cette constatation nuit à la crédibilité de votre exégèse. |
Meleagre
10/1/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Excellent !
Ce texte parodie avec brio tous les excès érudisant et la tétratrichotomie des critiques universitaires pompeuses et formalisantes. Ce serait marrant que ce poème existe. Sa sobriété fait penser à certaines peintures modernes minimalistes (un trait noir sur un fond blanc, voire un carré blanc sur fond blanc), ou à certains haikus asiatiques. J'imagine les autres "poèmes flash" du recueil, et l'exégès qu'on pourrait en faire. Certains arguments sont assez probants, comme "l'isomorphisme latéral" : bonne idée de regarder un poème à l'envers, ou dans un miroir ! Un coup de coeur pour l'avant dernier paragraphe : une phrase de 14 lignes, qu'il faut effectivement relire plusieurs fois pour ne pas se perdre dans ses méandres, et dont le point final invite à une relecture attentive... Il reste que ce texte est un peu difficile à lire sur un écran ; cela ferait un bon sketche à entendre sur scène. |
caillouq
21/6/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Aaaaaaaaaaaaaaah du Ménard en plus truculent, yeah. Je regrette un peu que l'auteur ne reste pas tout le temps du côté du sérieux-dans-la-forme, qu'il se relâche par instants pour nous faire un clin d'oeil trop gros pour être fin ("Mon exégèse est lumineuse, sans appel et exempte de toute verbosité superfétatoire", "Bref, que de qualités dans un poème aussi court !"), Buster Keaton c'est jusqu'au bout, faut tenir, vous imaginez s'il s'était mis à pouffer sous cape avec les spectateurs ?
Mais bon, tant pis, c'est un bémol mineur. L'érudition sarcastique et l'autodérision de ce texte sont hautement réjouissantes, merci pour cette leçon de critique littéraire. |
silene
28/6/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cher monsieur Flupke,
j'ai beaucoup apprécié la netteté argumentatoire de votre exégèse, ce qui n'est pas donnée au premier quidam, surtout si c'est le pion. Mais relisant, encore et encore, votre étude si documentée - encore que je m'interroge sur l'absence, dans votre bibliographie, de L'étude anachorétique sur le bâton à fouir, évidente préfiguration et raccourci saisissant des intentions tant manifestes que cachées du poète : ne disait-il pas, dans les essais préparatoires à son chef-d'œuvre, que dans le oui réside le i, et dans le oui le joui - ? Ce qui me semble éclairer d'un autre jour votre admirable étude. J'ai par contre admiré l'habileté avec laquelle vous avez éludé la facilité qui aurait consisté à développer de manière, peut-être, dithyrambique, la carnation propre au i, selon le voyant de Charleville, qui n'en était plus à une murge près. Jolly good shot, indeed, comme nous disons quand l'empalé descend sur son axe sans arrêts intempestifs. |
Anonyme
14/11/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé ce texte où le parti pris de logorrhée verbale constitue un contraste saisissant avec la minceur du propos. L'écriture est agréable et le récit bien conduit (il m'a fait sembler à l'univers absurde cher à Francis Blanche où une étrange napolitaine se serait égarée dans la recette des nouilles à l'eau froide. Si je peux me permettre, j'aurais évoqué la vocalité de la voyelle i qui pose tant de problèmes au chanteur "classique" dans l'aigu...
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Anonyme
22/11/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cher Flupke,
Avant Desprosges, il y a eu Achille Talon. C'est lui, sans aucun doute, qui se cache derrière le pseudonyme hergéen (ainsi que le chapeau d'Indiana Jones, qui a également de nombreuses affinités, quoique légèrement plus sexuées, avec les héros de G.P. Rémi) dont vous vous affublez. Cher Achille, Je suis heureuse de votre résurrection. Nous avons de tels points communs ! Ainsi, je suis l'unique exégète de Günar Langström, scientifique suédois de renommée internationalement inconnue, spécialiste des lemmings. Lors d'un exposé devant l'ensemble de ma classe et un professeur érudit de mon âge, j'ai eu l'occasion de citer Langström, de résumer ses travaux et de présenter à mon professeur les rares éléments de bibliographies disponibles en français. De manière suffisamment convaincante pour que Langström soit cité par ledit professeur au cours suivant. Tout ça pour dire que Caillouq a raison, pas de clins d'oeil, soyez pince-sans-rire, ce sera encore meilleur, oh oui oh oui oh oui Merci pour cette intéressante, volubile et très marrante lecture Misumena |
Anonyme
9/9/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un texte hilarant à l'ironie fine et aiguisée. J'ai adoré et ri à la lecture de certains passages. Vraiment génial.
Merci. |
aldenor
23/10/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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A sa parution, j’avais commenté cette nouvelle en écrivant seulement : “o”
Plus tard mon commentaire a été retiré, estimé trop court. J’y tenais pourtant. Il disait tout ce que voulais dire. Mais tant pis, je vais l’allonger. o, disait mon admiration franche, bouche bée, pour un texte aux qualités exceptionnelles ; avalanche d’arguments d’une subtilité et d’un humour irrésistibles. Mais minuscule, l’o, pour tempérer le compliment : ce que je n’aime pas c’est la partie explicative, le côté leçon à en tirer, qui allait de soi. Le commentaire du poème se suffisait. |