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Anonyme
27/1/2011
a aimé ce texte
Pas
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D'un point de vue écriture c'est un texte bien maitrisé. Il y a un vrai rythme, les mots semblent choisis soigneusement et sont clairs.
La mise en abyme est intérressante aussi. Bref, c'est un bon texte techniquement. Mais je suis plus dubitatif sur le fond. Quel est l'idée? Dénoncer un abus policier? Pourquoi pas. Quoique c'est peut être passer au dessus du travail de l'IGS non? Critiquer le système policier à la française? Oui mais...C'est la France patrie des droits de l'Homme pas le Brésil ou la Tchétchénie me semble t'il ...Et comme partout il y a des brebis galeuses...Derrière le policier il y a un homme. Bref, je ne sais pas trop quoi penser sur la finalité, mais il ya un gout de malaise devant lidée... |
costic
30/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Nouvelle grave, questions importantes, mise en relief de l’abus de pouvoir. Un texte éprouvant qui nous réveille de notre torpeur. Notre pays de rêve n’est pas un pays de cocagne, note vie prospère et insouciante cache des dessous peu ragoutant. Oui, certains éduquent leurs enfants en les dégradant. Oui, il faut rester vigilant.
Oui, nous avons des privilèges que d’autres paient. Non le monde n’est pas un Eldorado. La dénonciation de cet état de fait me semble très bien posée. Restent les questions, que faire ? Je suis assez fidèle à là-bas si j’y suis, mais je reste parfois sur ma faim. La complexité de l’humanité est effrayante, le repli est une tentation, l’espoir exige beaucoup d’efforts. |
Coline-Dé
11/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte qui sent le vrai.
Qui pourrait être vrai. Qui pose beaucoup de questions. Qui n'apporte aucune réponse ( je fais mon instit et j'attribue un gros bon point !) Mais je suis fichtrement embêtée pour le juger littérairement parlant : il est bien écrit, très efficace, sans emphase, sans pathos, avec juste ce qu'il faut de petits détails " saignants" (bon, je sors ...) Dans quelle catégorie le placer ? Je ne sais pas. Trop de réflexions et de questions pour être une nouvelle. Pas assez de théorie(s) pour être essai philosophique. Témoignage ? Témoignage lui irait bien. Mais ce genre ne figure pas sur le site. Commenter sur Oniris consiste aussi à mettre en rapport les textes que nous lisons avec ceux déjà publiés ( comme toute évaluation, il est question de voir quelle place ce texte pourrait prendre dans le corpus déjà publié) Et j'avoue être démunie. J'ai beaucoup aimé cette façon intelligente de provoquer chez le lecteur intérêt et indignation. Ce texte secoue sans chercher à manipuler ( ou alors si habilement que c'en est un plaisir !) Mais je ne sais vraiment pas comment lui rendre justice. |
jaimme
11/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Beaucoup aimé le début qui place le lecteur (surtout le lecteur/auteur) dans la peau de l'auditeur/lecteur/narrateur.
Le petit pouvoir obtenu montre du doigt les hommes petits. J'écoutais récemment Daniel Mermez parler de violences policières, de gazage par un gendarme. J'ai vu la vidéo et j'en ai frémi. Mermez comme ce narrateur ne placent pas tous les policiers dans le même sac. Le pouvoir doit être sous surveillance. Et la surveillance de la surveillance... c'est nous. Nos choix. Nos idées majoritaires. Cette nouvelle est bien écrite. La fin est un peu trop didactique, mais bon... J'ai aimé. Pour le fond et la forme. |
Pascal31
15/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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En lisant les premières lignes, je me demandais vraiment où l'auteur voulait nous amener... Le témoignage authentique (même si romancé) qui suit m'a abasourdi : la violence des policiers arrive tellement vite, juste sur une petite remarque même pas agressive, que ça en est à peine croyable.
Difficile de "classer" cette nouvelle et surtout, d'en tirer une quelconque conclusion. J'ai reçu ce témoignage brut en pleine tronche. Il m'a bien secoué. Le but est atteint. |
widjet
15/2/2011
a aimé ce texte
Pas
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Je n'aime pas.
Pas tant en soi le parti pris qui n'engage que l'auteur. Je n'ai rien contre les pamphlets (car c'en est un, Flupke n'oppose aucun contre poids et la charge contre la police est sans nuance aucune), mais en revanche, j'attendais un peu plus de finesse dans cette critique grossière. Le problème c'est que cette absence de finesse ne me fait pas réflechir sur le fond, je rejète d'entrée la forme. C'est donc sans appel, si ça voulait m'interpeller (même si je ne découvre pas "les bavures" pour autant), c'est foiré. Tout est mal amené. La réaction du flic excessive oui, mais surtout non progressive, j'aurai préféré une montée en puissance du genre le rire du gars est mal interprété par le flic qui le prend comme une foutage de gueule. Ici, non. C'est un rire "non ciblé" qui provoque la réaction policière. Je ne dis pas que cela ne peut pas arriver, je dis juste que c'est trop épais pour moi. Ensuite le gars répond gentiment et le flic lui coure après. Non, désolé j'y crois pas. Trop soudain tout ça comme ce passage a tabac, trop gratuit (il aurait fallu a minima que le type fasse une reflexion taquine etc...). De plus, l'auteur en rajoute dans la bestialité ("l'agent bave"..."vomissant leurs rires moqueurs" etc...). Ou est passé la touche corrosive et incisive ? Cette surenchère me surprend de la plume pourtant fine de l'auteur. L'impact n'aura pas souffert d'un angle de vue (et d'attaque) plus judicieux, je pense. Maintenant, j'imagine que le caractère frontal et "bête et méchant" est volontaire afin de montrer sans équivoque que la police a aussi (et c'est incontestable) son lot d'abrutis. Quelques phrases m'interpellent : "Dehors, nous récupérons notre dignité". Faux. Ils reprennent leur liberté oui, leur honneur est déjà piétiné au vue de ce qu'ils ont déjà subi. Je suis également gêné par cette abondance de questions (ça donne un côté exagérement candide du personnage, genre l'humaniste qui découvre la cruauté et l'injustice dans ce bas monde, une fois encore c'est trop excessif et trop martelé et ça nuit à l'intention) et cet humour presque déplacé ("ce "Nul besoin de lunettes 3D " ne s'imposait vraiment pas. Maintenir la tête du lecteur hors de l'eau par un peu de légèreté n'est pas toujours une bonne décision). Enfin ce dernier passage "Il prophétise même qu’elle composera à ce sujet une chanson qu’écoutera en boucle un obscur scribouillard en mal d’inspiration qui exploitera l’incident en le narrant à sa manière et qu'il se fera à son tour rouer de coups, qu'un autre reprendra le flambeau, racontera son histoire, etc., etc., etc. Ad nauseam." enfonce le clou et donne un caracère presque fataliste et "acquis" (du genre ça arrivera forcément à tous les prochains quidams). Définitivement grossier dans le traitement. Allez je finis sur une bonne note : cette phrase "« Sunday Bloody Sunday » de U2 figurait la seule transmutation possible de plomb en or" qui rappelle l'esprit aiguisé de notre Flupke ici hélas passé à la trappe (sujet trop émotionnel donc traitement impulsif ? Seul l'auteur peut le dire). Encore une fois, je ne conteste pas le fait que ce soit un pamphlet (et donc forcément par définition partial), c'est juste le traitement que je regrette. W |
Anonyme
15/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour, Flupke,
Petite chronologie de ma lecture : 1) je googueulise Jeanne Cherhal, pays d'amour. 2) Je cherche sur le site "charade" 3) Je cherche sur son Myspace 4) Je cherche sur Youtube. Le son est pourri. Ça me gâche l'audition. 5) Je ne trouve pas le paragraphe en rouge. 6) Je peste (pour me calmer, un petit lien, s'il vous plaît, Flupke) 7) j'essaie de vous imaginer avec votre galure d'Indiana Jones et une Natacha, ça sonne pas mal. 8) Je lis la nouvelle, faut pas croire. Avis mitigé pour moi. Je comprends aisément que lorsqu'on est victime d'une telle "aventure", le récit en soit si prégnant qu'il mène, même sans le vouloir, à une généralisation. Je suis une auditrice de Mermet, et je me dis qu'il faut qu'un type comme ça ait sa place sur les ondes, même s'il m'énerve souvent. Il faut, bien entendu, dénoncer tous les abus. Mais tout de même, comme l'ont dit d'autres commentateurs, nous sommes en France, et pour avoir vécu dans un pays totalitaire, je connais ma chance d'être Française. Et c'est pour cela que votre conclusion est, pour moi, exagérée. Je la ressens comme (ne prenez pas ce que je vais écrire pour un jugement personnel à votre encontre, surtout, loin de moi cette idée) malhonnête. Sur la forme, quelques remarques : - trop de questions pour moi. Peut-être auriez-vous pu évoquer les interrogations du narrateur d'une autre manière. - "ils inspectent notre nudité" : à ce moment du texte, je trouve la tournure trop soft ; - une cellule d'isolation : :D (vous allez bien trouver ce qui cloche !) J'aime bien la mise en abyme annoncée par la "Vache qui crie"... J'aime toujours autant, dans vos textes, cet aspect malin qui balade le lecteur, l'air de rien. |
Anonyme
15/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ah mon cher Flupke, quelle histoire ! Au fait, fiction flupkéienne ou télé-réalité ? Je penche pour la fiction...
Cela dit, belle écriture comme d'hab., petit rectificatif à apporter concernant la cellulle " d'isolation". Désolation aurait mieux convenu mais isolement ce n'est pas mal non plus... Pour le reste, et bien oui ça peut arriver à n'importe lequel d'entre nous... Suffit de tomber sur le "mauvais con", chef de surcroît et de service ce jour là et tu deviens le "héros" du scénario si bien décrit ici... Gardons-nous pourtant de faire l'amalgame, ce que tu ne fais pas j'en conviens ! Tout ceci donne à réfléchir, d'où l'intérêt de ce texte... Merci Flupke en te souhaitant un prompt rétablissement ! Alex |
Menvussa
15/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Flupke,
Je l'ai lu deux fois ton texte. J'avais glissé dans la spirale ne sachant plus très bien si le narrateur devait acteur involontaire ou ne faisait que nous relater ce qu'il découvrait sur le net. Finalement, c'est cela la spirale infernale. On passe d'une réalité à l'autre sans traverser de frontière tangible. C'est plutôt bien réussi. Et le doute persiste ce qui fait qu'une fois le récit terminé on en vient à se demander si on ne va pas à son tour faire ce genre d'expérience. Bref! Un texte qui résonne comme une paire de claque. Elle est où la réalité ? La vraie ? Au plaisir de te lire |
toc-art
15/2/2011
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Bonjour,
j'ai eu du mal avec ce texte, comme souvent, avec les textes présentés comme issus de la réalité, comme si cela dédouanait l'auteur de faire l'effort de convaincre le lecteur, comme si l'estampille "vu à la télé" ou "lu dans le journal" devait suffire. bon, déjà, je suis pas fan de jeanne cherhal, j'avais bien aimé le petit voisin, mais après j'ai décroché. ceci dit, ça n'a rien à voir, je vous le concède. Plaisanterie mise à part, quelque chose me gêne dans la construction du récit en "spirale", partant de la chanson de la demoiselle pour y revenir. C'est amusant mais du coup, les interrogations par trop naïves du narrateur ne se justifient plus, son esprit sagace étant déjà alerté par l'écoute de la chansonnette de la dame, non ? Je pense qu'une référence à la chanson aurait été bienvenue au cours même du récit, et non seulement à la fin, le narrateur aurait dû à mon sens nous faire part de son effroi à se retrouver dans une situation du même type que celle décrite par la chanteuse. Mais même en dehors de ça, la façon de réagir du narrateur, pendant et même après l'incident, ne m'a pas convaincu. Bien trop spectateur de son propre calvaire. Et les questions qu'il se pose ou les réflexions qu’il fait me paraissent trop "philosophiques" dans l'urgence de la situation. Celle-ci notamment « Mais de la part de représentants des forces de l’ordre, cela me dérange beaucoup. » Je ne suis pas convaincu qu’en de telles circonstances, on voit les choses d’une façon aussi posée. Ou bien s’agit-il d’humour. Mais la candeur du narrateur, que j’imagine fausse (sinon, il est vraiment benêt quand même), me paraît sortir le récit du réalisme pur et brut pour en faire un élément de démonstration sur les dérives sécuritaires. Après tout, pourquoi pas. Mais je pense que le récit perd du coup toute puissance d’évocation et me paraît, à moi en tout cas, plutôt contre-productif. Par ailleurs, les paragraphes mettant en scène le repas et les questionnements sur la catégorisation d’un récit du narrateur ne me semblent pas très intéressants et semblent posés là pour faire un clin d’œil (un brin racoleur à mon sens) aux membres du site. Mais là, j’avoue que les références me manquent. S’agit-il d’une nouvelle déjà publiée sur le site ? Je pense que l’auteur voulait ainsi donner chair à ses personnages, les rendre vivants, mais le procédé me semble maladroit. Sur la forme, le récit se tient, même si certaines phrases pourraient être plus simples. J’ai noté une virgule manquante ici : « Sophie, férue de mathématiques fractales approuve le choix du fromage, mais… » / il manque une virgule après fractales. Et ici : « Des nouvelles casquettes défilent devant le hublot. » / j’aurais mis « de nouvelles… » Bonne continuation. |
shanne
16/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Le titre m'a fait sourire, tiens, une spirale infernale dans un pays de rêve... je veux lire et je ne suis pas déçue. Une nouvelle bien écrite, une présentation soignée et surtout qui peut faire réfléchir sur la transformation de l'homme avec le pouvoir, et, je dirais même sur le rôle de cet uniforme qui peut donner tout pouvoir. Un grand merci à vous |
Anonyme
17/2/2011
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai dû me reprendre à deux fois pour lire jusqu'au bout. Le style m'a rebuté, enfin plutôt l'impression que le narrateur en fait "trop", en étale trop avec un vocabulaire limite pédant parfois...
Maintenant, le contenu m'intéresse. ca ne me dérange pas du tout qu'on aborde le sujet des violences policières, qui existent en France, n'en déplaisent à certain. Il faut peut-être avoir fait un tour en garde-à-vue pour le savoir... Mais voilà, à cause de ce personnage, limite pédant, qui en devient désagréable et antipathique ( à mes yeux en tout cas) dès le début, j'ai pas accroché une seconde. J'ai ressenti aucune empathie pour le personnage. la violence de la situation ne m'a pas atteinte. Pourtant, j'y suis p'tre plus sensible que d'autres... Et je pense que c'est à cause de cette façon de narrer les choses : pleine d'étalage de confiture, de questionnements amusés. Ça colle pas avec le sujet... Ensuite, l'altercation est pas rendue de façon très réaliste, on ne sent pas la provocation des policiers, l'engrenage qui se met en route dans ce genre de situation : un prétexte futile, une remarque d'un coté, une réponse un peu plus haute de l'autre, l'escalade jusqu'à l'emploi de la violence physique. là, ça fait de but en blanc. C'est p'tre ressenti ainsi par les gens qui ont témoigné... mais ça ne se passe pas comme ça. Je parle d'expérience... Donc voilà, malheureusement j'ai pas accroché à cause de ce narrateur qui en fait des tonnes, étale sa science alors qu'il raconte un évènement violent qui a dû le bousculer un peu quand même... Pour moi, ça colle pas. La mayonnaise prend pas. Dommage, le sujet s'y prêtait. C'est très subjectif bien sur sur le fond, sur la forme, j'ai pas grand chose à redire ( ah si, on donne un coup de couteau entre les cotes, mais la matraque je doute qu'elle ait la place de s'y glisser ! Sur les côtes ou dans les côtes plutôt), si ce n'est ce décalage de ton par rapport à l'évènement rapporté, qui n'est pas crédible. Je comprends la volonté à travers ce décalage, mais le trop est souvent l'ennemi du bien. |
wancyrs
18/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Si je comprend bien, l'idée de cette spirale c'est : écouter une chanson, chercher la cause des mots prononcés, se faire tabasser et enfermer, sortir et raconter son histoire qu'une autre victime écoutera et se fera traiter de la sorte aussi, ainsi de suite ? Pas mal, mais je trouve que la période d'incarcération est très survolée dans le récit, et que les détails qui devaient permettre d'identifier l'outrage sont maigres, en dehors du fait que le narrateur dit avoir été insulté.
L'écriture reste néanmoins belle. |
styx
19/2/2011
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Je n'ai pas pas noté car je ne sais pas quelle note attribuer ... Le texte m'a dérangé. Pas le style mais l'histoire vraiment que je n'ai pas trouvée crédible du tout. Je ne sais pas si c'est arrivé à l'auteur ou pas. Si c'est le cas, il a peut-être besoin de digérer le truc un peu plus avant de l'écrire. Si c'est arrivé à une autre personne (faits relatés) ou si c'est inventé alors je comprends mieux ...
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Lunar-K
19/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Personnellement, je n'ai pas du tout été gêné par l'exagération de la répression policière. Ça me fait penser à du Boris Vian qui lui aussi avait tendance à rendre ses flicards plus grossiers et violents qu'ils ne le sont vraiment (je pense notamment à ses "Chaussettes à clous").
D'ailleurs, pour rester dans la comparaison, je trouve le style de cette nouvelle très vianesque lui aussi. De très nombreux jeux de mots, qui n'hésitent pas à flirter avec la lourdeur, sans jamais basculer. Je trouve juste dommage que le narrateur se fasse si souvent moralisateur. A mon avis, ce texte aurait été plus percutant sans de telles prises de position. En présentant simplement l'histoire comme quelque chose de tout à fait banal, je crois que le message serait beaucoup plus fort. Mais ce n'est qu'une impression toute personnelle... |
victhis0
20/2/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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non, je marche pas.
c'est un poil décousu, le flic pas assez décrit, le tramatisme finalement un peu trop léger. J'ai aimé le style im-pe-cable d'une excellente plume d'oniris, mais je t'ai connu plus "compact" dans tes récits où la SF du début n'a rien à faire là (l vache qui crie, c'est rigolo mais décalé sur le ton et le sujet). Beaucoup aimé les questions issues du problème, très justes. Et puis je prends mon pied en te corrigeant uen faute de français : on n'ecrit pas basé sur (la base ne peut s'employer que pour situer un lieu, ex : une école basée à Bruxelles) mais fondé sur. Na ! |
Anonyme
20/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bounjour Flupke
Un point commun avec le narrateur : la grande sympathie pour jeanne Cherhal... C'est avec un grand plaisir que j'ai lu votre texte, un brin moralisant... Je l'ai pris comme un récit plein d'ironie avec une écriture qui flirte du côté de la fantaisie comme souvent chez vous. Comme dans un rêve éveillé, loin de la noirceur relevée par d'autres commentateurs. Alors prions tous ensemble, de manière païenne (sic) pour que l'on puisse encore vous lire. Amicalement. JB |
DouglasLejeune
2/3/2011
a aimé ce texte
Pas
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Desole, mais je ne vois pas l'interet, en dehors de faire un pamphlet anti-police, sur lequel on peut discuter dans tous les sens, mais ce n'est pas ce qu'on cherche en lisant une nouvelle. S'il doit y avoir une these, elle passera d'autant plus qu'elle sera enrobee dans une belle histoire.
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littlej
2/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le début commence très mal, à mon sens. Il y a un problème de focalisation : le narrateur s’exprime au « je » narratif, et le temps est au présent. Or, il y a focalisation externe : « je clique sur l’album, puis sur le titre de la chanson » ; ce qui est illogique. On ne devrait avoir qu’une « vue » sur les pensées et les sentiments du narrateur ; comme ici : « Il faut que j’en aie le cœur net. »
Pour la suite, puisque c’est visiblement un récit retranscrit à l’écrit (si j’ai bien compris, et je l’espère, parce que sinon tout le texte tombe à l’eau…), ça marche. Les « coups de pied dans la tête » sonnent d'une manière comique, je trouve (ce n’était pas l’effet recherché je crois). Pourquoi ? Parce qu’ils sont rendus presque anodins : « je reçois des coups de pieds » et voilà. Un adjectif comme « violents » ou autre aurait communiqué une douleur au lecteur. Le truc des phrases qui deviennent de plus en plus courtes est trop voyant. Pourquoi ne pas les avoir mis dans un seul paragraphe ? « Pendant le transport, les injures crépitent sur nos tympans. » J’arrive pas à m’imaginer des injures crépiter… Désolé. "Pourquoi une telle humiliation ? Manquent-ils à ce point de confiance en eux-mêmes pour compenser ainsi, en abusant de leur autorité ? Cette griserie est-elle saine ? Éduquent-ils leurs enfants en les dégradant ? L’absence d’automodération induit-elle une ivresse du pouvoir comme chez les empereurs de la Rome décadente ? 5 questions à la chaîne, ça fait un peu lourd. Mais c’est pas grave ; ça retranscrit la rage contenue du narrateur. La fin du récit de cette fameuse mésaventure est excellente ; elle indique la technique d’écriture qu’a utilisé l’auteur, à savoir la mise en abyme, cette « spirale infernale ». D’autres indices sont distillés au fil du texte : « la Vache qui crie » ; « le serpent qui se mort la queue »… il y en a d’autre ? « Je suis devenu une goutte d'eau ajoutée aux statistiques. » Déjà entendu, non ? J’aime beaucoup les textes et les films avec des mises en abyme ; ça donne véritablement le tournis, et j’adore ça. Ce procédé donne une originalité à un thème qui, si il eût été traité de façon « journalistique », aurait beaucoup moins bien passé, car là, même si on adhère pas à la critique de l’auteur, on trouve tout de même sans compte en tant que lecteur. C’est pas mal. j |
Bidis
27/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai lu ce texte d'une traite, avec plaisir et intérêt. J'aime l'humour subtil de Flupke, par exemple quand il parle de la "spiritualité limitée" des pandores mis en scène. L'écriture est vivante et agréable. Bref j'ai passé un bon petit moment et c'est ce que je recherche quand je me mets à lire.
De plus, j'adore le genre "serpent qui se mord la queue". Enfin, le fond n'a provoqué chez moi aucune critique. La seule chose, c'est le "bloody sunday". Wikipédia : "Bloody Sunday (français : dimanche sanglant, irlandais : Domhnach na Fola, parfois anglais : Bogside Massacre, français : Massacre du Bogside) est une expression anglaise désignant les événements du dimanche 30 janvier 1972 dans le Bogside à Derry en Irlande du Nord, où quatorze manifestants pacifiques furent tués par des tirs de l'armée britannique." Comme j'avais vu le film tiré de cet événement, c'était à cela que je m'attendais. |