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Pat
24/7/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai vraiment bien aimé cette histoire qui laisse à la fin un petit goût de mystère. C'est très bien écrit : une bonne capacité de description (on accompagne le narrateur tout au long de son "voyage" ), un intérêt qu'on partage, du coup, pour ce peuple qui ne laisse pas indifférent, les sentiments du narrateur qui varient et ne laissent pas enfermer... Un beau voyage !
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Cyberalx
27/7/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup !
L'ambiance générale, le ton, les descriptions. Un commentaire constructif ? Ok... Euh... Non. Une critique ? Pas de problème, attends voir... Euh... Martine, c'est nul comme prénom ! Non, j'ai rien à dire si ce n'est : "encore" :) |
teeth
2/8/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Je mets un dix-huit parce que sur le peu de texte que j'ai eu l'occasion de lire ici, celui-ci est le premier a m'avoir transporté de cette façon. Sinon, cherchons la petite bête.
"De plus, plusieurs gestes de la main me font comprendre que ce Cro-Magnon doit être son mari ou son père qui lui ordonne, oserais-je dire « poliment » ? de rentrer dans la caravane." Petit problème de ponctuation, ça irait mieux comme ça : "De plus, plusieurs gestes de la main me font comprendre que ce Cro-Magnon doit être son mari ou son père qui lui ordonne – oserais-je dire « poliment » ? – de rentrer dans la caravane." Mais c'est juste histoire d'ennuyer mon monde. |
Togna
8/9/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai eu envie de connaître la suite dès la fin de chaque petit chapitre de cette nouvelle dont le coté fantastique n'est révélé qu'au dernier paragraphe.
C'est agréable à lire malgré quelques phrases un peu longues (mais bien construites). Le coté "voyeur" est bien sauvé par la musique et les yeux d'Anja. Bravo et merco Guanaco ! |
Anonyme
4/10/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Tu sais très bien décrire "l'instant magique", celui de la rencontre, même si elle n'est effective que pour l'homme dans l'histoire (j'aime aussi tout l'aspect "reportage" sur les gitans)... Mais tu as raison, on peut aussi avoir le sentiment puissant, ennivrant, bouleversant de faire "la" rencontre de notre vie, dans une sorte de grande solitude, sans réciprocité... On sent bien la fébrilité du personnage, et en même temps son extrême fragilité et sensibilité... et déjà, on "craque" pour lui...
ah mais oui, dommage ! c'est juste un personnage de roman !! On est un peu comme lui sur ce site, on rêve notre vie aussi...Oniris c'est ça ? (j'aime pas noter mais là j'y vais...) |
Anonyme
7/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai bien aimé la façon dont l'auteur introduit son sujet basé sur un contraste Quelque chose d'ennuyeux qui débouche sur quelque chose de formidable. Le tout est amené d'une façon agréable en douceur au milieu d'un paysage bien décrit. Presque à la fin la maladresse du héros fait réagir le lecteur que je suis. On croit que le récit va se terminer sur cette chute. Eh bien on se trompe! Il y a encore un lapin à sortir dans le chapeau de l'auteur. Le récit est bien construit.Guanaco t'es bon!
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Anonyme
7/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Supertbe!
Une maîtrise quasi totale de la syntaxe donc du texte. Le court et le long se marient et rien n'est laissé au hasard de la création désordonnée. Décidément, ici je rencontre beaucoup de styles différents mais tout aussi prégnants les uns que les autres. L'histoire? Ah oui..l'histoire. Certes l'imagination est passée par le sas de l'inspiration. Mais excuse-moi Guanaco, qu'importe l'histoire puisque sous ta plume tout devient magique. |
Bidis
10/12/2007
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Un très, très bon moment de lecture avec des passages forts et une chute imprévisible
Mais : J’avais lu ce texte en son temps et ce sont sans doute les louanges sans réserve des autres commentateurs qui m’avaient fait renoncer à donner mon avis. Car si l’écriture est plus que correcte et par moment fort belle, les images bien dessinées et l’intrigue captivante depuis le début, des réserves, pour ma part, j’en avais quelques unes. Tout d’abord, au sujet de l’écriture elle-même. - « une ébauche de chemin peu à peu recouvert par les mauvaises herbes et la départementale 6 » : j’ai dû ici relire trois fois. Le chemin recouvert par la départementale ??? Non, bien sûr. Pour éviter cette confusion, il faudrait des virgules ou, mieux, deux petits tirets : une ébauche de chemin – peu à peu … herbes - et la départementale. Cela n’a l’air de rien, les virgules, et pourtant il peut arriver qu’elles soient essentielles à la compréhension. - « qui ne devait plus accueillir … par la loi » : accueillir demande un complément – ici je suppose que ce doit être « qui ne devait plus accueillir personne » Des métaphores m’ont un peu gênée par leur caractère excessif : - « que ce petit coin de grâce au visage crasseux parvient à éviter en brandissant le seul parapluie, » : visage..., parapluie... - « Le claquement de la porte de la caravane entraîne mon atterrissage, le contact avec le sol est un peu rude, je reviens à la vie et à ma montre aussi » : l’«atterrissage », le « contact avec le sol » me paraissent trop suggérer une chute préalable. Or il s’agit plutôt d’un sursaut. Et j'ai relevé une petite invraisemblance : - A la distance où il est (quelques dizaines de mètres au moins, sinon il ne serait pas caché aux yeux des Roms), dans le « fauteuil » de sa voiture - j’aurais préféré « siège » d’ailleurs, parce que « fauteuil » fait penser un quart de seconde que l’on s’est trompé dans la lecture et que l’on se trouve dans la maison du personnage -, le héros peut-il voir la couleur des yeux de la jeune femme ? J’espère que l’auteur ne m’en voudra pas de cette critique pointue qui n’est que mon avis. |
jensairien
21/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une belle nouvelle mais la fin qui verse dans le fantastique m’a laissé sur ma fin. Une chute un peu facile quand même.
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widjet
29/5/2008
a aimé ce texte
Bien
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Peut-être pas le meilleur de son auteur mais bigrement agréable quand même. Au dela de l'hommage aux gens du voyages (Guanaco semble avoir un faible pour les "marginaux", sans connotation péjorative aucune), c'est une bien jolie reverie, une parenthèse (dés)enchantée qu'il nous offre là, parenthèse musicale qui (nous) évade son héros des réalités mortifères et des contraintes de la vie professionnelle. Le mystère reste entier. Tant mieux même si ce n'est pas cela qui m'a le plus séduit mais ça laisse quelque chose de cotoneux dans l'esprit....
Bien sûr la forme est impeccable, discrète mais précise. C'est toujours aussi bien décrits sans fioritures ni prétention. Il prend son temps, Guanaco, il pose, il laisse respirer son lecteur qui peut aussi fermer les yeux pour se laisser posséder par le charme d'Anja et ses yeux d'émeraude, par le son enchanteur et mélancolique ou festif de l'instrument. J'y vois aussi une déclaration d'amour aux femmes, courageuses, travailleuses de l'ombre dont Anja fait en revanche figure de douce rebelle. Du bon travail quoi. Merci msieur ! Widjet PS : Cette nouvelle m'a un peu fait penser à VOYAGE EN ALEXANDRIE d'un autre auteur brillant, drôle, sympathique, ingénieux, doué et ...d'une modestie à toute épreuve....!!!! Mdrrrrrrrr....!!! |
placebo
9/4/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte extrêmement plaisant, tant au niveau de l'ambiance que des personnages. Il y a de la dureté chez les roms décrits, mais c'est celle de la vie et on sent un fond propre à la fête, plus léger.
J'ai trouvé la partie fantastique un peu plus facile, "ce n'était qu'un rêve" + "pas tout à fait". J'ai eu un peu peur pour eux (et pour le narrateur), que les gendarmes doivent les expulser… Sur le style, rien à redire. Je n'ai pas vraiment été touché, ni par Anja, ni par l'histoire, mais je dois reconnaître qu'elle est belle. placebo |