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Manuel
10/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Oui ! j'ai bien aimé.
A part quelques précisions peu convaincantes sur la chasteté et un pari idiot, c'est malgré tout assez creux; Flupke aurait pu développer pas mal de choses demeurées obscures: mobile, autres victimes, semblant de dialogue... Juste pour étoffer le récit, et tenir un peu plus le lecteur. |
Anonyme
10/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Que je rétablisse la vérité: "Always look on the bright side of life" que Brian chante sur sa croix à la fin du film des Monty Python, est une chanson d'Art Garkunkel (celui qui chante "the sound of silence" avec Paul Simon.
N'empêche que ce détail est succulent dans le contexte, où le pauvre Corbineau est crucifié. Merci pour toutes les allusions à La Fontaine. L'avocat Corbeau, et la seriale killeuse Renard(e), les vers empruntés au "renard et la cigogne", et à "Perette et le pot au laid". Le style est enjoué, et j'avoue avoir pensé pour le rêve aux hippopotames en tutu dans le "Fantasia" de Walt Disney. Merci pour cette nouvelle qui m'a bien fait rire. Always look on the brignt side of life..... (et voilà, je vais fredonner cette chanson en ce vendredi sain...) |
Anonyme
10/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Même si la fin est prévisible (et ça assez rapidement), j'ai vraiment aimé ce texte. j'adore cet humour noir, avec ce renvoi aux Monthy Python.
L'absurde total dans la réalité la plus cruelle j'adhère. Et cette histoire de speed voyance est une excellente trouvaille. Bravo pour tout ça! |
Arnaud
10/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Texte agréable. J'accroche bien sur le vocabulaire soutenu, même si une fois ou deux ça tombe dans la caricature.
Bien sûr la fin n'est pas une surprise, mais ça n'a rien de grave. J'ai juste une question sur la phrase suivante: "Dieu merci, une âme charitable l’avait soulagé de ce dernier désagrément". Pourquoi "dernier" ? Si le désagrément est la crevaison, quels étaient les désagréments précédents ?... Ca n'est pas très clair. Mais bon. J'aime ce texte poétique. |
Anonyme
10/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Flupke ! Un peu déjantée mais super sympa cette nouvelle abracadabrantesque ! Beaucoup de savoureux passages dont les références à La Fontaine...Maître Corbineau honteux et confus, jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus... Merci pour ce bon moment de lecture où, comme d'habitude, la qualité d'écriture est au rendez-vous !
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florilange
10/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah oui! Amusant, plein de références.
J'ai adoré la partie poétique sur les "grosses". Je les ai vues, avec leurs petites ailes, folatrant gaiement de gauche & de droite, leurs camisoles flottant élégamment à la légère brise qu'elles déplaçaient. Parce que, tous les goût étant dans la nature, y en a qui les préfèrent grosses, mais oui! Sauf au réveil. Maître avocat l'a eu plutôt brutal. Tout cela est si bien dit. Merci, Florilange. |
Menvussa
11/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ça y est, tu viens de m'enlever toute envie de faire de l'auto-stop.
Une lecture qui met en appétit même s'il n'est pas précisé de quoi la belle se nourrit. Comme quoi il est vraiment stupide de se gâcher le présent en pensant à un lendemain hypothétique. Eh oui, c'est con à dire, mais le futur n'existe pas. Un moment de lecture bien sympathique. |
NICOLE
11/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai adoré ce petit bijou d'humour noir joliment orchestré.
Une bien jolie façon d'illustrer le vieil adage selon lequel les vrais problémes permettent de remettre les petits tracas à leur juste place. Merci pour ce bon moment de lecture. |
kullab
13/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Flupke,
Pas mal, le coup de la femme obèse tueuse en série. L'ogresse, après avoir découpé sa victime à la tronçonneuse, en fera-t-elle son petit en-cas du soir ? Toujours ce style singulier avec cette pointe d'humour que j'aime beaucoup ! |
Anonyme
13/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les pythonisses ne s'étaient point fourvoyé. Il semblerait qu'elles aient donc toujours raison, comme le titre de cette nouvelle nous le rappelle aimablement. Maître Corbineau jura, mais un peu tard...
Arf. J'ai bien ri Style alerte, ampoulé à dessein parfois (la relation du rêve), drôle. Cela se lit très aisément (gage de qualité), le sourire aux lèvres. Mais où va-t-il chercher tout ça ce Flupke ? |
widjet
14/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il y a un petit côté CUL DE SAC (de Douglas Kennedy) et de HITCHER au féminin dans ce petit conte amusant (l'esprit aiguisé et sarcastique de Flupke est resté intact) et horrifique (dommage que l'auteur n'ai pas été au bout de son récit - j'aurai bien aimé voir oeuvrer la tueuse !).
Sympa, donc. Bon retour parmi nous, Flupke ! Widjet |
leon
14/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Une histoire simple et bien menée, un texte gore ou frisant le gore : j'ai bien aimé ! Mais j'attends d'autres histoires un tout petit peu plus étoffées...
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Togna
17/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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« Vis l’instant présent, le passé tu ne peux plus en jouir et le futur ne t’appartient pas », me disait ma grand-mère à qui les voyantes filaient les boules. Elle avait bien raison la brave femme, elle aurait apprécié l’humour de ce récit qui nous rappelle au passage qu’il est vain de trop se soucier de l’avenir.
Merci Flupke pour cet instant de lecture délectable. Mais, quand même, tu n’en fait pas des tonnes en affirmant qu’un quintal est égal à 100 kg ? |
David
20/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Flupke,
"Bien en chair et boudinées comme d’apollinaires cosmonautes, elles paraissaient ignorer les lois de la pesanteur" Est-ce que c'est le côté "apollinaire" ou bien le côté "cosmonaute" qui donnent soit le côté "bien en chair et boudinée", soit le côté "ignorer les lois de la pesanteur" ? J'ai pensé un moment qu'il y avait là un sommet de l'imagerie, notamment à rebours, par la suite, même à la fin, quant fut évoquée la fameuse poésie postmoderniste en ce non moins fameux sizain. Finalement, le cerveau las, je renonce, voir je me dis qu'appolinaire n'est là que pour évoquer, par un voisinage certain, ou l'inverse, la mission apollo 11, et serait ainsi une redondance de "cosmonaute".... ou bien un truc de poète pour enfumer son lecteur. Mais je crois que ce que j'ai préféré, c'est d'imaginer la speed voyance par analogie au speed dating, c'est assez percutant. |
pieralun
21/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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très bien écrit, de l'humour indéniablement......mais de là à le classer dans humour détente.......j'en frissonne
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liryc
24/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Flupke,
Des touches d'humour délectables une peu partout. Une patte d'écrivain comme toujours très maitrisée et une chute certes moins élevée que dans d'autres de tes nouvelles mais qui se glisse parfaitement dans la trame humouristique malgré le tragique de la situation. BRAVO Maïtre Flupke :-) |
Selenim
29/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un récit à l'humour léger qui vaut surtout pour la grande aisance stylistique de l'auteur.
Le coup de la speed voyance est une vraie bonne idée, j'ai juste été déçu que ça se termine "encore" en boucherie. J'ai particulièrement apprécié le rêve et ses images gargantuesques. Un agréable moment. Selenim |
Anonyme
12/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Flupke
Onirique ! J'ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture. Rien à dire de constructif, vraiment... rien. Le sourire était là du début à la fin, je trouve cette femme extrêmement sympathique et délicieusement gourmande et elle a tout a fait raison : les avocats se mangent frais, et s'ils sont dégustés aux premières lueurs du jour, ils n'en sont que plus goûteux. (Où est ma scie sauteuse ?) Carpe Diem ! |
Anonyme
12/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
j'ai bien aimé ce récit plein d'un humour caustique ; de petites trouvailles sympathiques, la speed-voyance ou la façon de parler de la quatrième voyante... Le style est imagé et j'oserai dire, gourmand, très agréable à lire (juste un doute sur "participant à la conversation d'une oreille distraite", pas convaincu par l'expression). Rien d'original dans la fin, sinon qu'on bascule définitivement dans l'absurde avec la déclamation du sizain par la future victime. Je regrette un peu que l'accent ait été porté sur Loïc, au détriment de Renata qui, me semble-t-il, gagnerait à être connue ! Mais c'est un choix d'auteur, donc... Bonne continuation en tout cas. |
marogne
11/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Allez, je vais commencer par deux critiques, parce qu’après tout, ce texte, et malgré mon imperméabilité à l’humour, je l’ai bien aimé, et il m’a fait sourire du début à la fin.
Ah oui, les critiques ? Et bien d’abord ça fait quand même un peu trop remake de « Misery » ça…. jusqu’au cochon ! Et au cartilage ! Et puis, peut être, la raison de la validité des prédictions annoncées, ou que l’on peut deviner, beaucoup trop tôt, dès qu’elles sont faites d’ailleurs. Mais c’est sans doute un choix, et pa sr que le choix contraire aurait conduit à quelque chose de mieux. Très bien donc |
wancyrs
18/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Merci Flupke.
j'ai bien ri en cette soirée où même le coucher de soleil si souvent bienfaiteur m'a laissé de glace en cette période d'automne Québecoise. J'ai vraiment pas envie de commenter, juste savourer ce texte écrit avec une légèreté et dont je n,ai pas vu venir la fin... ou si ! j'ai imaginé plutot une partie de jambe en l'air, mais j'étais loin de la plaque. Merci |
Mistinguette
8/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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L’écriture, le rythme, l’intrigue, tout me ravit dans cette nouvelle qui se trouve être à mon sens un petit bijou.
Rien à redire donc, si ce n’est mille fois MERCI monsieur Flupke. Et un grand bravo pour le poème à la fin. |
Anonyme
20/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Déjà l'exergue m'a fait sourire : « Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? » Luc 12,25 ; j'ai tout de suite pensé que Luc en avait ajouté 12,25 ! Il est fort le Luc.
Tiens, j'ai connu un Renata sculpteur de son état ; il était spécialisé dans les sculptures à la façon Botero. Par contre rien pour les biches, hyènes, faucons et écureuils. De toute façon, pas de quoi se laisser brouter les neurones. Je me suis demandé ? Mais non, on n'a pas le droit de mentionner l'auteur (la charte vous dis-je) : « Ses rêves passablement érotiques furent peuplés d’aériennes adolescentes d’un quintal et demi, vêtues de nuisettes diaphanes et vaporeuses,... ». Qu'est ce que j'ai ri à ce passage : « la donzelle effarouchée se laissa convaincre de la pureté des intentions de son prétendant. ». Bien sur à connecter à ce qui précède et suit. Harg ! Le quin (tal). Un avocat ! Il pourra toujours plaider la légitime démence auprès de St Pierre. Matefaim de rigolade, c'est sur ! |
silene
29/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voilà qui est encore bien bon, et ragoutant, encore. Je vais entrelarder la lecture de vos biscuits de quelque pain bien dur, car je craindrais d'en devenir dépendant.
Forme concise et ramassée, une langue excellente, précise et d'une virtuosité manifeste. Le fond fait jubiler mon imaginaire, peut-être quelque peu belbézuthien ; mais, comme vous avez placé le texte sous une invocation tout à fait recommandable, et d'une justesse qui frappe par sa pertinence, je savoure en jouisseur. La seule réserve que je ferais concernerait les explications de bas de page ; les lecteurs sont donc si paresseux - ou ignorants - qu'il faille expliciter ? |