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Acratopege
11/5/2013
a aimé ce texte
Bien
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Histoire ambigüe, entre le conte pour enfant et le conte moral pour adultes. Le style lyrique et léger contraste avec le sérieux du propos. Comment de pas penser au "Petit prince" en lisant votre récit: la sagesse dans la bouche des enfants... Et le ton mélancolique du récit m'a touché. Tout est en demi-teintes, avec des sentiments subtils pour nous faire vivre cette quête de l'enfant que nous avons oublié en nous. J'ai trouvé le propos un peu naïf et enfantin, mais au fond il le fallait puisque c'est justement le sens du récit, si j'ai bien compris, de nous faire retrouver "ce que les enfants ont de plus que ceux qui ont grandi."
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leni
21/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Fugace
C'est subtil et profond Dans trois situations évoquées on se laisse emporter par un propos simple sur un ton de confidence enfantine Chez nous c'est partout on est les enfants du vent Notre peau est couleur pain d' épices Là j'ai pensé aux gitans :les fils du vent Nous nous sommes les enfants de la neige Clairs de peau clair de cheveux Yeux sans doute bleus J'ai pensé aux enfants du Nord Nous nous somme les enfants des villes détruites J'ai pensé:ils peuvent être de beaucoup d'endroits.... Ceux-là n'ont pas grandi avec les hommes Ils ne sont qu'à eux-mêmes Ces trois groupes rêvent à leur façon Le dernier groupe amène la conclusion:"Je te dirai ce que les enfants ont de plus que ceux qui ont grandi"J'ai beaucoup aimé ce texte qui coule de source Superbe! Merci à toi Fugace Salut cordial leni |
Pepito
21/6/2013
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Forme: quelques petites choses m'ont gêné au début : plusieurs fois/déjà - portail/yeux noirs - ... puis, comme c'est l'enfant qui parle, çà passe.
Fond: la phrase "Que cette enfant est attirante !" m'a fait peur, puis non. Ce n'était pas le propos. Pour la suite, le conte ne m'a pas pas du tout donné envie de redevenir un enfant. Les différents contacts sont peu chaleureux et ne transmettent en rien la joie enfantine que l'on s’attendrait à ressentir. En fait le texte est très mélancolique, je ne sais pas si c'était le but. Pas désagréable à lire en tous cas. Pepito |
Anonyme
21/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Fugace,
Vous nous prévenez d'entrée, que dans ce conte pour enfants, ce sont eux qui vont nous faire la morale. J'ai donc adopté ce parti-pris "profil bas" en attendant de me faire remonter les bretelles par une bande de philosophes en culottes courtes. Dommage que la leçon de vie soit trop courte pour sortir quelquefois d'un énoncé un peu trop synthétique : - « Les enfants nous ont vus leur apporter la guerre, la violence, la haine, la destruction. Ils ne veulent plus grandir pour devenir des hommes et des femmes. Vous ne pourrez pas en apprivoiser un seul ; ils ont refait leur monde à eux et nous en ont chassés.» C'est que j'aime votre narration à travers la bouche des enfants, et que j'aurais bien passé plus de temps avec eux. - « Si tu reviens demain, je te raconterai l’histoire d’Espoir, et peut-être plus tard celle de Fruit. Je te dirai ce que les enfants ont de plus que ceux qui ont grandi.» La morale de votre histoire est probablement aussi intéressante que celle de Paulo Coelho dans " L'Alchimiste " , et il n'y a pas de raison que vous ne preniez pas votre temps comme lui, pour nous raconter Espoir et Fruit. Je crois qu'en littérature, raconter est plus important qu'expliquer. J'ai pensé aussi un peu au roman de Philippe Claudel "La petite fille de Monsieur Linh" . En tout cas je veux bien revenir demain pour écouter la suite. Cordialement Ludi |
brabant
23/6/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Fugace,
C'est une belle histoire à valeur de parabole, elle m'a fait penser à la guerre que se livrent les "Grands" de ce monde par Syrie et pays des Tiers et Quart Mondes interposés et aux orphelins victimes de ces luttes d'influence. Il serait bon effectivement que les dirigeants des grandes puissances retrouvent l'enfant qui est en eux. Mais croyez-vous qu'ils l'aient perdu ? Voyez le monstre terrassé Hitler qui continuait à peindre Atchoum et Simplet alors qu'ils exterminait un peuple, des peuples et des communautés ! Ah ! Qu'avez-vous à répondre à cela ? L'Adolf continuait à vivre sous l'Antéchrist. Ah ! Je n'oublie pas l'angélisme du récit mais je salue sa valeur morale :) La thèse qui conclut unilatéralement à la condamnation de l'adulte que nous allons devenir est cependant à débattre... N'est-ce pas une adulte qui a écrit cette édifiante histoire ? :))) |
AhmedElMarsao
29/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Superbe et édifiant ce "conte pour... adultes''. D'une simplicité et d'une profondeur désarmantes.
Toutefois je trouve que le titre ne colle pas complètement avec le fond du texte. C'est mon avis en tout cas. |
in-flight
26/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un joli petit conte sur le clivage enfant / adulte. "Les enfants nous ont vus leur apporter la guerre, la violence, la haine, la destruction. Ils ne veulent plus grandir pour devenir des hommes et des femmes." --> cette phrase résume bien l'intention du texte: la fuite des enfants devant la folie des adultes. Sur le fond, j'ai pensé à Coelho ou ST éxupéry effectivement. Sur la forme, je trouve tout cela un peu "guimauvounet" mais on est prévenu dès le début donc pas de surprises. Je crois que Le Clézio disait que l'adulte passe son temps - à travers divers stratégies - à vouloir reconquérir le monde perdu de l’enfance. |
Anonyme
1/10/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Déposant mes désillusions au pied pour quelques minutes de bonheur à lire, je me suis laissée bercer par ce plaidoyer écrit tout en douceur sur les bienfaits de ne jamais oublier l’enfant que l’on a été, celui qui sommeille au fond de nous et auquel il faudrait toujours porter grand soin.
J’attends impatiemment de découvrir l’histoire de l’Espoir, celle du Fruit et toutes celles que vous écrirez dans cette veine. Merci, Fugace, pour la fraîcheur revigorante du moment passé à vous lire |