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florilange
22/6/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je n'ai pas du tout accroché à cette nouvelle, dans laquelle il ne se passe rien. Par ailleurs, on ne comprend pas très bien le rapport entre cette larve si sage et la machine à parler.
- "Par l'interstice, je vois..." - quel interstice? - "... qu'il n'a plus décroché un seul mot,..." - langage bien familier pour parler de ce "Sage" respecté par tous, non? - "... ce pourquoi cet exercice, ..., demande un peu d'imagination." Formulation lourde de cette phrase. |
jaimme
10/7/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Cette nouvelle me fait penser à certains essais de science-fiction spéculative des années 70. Mais autant, parfois, je les appréciais pour leur côté novateur, autant je perçois bien peu l'objectif de l'auteur. Il faut penser au pauvre lecteur qui n'a pas suivi le cheminement de pensée qui a accouché de ce texte. La réflexion qui est à la base de cette nouvelle, la démonstration qui est l'objet de ce texte m'échappent. Cela provoque l'ennui chez le lecteur, du moins chez moi.
Je comprends (un peu) pourquoi cette nouvelle est dans la catégorie réflexion/dissertation": elle se veut être une proposition de réflexion sur le devenir possible de la race humaine. Ce stade (ultime?) de l'homme m'a fait penser au stade ultime de la Guilde dans Dune. Ce qui m'échappe c'est en fait l'intérêt de cette nouvelle. Montrer la répulsion envers le corps humain dans un futur possible? Que la forme de notre corps n'est que transitoire dans l'Histoire? Il n'y a pas de réflexion à ce sujet et cela me gêne. L'écriture n'est pas vraiment à la hauteur de la tâche envisagée ici. Je pense que tout en restant dans ce cadre il aurait fallu lui donner plus de puissance et/ou de poésie. Merci pour cette lecture. |
Perle-Hingaud
2/7/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Un texte bien écrit, une structure narrative cohérente. Certes. Cependant, je suis déçue. Je pense que l’auteur est passé à coté de son intention. S'il veut démontrer quelque chose, il ne donne pas suffisamment d'arguments, du moins pour mon esprit relativement ignare. Cette histoire reste trop premier degré, l’auteur n'apporte pas les pistes pour que je puisse me détacher du scénario, pour nourrir ma réflexion. Peut être un parti pris trop cérébral pour moi ? Pas assez d’aide au pauvre lecteur lambda, qui reste alors englué sur l’histoire ? Or, au premier degré, c'est très limite, coté inventivité et développement, une simple esquisse. Il me semble que l’auteur en connait un rayon dans le genre SF et peut, s’il le souhaite, nous emmener ailleurs : ce n’était donc pas son propos ici. Maintenant, Kafka, j’ai toujours trouvé ça verbeux et incompréhensible, alors… cette appréciation n’engage que moi.
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Anonyme
6/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bon. Je n'ai pas compris grand chose là. Enfin si, j'ai compris les mots bien sûr, mais je n'ai pas compris où l'auteur voulait en venir (j'ai même été vérifié : non je ne suis pas en train de lire une nouvelle de SF. Cela aurait pu.)
Pourquoi cette abondance d'adjectif exprimant la laideur face à l'apparence biologique ? Et que vient faire là cette espèce de "deus ex machina"? Bref, sans doute parce que j'étais trop occupée à me demander où on voulait me conduire, ma lecture a été laborieuse. Certaines tournures de phrases, sans me choquer particulièrement, me paraissent obscures. C'est peut-être voulu. Je n'apprécie pas vraiment. Il doit me manquer une connexion synaptique ou deux là. Désolé. Bonne continuation. |
placebo
10/7/2010
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bon, je plussoie largement les commentateurs précédents, je n'ai pas compris ce texte ou ses finalités
pour la partie SF, j'ai cru voir dans la machine une sorte d'incubateur de clones ? ''une lumière pâle du couloir'' : un vaisseau ? une colonie d'humains, mais à quelle époque ? Je vois peut être une analogie avec notre comportement régressif (sous un certain angle) actuel, dans l'obésité et la non-pensée (là encore, ce n'est qu'un des points de vue possibles sur l'humanité) comme les autres, la catégorie m'interroge. le style est parfois lourd, des phrases bizarres ''paradoxalement assez sombre'', malgré quelques recherches quelques virgules mal placées aussi je ne note pas, le commentaire que j'ai fait est incomplet ; j'attends d'autres personnes, voire de l'auteur, des pistes d'éclaircissement. placebo |
brabant
10/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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La machine, à l'origine exosquelette, s'est en quelque sorte approprié la pensée, englobée dans un corps visqueux déliquescent, pour devenir le sage, évolution suprème de l'homme devenu substance "conceptuante", au bout de la perte de son corps.
Ceci semble l'accomplissement d'une métamorphose. L'homme enfin débarrassé des contingences corporelles passe d'un endosquelette handicapant simple support qui lui est propre à un exosquelette dont le problème est peut-être qu'il lui échappe pour lui voler sa pensée. Ceci me semble une métaphore de notre monde où l'homme a nourri les ordinateurs de sa pensée (données et structure) et où c'est désormais l'ordinateur qui pense pour lui. Les décisions d'achats de valeurs par les grands organismes bancaires sur les marchés mondiaux ne sont-elles pas déjà prises par de gigantesques programmes informatiques qui font corps avec les ordinateurs machines, et non plus par les hackers ? Pauvre Jérôme Kerviel qui appartient déjà au passé ! Reste à savoir si l'on veut conserver des boucs-émissaires ou non, car je ne vois pas une machine recevoir une volée de bois ou une pleine brassée de tomates vermeilles, fût-elle pensante ! Ainsi va le monde... Texte surprenant quoique ardu voire abscons, j'ai déjà croisé des larves (dans les récits de science fiction, rassurez-vous !) mais à un tel point de déconstruction, jamais ! A ce niveau, vous faites preuve d'originalité. Vivent donc le pas vierge, le mou et le pas beau Demain ! L'écriture est correcte, mise au service d'un récit déstabilisant. |
Anonyme
10/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je lis rarement de nouvelles (ici) mais j'ai plutôt bien apprécié celle-ci.
Visuellement, le décors planté m'a renvoyé à "2001, l'odyssée de l'espace" avec un soupçon de "La montagne sacrée" (enfin certains passages) de Jodorowski. Je trouve intéressant (dans l'imaginaire de l'auteur) cette évocation de l'ultime évolution de l'homme. Une larve supérieurement intelligente ou quelque chose approchant. C'est ce dont "devrait" aboutir l'espèce humaine (ici). Plus de muscles, de membres et d'extrémités qui deviendraient sans doute inutiles à l'avenir et dans un monde où dès lors, les machines auraient remplacé et assisté définitivement l'homme. Seul l'esprit (et/ou l'intelligence) serait hyper développé contrairement au corps physique qui régresserait finalement. Je trouve cette approche intéressante et apprécie le contraste. Voire même un certain cynisme quelque part. L' écriture est belle, quoique parfois pompeuse à cause de termes un peu trop sophistiqués à mon goût. J'ai fortement apprécié le terme d "uniformes compliqués" (allez savoir pourquoi?) mais ce n'est qu'un détail. Sinon, je ne pourrais pas dire que c'est une "histoire" originale et inédite. On a tous lu ou vu (en film) des scénarios approchant mais j'ai sérieusement apprécié le fait qu'il n'y ait ni début, ni fin. Juste une tranche de futur (possible ?) et puis une fois encore cette approche. Cela étant, je n'ai jamais compris ce que représentait la "Machine", un processus ? une sorte de matrice ? J'ai pensé à quelque chose comme ça. |
doianM
11/7/2010
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Titre intéressant car paradoxal. Il s'agirait, d'après une lecture simple, d'involution plutôt.
Je ne suppose pas que Goldmiund n'a aucun message à transmettre. Au contraire, son texte laisse, du moins chez moi, un paquet d'hypothèses. Difficile à se décider entre, au rez-de-chaussée, sur une vision simplement pessimiste qui voit dans l'être humain un candidat à la décomposition programmée, aux étages supérieures des idées plus élaborées. La Machine reste un mystère, elle-même susceptible d'hypothèses. Pour être bref l'ensemble donne l'impression de faire partie d'un ouvrage dont on ne nous présente qu'un fragment. Difficile de noter car l'écriture est bonne, l'intention est là, c'est le résultat qui manque: la communication. |
alpy
12/7/2010
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Goldmund,
La première question que je me suis posé est pourquoi en réflexions/dissertations. A mon avis c'est un mauvais choix. Au niveau de l'écriture, on remarque toujours la maitrise du langage même qu'on trouve quelques phrases longues et certaines tournures sont un peu recherchées : "note achromatique", "l'effervescente absence", "uniformes compliqués",... Au niveau du contenu, je pense ne pas avoir été meilleur que d'autres à comprendre le message : - De quoi s'agît tout ça ? Qui sont ces personnes ? Pourquoi ils sont là ? Où sont-ils ? - C'est quoi cette machine ? Quel est le rapport avec le sage ? En bref, quel est l'objet de cette nouvelle ? Je ne l'ai pas trouvé. Il me semble plus le début d'un roman de SF qu'une nouvelle toute complète. Une petite description introductrice où rien ne se passe. Je vois un peu de Jonathan le Goéland derrière mais il faut vraiment aller le chercher très très au fond. Cette nouvelle ne m'a pas du tout convaincu. Bon continuation, Alpy |
widjet
13/7/2010
a aimé ce texte
Pas
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Avec "La planche", l'auteur avait crée un petit évènement, mélange d'univers lynchien et kafkaien qui personnellement m'avait enchanté et envoûté. Ce bel essai, j'attendais sa transformation. Disons que c'est partie remise car ce nouvel opus est pour le moins décevant.
L'écriture déjà est nettement moins convaincante, même assez poussive ("uniformes compliqués"?). Le rythme, lui, est indolent et passablement ennuyeux. Pour preuve, le texte est court, mais il m'a semblé interminable. Contrairement au texte précédent, le lecteur (et son imagination) n'est pas stimulé et surtout les évènements (la machine, les gens qui gravitent autour du héros, le prêtre...) ne semblent lier par aucun fil (même infime). Tout est trop décorellé et surtout terriblement confus (s'agit -il d'une évolution à l'envers ? Redevenir à l'état sinon primaire, différent, la perte de notre humanité, de ce qui nous caractérise aujourdhui comme le laisse sous entendre le "désapprendre à parler" ?). Conséquence, rapidement, la curiosité laisse place à un ennui profond. Cette fois-ci la séance d'hypnose a raté. Et puis, contrairement à la catégorie, cela ne m'a pas fait réfléchir. Désolé. W |
silene
14/7/2010
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je ne sais pas trop, ou plutôt si ; j'ai un certain rejet de tout ce qui utilise les ressorts flapis de la SF et tutti quanti, ça m'ennuie à mourir, sauf harponnage dès la première ligne, qui n'a, pour mon goût, pas lieu là. Ni aux suivantes, d'ailleurs.
Je n'ai suivi que distraitement l'intrigue, et me suis ennuyé plus qu'autre chose, désolé. |
Yaya
25/7/2010
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En quoi le fait de devenir une larve pourrait-être un signe d'évolution, doublé d'une situation enviable? La "désincarnation" est souvent associée à une libération. Ici, nous sommes dans une réincarnation... Bref, je n'ai pas compris. Il m'a manqué des indices pour répondre à cette question. Mais ma curiosité est piquée.
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