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Pascal31
19/11/2013
a aimé ce texte
Pas ↑
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Le problème, avec ce récit, c'est que j'ai compris dès les premières lignes (lorsqu'elle se cogne aux portes, en fait) qu'il s'agissait d'un insecte, et la suite m'a confirmé rapidement que le narrateur était une mouche.
Du coup, avec la chute éventée, j'ai poursuivi ma lecture sans réel plaisir. Un texte écrit de manière assez neutre (attention, quelques fautes par-ci, par là) et - à mon sens - trop maladroitement pour berner le lecteur. Au final, je ne suis pas vraiment emballé. |
LeopoldPartisan
22/11/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pas folle la guèpe. De fait pas trop fine bouche mais sacrément futée. Voilà une petite nouvelle plaisante. Pas de prise de tête, mais bien observé. Au printemps suivant elle sera énorme et aura sans doute aissainé.
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Anonyme
22/11/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pas mal ! J'ai cru tout le long du texte à une chatte, et je trouvais que c'était un peu facile comme astuce, mais une mouche c'est plus drôle...
J'ai trouvé l'ensemble bien vu, astucieux, un bon mouvement pour ce texte. La description de l'obèse, de sa demeure et de sa vie m'a paru efficace, dégoûtante comme il se doit. |
Anonyme
25/11/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour
Un bémol pour cette suite continue de phrases courtes qui ne laissent pas grande part au style, c'est seulement raconté et si c'est bien fait c'est un peu pauvre au niveau des images. J'aime bien la fin, je m'attendais à autre chose - je ne veux rien dévoiler - et ça m'a agréablement surpris et fait sourire. Bonne continuation |
Robot
25/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'au apprécié l'humour (noir) de cet éloge au sordide.
Cette légèreté de présentation malgré le sujet. Des phrases courtes sans circonvolutions inutiles. Des traits pleins d'esprits: "Il me trouva assise sur son palier avec son journal." "La crasse s’était transformée en champignonnière." "j’aimais sa peau et lui voulait la mienne" Et cette chute horrible, préméditée. Un texte cynique... mais réjouissant. |
senglar
11/12/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour HectorLudo,
Je me suis dit assez vite que l'auteur ne m'aurait pas et que l'intruse n'était pas une personne mais un animal, mais en fin de compte J'AI ETE EU au tournant car j'avais opté pour une chatte... Beuh non ! Une mouche ! Nous avons tous notre mouche dans la vie qui vient nous mettre hors de nous quand nous mangeons... quand nous regardons la télé... quand nous lisons... quand nous... quand nous... ! C'est bien simple j'ai toujours une tapette à portée de main. Bon celui-là je ne comprends pas comment il n'est pas envahi par une myriade de mouches étant donné l'état de son appartement et les amoncellements de nourriture périmée, les restes moisissant et l'eau stagnante de l'évier aux équilibres d'emballages et de vaisselle ! Mais le récit était plaisant je vous passe cette faiblesse :) Senglar-Brabant |
Anonyme
14/12/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ecriture efficace et rapide à l'image de la mouche futée !
Dommage que son identité se devine à mi chemin, j'ai pensé à une chienne au tout début, mais à partir du gout de la sueur odorante, j'ai compris. Et à partir de là, la lecture perd de son sel, je trouve ...Mais cela se lit bien. La vie de la mouche (et des ses goûts) est assez bien décrite ainsi que l'énervement que rencontre les humains face à elle. Bonne continuation |
Anonyme
15/12/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir, Hectorludo,
J'ai pensé à un tas de créatures (femme,chatte, chienne, mouche, extraterrestre et même souris), et quand la petite consoeur s'est pointée, j'ai su ce qu'il allait lui advenir, mais en fait, à trop chercher à savoir quelle était la nature de ce personnage-narrateur, tout du long, je n'ai pas vraiment décortiqué ce texte. Et puis à la fin, comme j'ai sué sang et eau, pff !! pour me retrouver devant une chute éventée bien avant l'heure, je me suis dit: à quoi bon relire tout ça. Déjà que le gros m'avait plus qu'écoeuré au passage. Je sais, cher hectorludo, il est dur de trouver des sujets qui font tilt ( mouche, j'ai pas osé), qui scotchent leur monde sur tous les murs. Je vis ça à chaque nouvelle. Alors pour le souvenir de ce texte que j'ai eu plaisir à lire tout de même, je mettrais un bien. PS: Brabant a raison, comme bien souvent d'ailleurs, la puanteur de cet appart avec cet obèse trônant au beau milieu de sa décharge aurait dû mettre la puce (oui, oui, j'avais pensé à celle-là aussi) à l'oreille de bien d'autres mouches. |
Piterne
16/12/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Lire uniquement pour deviner qui parle est plus un jeu qu'une réelle lecture.
Comme beaucoup, j'ai longtemps pensé à une chatte "assise sur son palier", jusqu'à "lécher(...) cette sueur au parfum" qui laisse penser que les chats sont attirés par les mauvaises odeurs ! Puis "Elle avait perdu sa famille et s’était retrouvée soudain seule au monde." et là, je me suis dit qu'une famille de chats, on les noie, pourquoi en avoir épargné une ??? Alors je me suis laissé bercer et t'ai laissé révéler la vérité. Et j'ai souri de la découverte. Et rire dans cette rubrique, c'est déjà bien suffisant. Petit doute : à "les bizarreries de la nature sont sans limite", j'aurais écrit "limites" au pluriel ; car s'il y en avait eu, on dirait plutôt les limites de la bizarrerie qu'une seule limite. |
fergas
24/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hectorludo,
J’ai tout de suite pensé à une blatte, le bon vieux cafard de nos familles. D’ailleurs, certaines espèces volent, et ça expliquait qu’elle se cogne aux portes. J’aurai du songer à une mouche avec le coup de la sueur, mais j’étais trop pressé de voir la chute de l’histoire. Elle ne m’a pas déçu. Je pense connaître quelques situations dans la vie réelle qui sont tout à fait similaires au niveau environnement délabré (pizza+coca+vaisselle sale= dépotoir). La justesse de la description m’apparaît clairement. Attention cependant à l’abus de virgules, ça finit par couper le souffle : … jamais(,) seulement(,) songé … … la télévision(,) devant laquelle il passait ses journées(,) était récente. Un mot oublié aussi : …s’était installé (et n’avait) jamais fait le moindre ménage depuis. |
Bidis
24/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le début me semble un peu confus. Je trouve que l’agencement des paragraphes n’est pas bien mis en place. On parle de l’intérieur de l’appartement avant d’y avoir pénétré. J’aurais préféré voir cette description suivre sa présentation, c'est-à-dire « le désastre ambiant », lequel dans le texte vient loin derrière.
Aussi, on parle du personnage en cache-sexe avant de l’avoir fait se déshabiller, de sorte qu’on le verrait presque arriver en string sur le palier… « l’erreur reconnue » : pas très clair. Ici, je relis et je me demande s’il ne s’agit pas d’un chat. Auquel cas, j’ai envie d’abandonner ma lecture. J’ai horreur de l’anthropomorphisme qui attribue aux animaux des sentiments humains. La chute me surprend mais ma déception reste entière. Il y avait du bon dans cette nouvelle, le personnage de l’obèse est bien mis en place et l’écriture n’ennuie jamais. Mais le procédé mis en place a été trop exploité. |
carbona
4/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai bien aimé ce récit, d'abord cru à une réelle personne sans abri puis ai pensé à un chien quand l'obèse lui jette de la nourriture, alors je me disais "zut, j'ai trouvé, ça ne me plaît plu" et puis non une mouche ! Chouette, vous avez réussi à me surprendre et j'aime ça ! On visualise bien le personnage de l'obèse, l'ambiance dans son appartement, les insectes qui lui tournent autour, c'est bien décrit. Merci pour la lecture. |