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plumette
6/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quelle histoire!
je viens de passer un très bon moment en compagnie de cet homme dont on ne sait pas grand chose si ce n'est qu'il est un genre de dévot particulier, du type obsessionnel,qui peut assez rapidement verser dans le TOC ( vérification des tringles du tapis de l'escalier) et semble-t-il s'en délivrer aussi avec une certaine facilité ( cf la fin qui soulage! mais qui laisse augurer un déplacement vers une autre manie) peu importe le réalisme, voilà une histoire d'étrangeté dans laquelle j'a été emportée avec une certaine jubilation. tous ces ingrédients de la piété ( bénitier, crucifix, prière à genoux ) m'ont ramené à des pratiques du passé qui me sont assez familières! l'écriture est aupoil! elle dit ce qu'elle a dire, le texte coule et le lecteur est tenu en haleine. Le sourire m'est venu à plusieurs reprises à partir du moment où Jésus a une fracture multiple: le récit de l'accident, les tentatives de réparations et le bras qui pendule, quel tableau! j'espère que vous vous êtes bien amusé(e) en écrivant ce texte que je trouve très réussi. Plumette |
vendularge
8/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Que voilà une belle description de la séance chez un psy d'un patient atteint de névrose obsessionnelle, enfin c'est ce que je dirais si j'étais psy, ce pourrait être particulièrement drôle si ce type de caractéristique n'était pas une véritable souffrance pour celui qui en a parfaitement conscience. Ici il est beaucoup plus compulsif que dévot....où, je m'égare complètement...comme quoi, nous interprétons que ce que nous pensons reconnaître.
Très intéressant à parcourir Merci vendularge |
Anonyme
8/1/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai adoré ma lecture. L'écriture d'abord, vous faites ce que vous voulez, la maitrise et totale, et votre aisance est jouissive, tout coule, vous tenez votre lecteur, je n'ai pas levé les yeux du texte une seconde.
J'ai cru comprendre que c'était une séance psy et tout ce qui peut se sous entendre derrière, mais ça peut-être aussi une confidence à un ami... Le texte est jubilatoire, vous avez un humour fou, il jaillit de votre âme à la pointe de votre stylo, j'ai passé un délicieux moment à vous lire, merci, et bonne continuation. |
macaron
30/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très bien racontées ces petites manies qui nous font rire, mais cachent aussi leur part de souffrance. L'absurde est omniprésent avec cette écriture concise, précise, alerte. Un agréable moment à vous lire.
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PierrickBatello
30/1/2017
a aimé ce texte
Un peu
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La chute m'a quelque peu déçu. Je m'attendais à quelque chose de truculent. Faute de grammaire : "Le père et son fils étaiENt assis face à face." J'aurais joué la carte de la confession au prêtre pour pimenter tout cela. Bien écrit, fluide, sans prétention. L'introduction est un peu floue, dialogues non percutants. L'idée est bonne, mais il me manque un zeste de folie pour rester cloué ;-)
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Marite
31/1/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Une petite tranche de vie et un désordre obsessionnel bien racontés mais je n'ai pas été en mesure de savoir avec certitude quelles personnes étaient désignées par "il" et "lui" dans les phrases d'introduction. Est-ce que ce sont les pensées du père ou celles du fils ? Sont-elles exprimées à haute voix ? Car il s'agit bien d'un "face à face" entre le père et son fils ...
Au début il s'agit d'objets trouvés dans le grenier d'une maison familiale et installés dans une pièce de cette même maison : " Redescendu dans sa chambre, il ..." mais il semble n'y avoir aucun contact avec les membres de la famille, seulement une certaine défiance. Peut-être s'agit-il après tout d'autres locataires ... Tout cela m'a donc un peu embrouillée. Les manies obsessionnelles sont bien narrées et il est facile de se représenter les scènes. La conclusion " Quel soulagement, quelle éclaircie d’être écouté ! Il lui en était reconnaissant. " ne m'éclaire pas davantage sur le "il" et le "lui". C'est ce qui m'a manqué pour apprécier pleinement cette nouvelle. |
Anonyme
31/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Magnifique écriture; personnage emberlificoté dans ses pensées, presque des tocs, très authentique; la longueur de l'histoire est juste correcte pour ne pas ennuyer; la chute tout en douceur montrant bien que le mal du personnage est profond et sournois; du grand art que cette nouvelle. Bravo à vous pour ce crucifié qui n'est pas celui que nous pourrions croire au premier abord. C'est une crucifixion de lui-même, organisée par sa maladive dévotion, son désir de vivre sans péché, un enfer perpétuel, permanent, en sourdine, dans lequel vous nous avez invité là. Juste le dialogue du début que je trouve un rien obscur. Est-ce le personnage qui se parle à lui-même en cherchant à tout avouer à son père ? A vous relire, cher auteur. Encore bravo. |
MissNeko
31/1/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
À la première lecture, j ai trouvé le début un peu flou et confus. Qui parlait et de quoi ? Le dialogue à la 3 eme personne déroute un peu La confession est intéressante et j aime le parallèle entre la religion et les TOC. Un brin d humour se glisse dans le récit. On comprend à la fin que meme si la confession faite à son père n est qu un soulagement de courte durée : il vérifie déjà que le pull n est pas abîmé ! A vous relire |
papipoete
31/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Hareng,
Tout comme votre pseudo qui donne la pèche, votre texte n'en finit pas de voler au-dessus de l'Ho ! Ho, ce crucifix qu'en cachette du seigneur il fit reluire comme en sacristie, alors qu'en lieu impur il rouillait dans ce grenier . Fatalitas, la croix vint à choir et briser un bras du crucifié ! Aller chercher de la colle en bas, vérifier que les tringles du tapis dans l'escalier n'ont pas bougé ! Notre père qui êtes au grenier, oh non au ciel, pardonnez-nous ... Demain, je veillerai à ne pas taper la porte, Jésus est juste au-dessus le bras ballant et j'irai voir mon père pour lui dire mes tourments après avoir ... vérifié les tringles dans l'escalier . NB on est fatigué au bout de votre nouvelle ; ah ces escaliers ! Et le " Notre Père " bafouillé me rappelle celui de Michel dans les " Jeux Interdits " alors que puni, il devait en réciter une vingtaine ! J'ai passé un bon moment et me souvins aussi des tringles du tapis rouge aux escaliers de la colonie voila 60 ans ! |
Alcirion
31/1/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte écrit au scalpel : j'ai surtout retenu la minutie de l'écriture, sobre, précise, descriptive, qui colle parfaitement au thème maniaque.
Un très bon moment de lecture. |
Cox
1/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très rigolo !
Les maniaques m'agacent. Je ne les comprends pas trop, et puis ils sont pénibles quand ils ont une tendance au prosélytisme de leurs névroses... Mais le votre m'a bien fait rire. Il est touchant ce brave garçon trop angoissé, qui voudrait que le tissu de l'univers ne fût jamais froissé de son passage. L'écriture aussi m'a plu, et porte très bien le texte. Le tout est fluide, d'un humour léger. Et la fin où le personnage retombe déjà dans ses penchants m'a tout à la fois attristé et attendri. Un texte aussi court que plaisant au final ! |
klint
1/2/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
J'aime l'écriture de ce texte, fluide, limpide et alerte. J'aime aussi l'idée et l'histoire racontée avec beaucoup d'humour. Le n'ai pas aimé le dialogue du début auquel de prime abord, je n'ai rien compris, les conditionnels n'arrangeant rien, les deux personnes s'exprimant de la meme manière Le rituel de la prière m'a amusée et je trouve le passage de l'escalier très réussi avec une écriture qui colle à l'idée. le "Grâce à Dieu, Jésus avait une fracture multiple" est bien vu La fin est un peu en queue de poisson je ne vois pas pourquoi l'obsessionnel serait guéri sur une seule "séance " cela me parait juste plaqué de façon à pouvoir placer la pirouette de la chute. |
micherade
3/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Etrange texte. C'est sans doute cette étrangeté qui fait en partie son charme. Un début flou: qui parle à qui? Nous saurons à la fin que c'est le fils qui se confie à son père. A propos de quoi ? De ses manies, de ses obsessions. Un univers non déterminé: pas d'indication précise sur les personnages, sur les lieux et le temps. Vous avez donc centré le récit sur les faits et gestes du personnage.
On pourrait peut-être vous reprocher de ne pas être allé plus loin dans ce que vous appelez à la fin " les tourments" du fils, car on ne ressent pas vraiment au cours du texte ses angoisses. Un texte original, lisse. Un peu lisse? |
Francis
3/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai apprécié la qualité de l'écriture et la construction travaillée du texte. J'ai été séduit par le personnage victime de ses tocs liés à la superstition, à la religion mais aussi à tout ce qui concerne l'ordre, la symétrie. Enfant, je ne supportais pas ces croix, ces calvaires sur lesquels un Christ hâve était couvert de rouille, de mousses... J'aurais voulu faire sa toilette ! Malgré la "confession" qui semble l'apaiser, il vérifie les coudes de son chandail. La thérapie sera longue ! Bon moment de lecture. Merci.
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Donaldo75
18/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour hareng,
Cette histoire m'a épuisé ! Comment peut-on être maniaque à ce point ? Telle est la question que je me pose à la fin de ma lecture. Et raconter une telle pathologie, avec autant de précision, c'est un tour de force. J'ai beaucoup aimé le côté absurde de la situation, les répétitions dans les actes, vus différemment, le rapport avec le monde extérieur, et la chute. Bravo et merci pour la lecture, cette nouvelle est écrite d'une plume affutée et précise. Donaldo |
matcauth
20/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
j'ai aimé ce texte un peu sans catégorie, à la fois loufoque ou difficile, si on ce place sous une perspective sérieuse ou alors sous une perspective de psychologue. Enfin peut-être. Pour moi, c'est plutôt la tendance humoristique qui l'a emporté. Mais après tout, c'était peut-être votre but, que chacun puisse vraiment y voir ce qu'il voulait. Par exemple, le fait de faire se confondre obsession et religion est plutôt bien trouvé, cela permet de réfléchir sur cette manière qu'on a toujours de tout confondre quand il s'agit d'interpréter les comportements des autres. LA dévotion est ici mélangée à l'obsession et, en connaissant mal le héros, on pourrait dire de lui qu'il est fou de religion, alors qu'il ne l'est pas. Mais on peut aussi rester au premier degré, sourire des malheurs qui surviennent au héros, au fait qu'il ne risque pas de s'en sortir de sitôt. Car l'écriture est agréable, fluide, et on suit l'ensemble sans difficulté. à vous relire. |
Muscadet
20/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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D'autant plus pénible à lire, dans le bon sens du terme, et le sens voulu ici, lorsqu'on est soi-même maniaque. La description est précise et le ton employé, crédible.
J'ai apprécié l'articulation souple du retour au dialogue évoqué, qui scelle l'homogénéité de l'ensemble. |
David
31/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hareng,
C'est assez court mais pas mal fait du tout. J'aime bien notamment quand il dit à propos de la prière qu'il doit absolument s'imprégner des mots, "réfléchir", et c'est justement de l'amour qui le perturbe. Il ne se sent pas seul, il ne se rend pas compte ou ça n'est pas dit, bref, la situation simple dévoile le paradoxe du personnage : il s'est coupé du monde et ne peut plus se "réfléchir" au quotidien. Le début aussi est très bien, j'imagine que les articles pourrait avoir été mis au rebut, sans être simplement jetés, pour laisser un indice afin de vaincre une plaie héréditaire. Et la fin est d'autant plus subtile que ça ne fonctionne que partiellement, sans qu'on sache le fin mot de l'histoire, la vie du personnage je veux dire, et c'est très bien comme ça. |