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Neojamin
6/3/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Je reste sur ma faim, tout ça m'a l'air d'être un bon début pour quelque chose, mais il n'y a pas d'histoires, où alors, je ne la vois pas, je ne la ressens pas. Deux amoureux, un peu de poésie, une maison peinte en guise de dénouement ?
Mais une nouvelle sans intrigue n'est plus vraiment une nouvelle, ou alors, on compense avec la force d'un texte, le quotidien d'une vie, l'expression des sentiments. Ici, tout passe très vite, on effleure la réalité. D'ailleurs, le dialogue ne fonctionne pas vraiment pour moi, ça manque de contexte. Est-il simplet ? Qui est-il d'ailleurs ? Je ne crois pas qu'il existe vraiment. Juste une excuse pour écrire. Il en faut plus pour me séduire. |
Catelena
20/3/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Une mini historiette, un poil déjantée. Mais ce n'est pas désagréable de se laisser emporter dans les méandres décousus (mais pas tant que ça) de la vie entre un passionné de béton armé et un autre féru de poésie.
Le mariage de la douceur et de l'état brut, en quelque sorte, où chaque protagoniste apporte à l'autre, enfin l'un plus que l'autre, tout de même, son brin de personnalité pour agrémenter, et faire mentir par la même occasion, des habitudes qui délavent le quotidien si l'on y prend garde. Ma lecture terminée, je n'arrive pas à me défaire de la mise en bouche surréaliste qui domine ce petit texte, titillée par l'idée que s'il en dit si peu c'est parce qu'il manque réellement de profondeur, et en même temps, qu'il y aurait matière sous le pied pour nous emmener dans une ''vraie'' nouvelle. A relire (ou pas) pour revoir mes impressions. Cat, dubitativement conquise |
Anthyme
20/3/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Ahhhh …
L’évasion d’un rire … Que c’est libérateur ! Merci. __________________ Pour me conformer à la règle. * La forme : Tout ce qu’il me faut ; c’est vif, léger – rien à voir avec des lasagnes de maçonnerie coffrées plâtre de Paris – ça passe tout seul, donc forcément digeste. L’idée de traiter cette idylle sous l’aspect d’un dialogue entre une rose et un parpaing me libère personnellement de la contrainte de « l’image mentale » sans laquelle ce que je lis me reste d'habitude incompréhensible. (C’est probablement ce qui porte le sentiment de liberté éprouvé.) Une critique positive n’apporte pas grand-chose, mais je n’y peux rien : vue de chez moi, votre rédaction est irréprochable. * Le fond : Ahhh l’amour !.... Chez moi, l’amour s’articule autour du pivot « malgré » – j’apprécie untel pour ses qualités et aime unetelle malgré ses défauts – ce qui confère à votre Amour-béton le grand-A d’une victoire remportée sur la suspicion ; ce fruit pourri du non-conformisme. Ah si, j’ai mon image mentale : les doigts fins semblables aux ailes d’un papillon de poésie qui s’en va rêver sur les cals rongés de chaux d’un poseur de briques. J’ai adoré l’illustration de la « mé-ta-pho-re » de cet antagonisme. « Je sais pas écrire, mais t’aimes les livres » … « et puis aussi, t’es quand même un peu chiante. Mais ça me dérange pas. » Parfait. Tout est dit ! |
jeanphi
20/3/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
C'est typiquement le style de nouvelles qui se lit dans le désordre. J'ai fait les en-têtes, le premier paragraphe, le dialogue final, et enfin les paragraphes entre chaque en-têtes. Cela intéressera peut-être l'auteur de connaître ce genre de réaction à la lecture. J'étais pour ma part assez proche de trouver l'écriture seulement convenable, non par faiblesse de la rédaction, mais pour sa légèreté et son langage parlé. Pour le sujet, difficile de me prononcer clairement... Tant de frivolité... Je crois que ma seconde impression dans les jours qui viennent me laissera une nouvelle couleur sur ce gazouilli d'amoureux folâtres. Je vais donc laisser mûrir un peu, et ne manquerai pas de revenir vers vous si jamais un commentaire éclos en ma pensée. |
hersen
22/3/2024
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Raoul
9/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
J'aime beaucoup cet histoire d'amour un brin loufoque et de messages en deux langues, celle des mots et celle des couleurs, qui finissent par se rencontrer. Le style est vivant et vif, incluant le Texto sans pour autant être relâché et cliché. Les prénoms et leur fantaisie tire la nouvelle version la fable, l'histoire pour la jeunesse... Le choix de ne faire aucune description des lieux fait que l'on se croirait dans une illustration, une aquarelle où le non fini est aussi l'environnement. Pleins de trouvailles et de fraîcheur, j'ai bien aimé cette lecture. |
Donaldo75
4/5/2024
trouve l'écriture
convenable
et
n'aime pas
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Du décalage dans l’écriture, des idées. En plus, c’est court. Le truc dans la lecture, c’est quand même d’accrocher et là, désolé mais non de chez non je n’arrive pas à prendre le texte par quelque bout que ce soit, même en mettant du James Brown à fond au risque de provoquer la colère de mes voisins. Malgré le côté décalé, la prise de risques dans l’écriture, je trouve que ce texte reste collé à la forme au détriment de ce qu’il pourrait raconter. Bref, en termes de densité il y a comme un trou dans la raquette. Du coup, j’ai l’impression qu’il faut lire entre les lignes ; même si je ne suis pas un ayatollah des textes livrés avec le manuel de lecture, je ne suis pas non plus fan de la cryptologie.
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Robot
4/5/2024
trouve l'écriture
convenable
et
n'aime pas
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Un échange, un dialogue entre amoureux. mais quoi !
Il y a pour mon goût un manque de consistance. De l'Arlequin avec encore moins de profondeur, si j'ose dire. Des minauderies, des "miauleries", des momeries d'adolescents. Cela vaut-il d'en faire une nouvelle ? |
solinga
1/7/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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J'ai beaucoup aimé le néologisme du seinpaulia. Forme à pétales inconnue des fleuristes ?
Ah, l'ingrat lyrisme...on aimerait se laisser embarquer à votre suite, dans les murmures de petits noms affectueux, même par bribes, par petits canots, mais manque en nous le vécu de votre deux à deux, les vagues, la houle. Manque pour moi, mais c'est idiosyncrasique. Pour l'impression d'ensemble, je suis assez de l'avis de Robot. |