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Pascal31
12/1/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai plutôt bien aimé la première partie du texte, jusqu'à "Hypothèse non élucidée à ce jour" : une histoire intrigante sur ces fermiers qui meurent de la même façon que leurs oies (strangulation)... Malheureusement, la suite, même si le style n'est pas en cause puisque ça reste assez agréable à lire, est beaucoup moins intéressante. On s'éparpille dans des explications historico-mystiques qui m'ont passablement ennuyé et j'ai trouvé la conclusion abracadabrante.
Au final, un récit qui démarrait bien mais qui m'a perdu en cours de route. Adieu, veau, vache, cochon, couvée ! |
hersen
17/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Nouvelle vraiment très bien écrite.
L'idée d'un plaidoyer contre le foie gras sous forme d'enquête policière est bien trouvée car c'est souvent le problème de ces textes "anti" : un peu lourd. Pas ici. Bien sûr, on en a l'idée qu'on veut. Mais l'auteur nous donne son point de vue sans agressivité, sans pointer de son doigt accusateur les lecteurs que nous sommes. Et va même jusqu'à nous inventer une reine des oies. Et rappeler les "services rendus" par les oies du Capitole. Ce qui fait décoller le texte. Quelques petits points concernant la ferme mais ils n'entrent pas ici dans le propos de l'auteur. Merci pour cette lecture. |
carbona
18/1/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Bien aimé le début mais ensuite la nouvelle prend une tournure qui ne m'emballe pas. L'explication historique / fantastique ne m'emballe pas. Désolée. En revanche côté écriture, ça roule ! J'ai beaucoup aimé "Les recherches menées ne soulevèrent aucun jupon adultère" Merci, Carbona |
Vincendix
19/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une légende plutôt qu’une fable qui aurait eu sa place parmi celles qui se racontaient à la veillée, dans les campagnes.
Les histoires de pendus étaient souvent au programme et il est vrai que certains faits réels se rapportant aux suicides par pendaison étaient mystérieux. La ferme des pendus, le bois, l’arbre, chaque village avait un tel lieu maudit. Que le fils suive l’exemple de son père, c’était fréquent, d’ailleurs cela arrive encore. Un texte très bien construit qui mêle la réalité à la fiction dans un dosage bien équilibré. C’est surtout un réquisitoire contre le gavage des oies et des canards. Sans être un défenseur acharné de la cause animale, je trouve aussi cette pratique « inhumaine » et je ne suis pas amateur de foie gras. |
Anonyme
1/2/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je me suis totalement perdue dans votre récit et je suis arrivée à la fin sans avoir compris pourquoi les fermiers s'étaient pendus. Il ya des incohérences : Les oies qui vont se faire tordre le cou en pleine confiance. Quand on sait la douleur que procure la période de gavage...on a dû mal à vous croire. :-( Le policier que vous qualifiez d"'Hercule Poirot" et ensuite vous le nommez ainsi...est-ce un qualificatif ou son vrai nom ? Parce-que moi ce qualificatif je le trouve plutôt positif. Et quand je lis qu'il conclue à une "depression fulgurante", j'en suis restée perplexe. Je doute que cela existe . Ensuiste, tout le passage explicatif, sur l'histoire des oies du Périgord, je l'ai trouvé fastidieux. Je crois que je n'ai pas compris grand chose à cette histoire. J'en suis désolée. |
vendularge
1/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
En premier lieu, bravo pour la construction efficace et cette écriture fluide et agréable. Je ne suis pas une fervente défenderesse de la cause des oies, je considère sans doute que votre talent de conteur pourrait servir la cause des hommes bien malmenés, dont beaucoup n'ont pas le cou tordu mais crient famine...je sais que l'un n'exclut pas plus qu' il n' excuse l'autre. J'ai l'occasion de voir les batteries de volailles et je peux vous dire que ragarder 70 000 poulets, identiques, nourris de façon mécanique, ramassés dès leur poids atteint (quelques semaines) vous ôte toute envie d'en consommer. Les cochons sont aussi bien mal logés....C'est comme ça qu''on peut payer moins de 4 euros le kilo...hélas. L'idée de la fable est très intéressante et bien menée. Merci |
Alice
3/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le résumé m'a presque fait passer mon chemin, mais j'ai très bien fait de continuer malgré tout. L'écriture est très belle, sophistiquée sans exagération, et bien aérée.
Le seul passage plus décevant côté stylistique est selon moi composé des premier et deuxième paragraphes, expliquant comment Jean et Fernande ont repris le flambeau. Les tournures sont plus approximatives, l'ambiance moins bien campée que dans le reste du texte parcouru de jolies expressions, comme le "jupon adultère" ou le "troupeau duveteux". "mère nourricière bienfaitrice" : peut-être que ça ne tient qu'à la longueur des deux adjectifs, mais l'un d'eux me semble de trop. La description du choc de Fernande pourrait, au regard du reste de l'écriture, être mieux étoffée, l'utilisation notamment du mot "machinalement" me semble peu appropriée ; quant à la quantité de virgules et d'actions exprimées dans ce passage, elle gagnerait à être un peu réduite, ce qui ne gâcherait pas l'effet d'accumulation mais allégerait le tout. C'est un peu comme si vous aviez voulu condenser l'action en une phrase sans parvenir à le faire avec autant de naturel que lorsque vous racontez l'histoire comme un regard en arrière plutôt qu'immédiat. Le phénomène se répète lorsqu'on devrait idéalement tomber dans l'action davantage que dans la description de l'action : "Sidérés, comme hypnotisés, frappés de cécité, ils se statufièrent" : cela fait vraiment beaucoup de qualificatifs pour exprimer l'important, soit le fait que la surprise les immobilise. Un passage dans le style direct est cependant attendrissant : "C'est Indiana Jones" La force de ce texte est davantage dans les moments narrés de façon plus générale : les recherches menées par l'Hercule Poirot sont très intéressantes à lire, de même que les hypothèses. C'est d'autant plus admirable que dans le cas de la plupart des auteurs, ces passages auraient sans doute été les plus ennuyeux. La fin, également, puisqu'on ne parle pas d'un moment précis mais bien d'une occasion qui se répète de pleine Lune en pleine Lune, est également mieux ficelée, avec l'image de la plume qui étouffe Fernande. Immédiatement après, cependant, les "pensées" du jars exposent un peu trop clairement une partie de la thèse du texte (et du résumé) pour conserver le naturel et la subtilité maintenus dans le texte. Cela gâche un peu l'esprit du texte lors même que ça devrait le justifier. En somme, en ce qui me concerne, un style très bien maîtrisé, un bon moment de lecture, quelques allègements ici et là et peut-être une attention particulière à la façon de sortir de la description pour entrer davantage de plain pied dans l'action, et le texte serait encore meilleur. |
Anonyme
8/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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bjr, c est la seule nouvelle que j ai bien apprécié jusque là . vous savez tenir le lecteur en haleine à la manière d'1 conteur medieval. Comme certains j aurais preferé rester dans le realisme plutôt que cette chute esoterique, mais en meme temps il me parait difficile de trouver autre chose que cette fin là. Bravo
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Anonyme
23/3/2019
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Modéré : commentaire hors-charte. (Se référer au point 6 de la charte).
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