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placebo
5/9/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Une genèse intéressante.
Sur la forme, je pense que "le l'univers" est un "de" :) et j'aurais mis la négation à "on avait jamais vu ça". Un poil trop virgulé à mon goût mais ça relève du sentiment personnel. Le texte est bien écrit mais dense et manque un peu de rythme : j'ai trouvé ma lecture plutôt longue pour ces 7000 caractères. L'idée d'un monde entièrement végétal n'est pas mauvaise, celle de l'uniformité non plus, mais ça pêche un peu dans le raisonnement global je trouve :) la vie est apparue dans les mers en premier par exemple ; tout tient en place mais c'est bancal. Et ils sont passés où les insectes ? ^^ " Alors que partout ailleurs, le modèle de l'arbre unique était de mise, ici les branches huileuses et tombantes côtoyaient" j'ai l'impression que par "arbre unique", vous imaginez plutôt une sorte de stéréotype d'arbre de dessin d'enfant. La formulation me semblait simplement bizarre. Pour revenir sur le fond, des idées. Il y a du fond scientifique, un peu, de l'absurde, un peu, de l'humour, un peu, mais le mélange ne me plait pas. Pas qu'il soit impossible, mais pas avec ce résultat. Je pense qu'il y a possibilité de remanier un peu. Bonne continuation, placebo |
Anonyme
10/9/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Darwin comme démiurge, tiens donc ! C'est amusant, parce que le texte tout entier, avec son ambiance spiritualiste, me paraît aller à l'encontre de la théorie matérialiste de Darwin... moi qui n'aime guère les discordances d'ordinaire, je dois dire que je trouve celle-ci plutôt mignonne, apportant une fraîcheur ironique à tout le texte. Très belle phrase de fin, à mon avis.
Ma lecture a été agréable, aussi, grâce au style qui m'a paru naturel, parcouru tout entier d'une pointe d'allégresse plaisante. "Sous l'aisselle droite de la Terre poussait une forêt" : j'adore ! |
AntoineJ
13/9/2012
a aimé ce texte
Un peu
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style trop lourd pour être poetique, trop complexe pour être agréable
images intessantes (aisselle / darwin / la terre est elle vivante ?) mais pas assez travailéles (arbres uniformes et silence / fougères voyageuses, je n'arrive pas y adhérer ...) la chute est assez évidente et on espère autre chose de plus étonnant mais qui ne vient pas cf. l'avant dernier paragraphe : on sent des idées, du fun, du potentiel mais cela ne tilt pas .. quelle armée ? quelle maladie ? multitude ne s'oppose pas à uniformité mais à unicité ... Ceci étant, pas mal de passages agréables, des idées ... |
matcauth
24/9/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hecko,
j'ai bien aimé l'idée de ce texte, même si la cosmologie du début n'apporte pas grand chose au texte, même si elle est là en guise d'introduction. On parle de Darwin comme de ces hommes qui ont changé le regard qu'on portait sur le monde. De là à en faire un créateur... pourquoi pas, à condition d'y laisser un message, que cette allégorie ait une signification. Là je ne comprend pas, pourquoi ce concept, pourquoi les hommes attendent-ils le déferlement ? Je pense qu'il y a un mélange de fantasy et de choses réalistes et je ne comprend pas où vous voulez en venir. De même, je ne comprend pas le mal de la multitude, ici. Ce concept en englobe des tas, il ouvre des tas de portes. Ici, il est juste mentionné, sans qu'on sache vraiment pourquoi. en clair, ce texte ouvre des voies mais ne nous donne pas la carte pour savoir où elles nous mènent. C'est dommage. Car pour le reste, et je retiendrai ça en premier, c'est bien écrit et des idées propres à la fantasy sont ici impeccablement évoquées, tandis que la scène est bien campée, donnant latitude à un terrain de jeu tout à fait intéressant. à suivre... |
brabant
24/9/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Hecko,
Beaucoup de poésie me suis-je extasié en entamant ce texte, jusqu'au moment de l'aisselle ! Qu'est-ce qu'une tumeur que l'on détecte alors qu'elle vient de naître, un cancer qui sommeille, que l'on isole en pensant le contrôler. Est-il possible de cohabiter avec le chancre sans que celui-ci ne veuille par un triste matin prendre toute la place en désorganisant tout, en déconstruisant l'équilibre, en cannibalisant et explosant le milieu où il prolifère. Décidément cette aisselle était un trou du cul, le trou du cul du monde. Après la peinture des dinosaures Picasso était à naître pour placer une oreille et puis une griffe au creux d'une aisselle qu'allait faire exploser Pollock en gerbes d'hémoglobine. Banzaï ! Guernica a explosé sur Hiroshima ! Et aujourd'hui où en est-on ? Il fallait tuer Darwin. Bientôt les Incas seront gavés de sang ! Je transmets cette chronique à Xipe Totec qui vient de sévir sur ARTE... Et je m'inscris chez les Verts. Cécile ? |
Palimpseste
24/9/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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mouais...
Au premier paragraphe, je me suis dis "bon... on part dans un délire fantastico-SF. Accrochons les ceintures!" (j'ai un genre que je n'aime pas forcément beaucoup)... Puis au deuxième paragraphe, j'ai compris qu'on partait dans un texte plus ou moins cosmologique, avec personnification de la Terre... Pourquoi pas? L'idée m'a plu... Patatras.... Le mot "aisselle" m'a coupé mes effets... la panne... le fiasco... Aucun Viagra de c La Pléïade ne peut rattraper ça... Le mythe (sourire à Stony) qui se rattache aux aisselles, c'est le Klug, le gâteau de "Le Père Noël est une ordure". Et je n'arrive pas à le dépasser. Sinon, certaines formules me semble un peu lourdingues comme le "vêtue d'un lourd pelage arboricole (...)" ou "la vague bestiale (...)". Quelques petits soucis d'imappropriation comme l'énumération 'herbe, pistils, pétales et champignons" où la nature des éléments n'est pas uniforme. Pour finir sur un point plus positif, une mention super-spéciale la chute et cette magnifique phrase: "(...) l'impatience de la cellule eucaryote rêvant de conquérir le monde."... Excellent ! |
Ninjavert
1/10/2012
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas été convaincu...
On navigue entre la "fable parabolique" et le "pseudo scientifique", un mélange un peu bizarre qui n'a pas fonctionné me concernant. Le fond, déjà, discutable. On a l'impression que beaucoup de choses se mélangent. L'évolution n'a pas eu besoin de Darwin pour exister... je trouve que la personnaliser sous cette forme est maladroit. J'aurai préféré que le concept en soit amené sans être nommé, au travers d'un procédé un peu plus subtil. Même chose pour cette notion de multitude, qui s'oppose au reste du monde. Comme l'a dit Placebo, fi des océans, dont le rôle a pourtant été déterminant dans l'apparition de la vie... Bref, j'ai eu du mal à saisir quel était le but de ce texte. Simple fable sympathique ? Vulgarisation scientifique romancée ? C'est trop approximatif pour avoir une réelle crédibilité scientifique, et pas assez fantastique pour m'avoir fait rêver. Sur la forme, l'écriture est sympathique, mais pas mal de choses m'ont dérangé. Je n'ai pas non plus trouvé la métaphore de l'aisselle très heureuse. Ni la personnification de la Terre très utile. Eu du mal également avec les fougères mobiles, les végétaux qui parlent... bref. Pourtant j'aime bien ce procédé (les fourmis, par exemple, de Werber), mais là je n'ai pas accroché. Tout le premier paragraphe m'a semblé un peu trop "lyrique". Ça s'atténue un peu par la suite, mais j'ai trouvé le début trop chargé (adjectifs, etc.) L'apparition des hommes à la fin, m'a également parue inutile : à ce stade, on a compris où on va. (Dernier détail, je n'ai pas trop pigé le rapport avec la science-fiction) Désolé, l'idée est sympathique, l'écriture plutôt agréable, mais la sauce n'a pas prise. Une prochaine fois peut-être ? Merci en tout cas :) |
Zalbac
18/1/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pour moi, il y a erreur de... classification ! Ce texte relève de la poésie en prose. A lire certains commentaires, B 612, l'astéroïde du Petit Prince aurait pu être critiqué pour "manque de réalisme" à ce compte.
Il faudrait peut-être revoir ce texte sous l'angle de la poésie et changer deux, trois mots pour arriver à "Très bien" Bravo Hecko ! J'en redemande ! |
Anonyme
25/2/2013
a aimé ce texte
Bien
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Jolie mise en scène d'un songe, perspective intéressante ignorant le formalisme scientifique.
Au diable le formalisme et les écarts de rhétorique. |