|
|
Anonyme
22/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
J'ai vraiment beaucoup aimé! Cette lettre est pleine d'émotion et comme d'habitude la chute qui donne une autre dimension à l'ensemble du texte. Les sentiments de l'auteur sont très bien décrit, si bien qu'on se laisse porté par le fil des mots sans effort.
|
widjet
22/10/2008
a aimé ce texte
Bien
|
En dépit d'un titre pas très bien choisi, l'auteur réussi à écrire et décrire une histoire riche, surprenante dans son final (on se refait pas hein, Flupke ?) qui la rend très touchante et très vraie en évitant soigneusement toute sensiblerie.
Je me suis fait avoir. Au milieu du récit, je me suis dit que ça serait pas mal d'avoir une lettre de retour comme un droit de réponse du destinataire...avant que l'auteur, en une seule phrase, ne me cueille (une bonne idée de ne pas en faire des tonnes sur ce dénouement). En plus c'est vraiment bien écrit. Flupke ne déçoit pas et fait désormais partie des valeurs sûre dans le registre de la nouvelle...Bravo à lui. Widjet |
studyvox
22/10/2008
|
J'ai trouvé cette nouvelle en forme de lettre "très bien".
Il y a du rêve et la réalité apparaît progressivement, par petites touches, sans en dévoiler la chute. L'auteur arrive à tenir son lecteur en haleine, avec un seul personnage qui écrit une lettre avec ses souvenirs, sans que l'intérêt de la lecture disparaisse, et même mieux, avec un intérêt grandissant. Bravo, c'est réussi. |
victhis0
22/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Peu amateur des tournures épistolaires que je trouve souvent lourdes, je dois saluer celle-ci : que de poésie et d'émotion dans ce très joli texte (que j'aurais moi mis dans la catégorie "réflexions dissertations"), magnifiquement rythmé par cette très joile phrase qui, allez savoir pourquoi, me fait penser à François Villon. Mais on s'en fiche. Bref : c'est une très jolie nouvelle, sincère et profonde.
|
belaid63
23/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
j'ai aimé cette lecture, la chute est très belle, du bel ouvrage
bravo |
Anonyme
23/10/2008
|
J'ai eu un peu peur au début... le style, les mots choisis, une certaine lourdeur au démarrage... j'ai craint de m'ennuyer et ai failli abandonner ma lecture. Et puis la phrase "tu étais si entière dans tes jugements quand tu étais émoustillée" m'a attrapée au vol, et j'ai poursuivi mon chemin à travers cette lettre, avec l'envie d'aller voir un peu plus loin, un peu plus profond.
A un moment j'ai cru à une histoire qui allait finir en chute humoristique (la dispute "philosophique", la séparation à cause d'une discussion sur la pauvreté en Inde ... à priori un peu ridicule, bref, quelques éléments qui me mettaient sur une fausse piste). Mais la catégorie ne laissait pas présager cela. Intriguée, j'ai continué. Et puis ce passage sur Libourne, et le texte prend déjà une autre dimension. On manque d'éléments encore pour bien se représenter dans quoi s'inscrit cette démarche épistolaire (une thérapie après TS ?), mais tout ce qu'on a lu auparavant s'éclaire différemment. Et puis arrive cette chute, terrible, à laquelle je ne m'attendais absolument pas. J'avais perdu le titre de vue, et puis de toute manière, je n'en aurais pas imaginé les conséquences. Donc, en ce qui me concerne l'effet est réussi : j'ai été bluffée jusqu'au bout, et j'ai apprécié cette lecture. C'était un pari osé, parce qu'effectivement, le style épistolaire, dense et moins lisible, pouvait à priori risquer d'en rebuter plus d'un. Bravo. |
Anonyme
28/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
J'ai commencé cette lecture avec une certaine réticence. J'avais apprécié l'humour de Flupke, notamment dans l'histoire de Rachid, et je me demandais quel mouche le piquait de se lancer dans le romanesque.
Je m'attendais au pire. J'ai découvert le meilleur. Il y a bien quelques longueurs. J'avoue avoir survolé certains passages, surtout dans la seconde partie. Mais la fin m'a réveillé. Bravo Flupke. |
leon
13/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
J'attendais un peu la chûte mais celle-ci reste bonne néanmoins.
Sinon, la lecture est fluide et c'est la vraie peine d'un homme qui a perdu son amour, assez sobrement décrite. ... et la longueur me convient parfaitement : je crois que c'est à peu près le format web. |
marogne
27/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un seul regret, on comprend beaucoup trop tôt la fin, et ce dès la première partie, c’est dommage.
Mais l’ensemble est très réussi, à la fois sur la forme et le fond. Sur le fond d’abord, j’ai vraiment apprécié la première partie, peut être parce que je me sens un peu en phase avec le narrateur, et parce ce que de retour de Bombay, j’ai voulu écrire un texte sur les horreurs qu’ont y voit….. Sur la forme, et à part mon premier commentaire, la forme épistolaire me parait tout à fait adaptée, elle nous rapproche du narrateur, elle nous fait partager son raisonnement, et ses remords. Et puis cette répétition du questionnement sur la colère, qui rythme le texte, et qui en même temps le scande, est une belle trouvaille (même si c’est ça sans doute qui fait que dès quelques lignes on a compris la fin…). Marier le fond et le plaisir de cette façon est du grand art. |
jensairien
18/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
|
super bien écrit, formidable chute, et plein d'humour. Il y a de la cervelle dans le flupke.
Ah oui le titre, c'est vrai, il est vraiment pas terrible. |
Anonyme
5/2/2009
|
J'ai lu cette nouvelle il y a deux jours mais je n'ai pas osé poster de comm. Ce matin, je l'ai relue et j'ose.
Et pour la commenter je crois qu'il faut se mettre à la place de la femme qui la recevrait si elle était encore de ce monde. Et voici ce que je ressentirai : une profonde ironie et cachée dessous, une colère latente, le plaisir diffus de pouvoir dire à la fin, tu peux t'en aller, je me suis trompé sur ton compte et je suis guéri alors que toi et ta "fausse" générosité, tu es morte. C'est une lettre vengeresse, pas de doute et par conséquent, pour l'auteur, libératrice. C'est en tout cas ce que je ressentirai si je la recevais. Pour le reste, je me pose les mêmes questions quand je vois des femmes à genoux sur le trottoir les yeux baissés, avec ou sans enfant, avec ou sans chien, chat, lapin ou autre. Et il m'est arrivé de voir un homme fouiller dans une poubelle, d'entrer dans une boulangerie et d'en ressortir avec deux pains au chocolat que je lui ai donné. Là je suis satisfaite, parce que je sais que ces pains au chocolat, c'est sûr, c'est lui qui va les manger. Au plaisir de te lire. |
liryc
13/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Flupke,
Encore une nouvelle avec une chute totalement inattendue et un rebondissement qui mène droit à la première ligne pour relecture. Certains passages pourraient être écourtés sans enlever sa substance à l'ensemble. Amicalement liryc |
Mistinguette
9/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Une histoire beaucoup moins drôle que les deux lues précédemment du même auteur. Mais décidemment quelque soit le registre, les nouvelles de Flupke sont toujours aussi savoureuses…
|