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Neojamin
9/5/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'hésite...difficile de me prononcer sur cette nouvelle. C'est enfantin, une intrigue un peu molle mais qui fonctionne, des personnages caricaturaux mais attachant...une histoire assez originale qui a piqué ma curiosité. Un style simple mais efficace, vu le ton de l'histoire, pas la peine d'en faire plus. Dans l'ensemble, donc, c'est plutôt bien, la chute est encore plus molle que l'intrigue et l'humour sur les casquettes un peu gros...mais on s'y fait. Pour améliorer la nouvelle, je pense que ça ne ferait pas de mal de sortir des clichés en essayant de brosser des portraits un peu moins superficiels, juste histoire de donner de la profondeur au texte et d'en faire ressortir l'humour. Un bon moment en tout cas. J'ai quand même grincé sur le père qui a des diplomes mystérieux...on en sait pas plus, et ce soudain revirement dans le comportement du fils...la réaction de Monsieur Lebreuil...On est à la limite du conte de fée... Niveau crédibilité, il ne faut pas chercher trop loin ! Principale critique : le manque de profondeur, on survole votre nouvelle. Merci! |
Shepard
3/6/2015
a aimé ce texte
Bien
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Salut Hersen !
J'avais lu cette nouvelle en EL sans avoir le temps de commenter, donc je passe les rattrapages. Cette histoire c'est un peu un conte de noël sans la neige. Tous les personnages sont finalement des 'bonnes gens', même le professeur est très beau joueur. J'ai trouvé un peu "étrange" qu'à la fin, les deux amis s'appellent par leur nom de famille plutôt que par leur prénom "– Salut Lebreuil, tu as failli être en retard ! – Ne t'inquiète pas, Oliveira, je ne raterais ça pour rien au monde." La blague finale est un peu tirée par les cheveux... C'est un texte léger, ni trop court ni trop long, qui fait passer un petit moment de lecture sans rester dans les annales non plus. En toute honnêteté, j'ai du mal à critiquer/juger ce texte tant il est plein de bons sentiments ! Un peu plus de rebondissements, une histoire moins linéaire, auraient peut-être permis une chute moins attendue. A votre prochaine écriture ! |
Anonyme
3/6/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hersen,
votre nouvelle m'a fait rire ! C'est bon enfant et espiègle. Le style est sobre et bien maitrisé, et sert bien votre sujet je trouve. Après le "tout est bien qui finit bien", eh bien, c'est bien qu'il y ait des histoires qui finissent comme cela. A vous relire. C. |
Automnale
3/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un jeune homme - le narrateur - qui ne manque pas d'occupations ! Entre ses rêves récurrents, ses activités scolaires, son travail nocturne de plombier, il a de quoi faire ! Son diplômé de père est un original fort sympathique. Le professeur, quant à lui, veille au grain. Et mademoiselle Leroy, la secrétaire - mais pas seulement ! -, n'est jamais bien loin...
J'ai fort bien imaginé la sonnerie stridente annonçant la fin du cours. Mais "Du cours de quoi, déjà ?" Car l'élève Oliveira dort... J'ai fort bien imaginé, aussi, la copie s'agitant, sous le nez, en petits gestes saccadés... J'ai vu la casquette à pompon... J'ai ri à l'évocation des "counissances" ! "Les gens sont complètement paniqués à l'idée d'un tuyau qui pète ou qui se bouche, alors quand on arrive, on est reçus comme le Messie". C'est vrai ! "En général, les clients paient sans broncher une fois qu'ils ont compris que ce qui coûte le plus cher dans la prestation, ce n'est pas la réparation en elle-même, mais la rapidité d'intervention". C'est tellement vrai ! Et cela me fait beaucoup penser à mon plombier ! J'ai bien aimé cette histoire, qui semble vécue. L'écriture, sans fioriture, est très agréable. J'ai l'impression que l'auteur écrit comme elle parle... Ou parle comme elle écrit ! En fait, ce qui me plaît le plus c'est que, même s'il est question de casquette, rien n'est tiré par les cheveux... Tout sonne juste. C'est avec plaisir, Hersen, que je lirai un autre de vos textes. |
Anonyme
3/6/2015
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai préféré de loin le style d'écriture à l'histoire qui elle... heu... m'a un peu ennuyé. Je me suis véritablement forcé pour finir tant j'ai trouvé l'intrigue naïve et longuette. Ce n'est qu'une question de goût, il me faut plus de passion, de sentiments forts et violents pour que j'accroche.
Par contre je reconnais à l'écriture beaucoup de qualité. C'est propre, fluide, rien ne dérange la lecture. Les passages oniriques sont particulièrement bien rédigés. En vérité j'aimerais vous lire sur quelque chose de plus percutant. |
bigornette
3/6/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour hersen,
Il y a de bons moments dans votre Double casquette. Les rêves sont croustillants, l'entourloupe du père est marrante, et la morale est sympathique... et par morale, je veux parler de l'élève qui se remet à travailler. Par contre je tique à propos de deux choses : A sa façon de parler, le professeur enseignait déjà pendant la troisième République. Je trouve dommage que l'élève ne pense pas comme il parle, c'est-à-dire comme un ado, certes intelligent, mais un peu endormi. Exemple : "Je me dépêchai de rassembler mes affaires et de déguerpir, je n'avais en effet aucune intention de subir plus avant les sarcasmes de mon prof." Se dépêcher, déguerpir, subir, sarcasmes sont d'un registre un peu décalé par rapport à prof, qui lui est très bien trouvé. En fait, l'élève raconte son histoire comme son professeur la raconterait. Est-ce qu'il ne serait pas plus cohérent d'écrire, soit un récit à la troisième personne, soit la même histoire, mais telle que la raconterait un adolescent ? Deuxièmement, pour moi, la nouvelle se termine à "J'ai finalement décidé de poursuivre mes études et je réussis plutôt bien. J'aime beaucoup cette nouvelle vie, ça m'ouvre des horizons nouveaux." J'ai lu la suite, mais j'étais dans les choux. Je n'ai pas compris pourquoi l'histoire continuait. Au paragraphe que je viens de citer, la morale était dite, vous aviez ouvert le récit, fin. Est-ce parce que vous aviez cette bonne idée sur les casquettes que vous n'avez pu finir là où vous auriez dû finir ? Parfois, malheureusement, il faut trancher. Vous me direz ce que vous en pensez. Sinon, c'est bien écrit, du coup ça se lit bien, malgré le nombre de caractères qui peut faire peur à des internautes frileux, dont je ne suis pas, croyez-le. En tout cas, bien joué. Merci. |
Alice
5/6/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le début m'a fait bien peur. Un peu trop d'adjectifs et d'adverbes à mon goût, puis le cliché de l'élève inattentif. Mais la suite m'a semblé moins naïve, et le style s'est placé et s'est montré plus mûr que j'en avais l'impression.
Une histoire bien simplette, mais qui fait grandement sourire. Pas si originale, mais il fallait quand même y penser, quoi. Certaines phrases ressortent un peu mal : "Je rêve ou ils se sont regardés dans les yeux, un peu longtemps ?", notamment, fait très "histoire pour enfant écrite par un adulte désireux et obligé par son éditeur de laisser des indices clairs et nets" (les questions intérieures lancées dans le vide en narration à la première personne sont toujours retorses). La dernière phrase est selon moi également de cet acabit. Bref, je dirais de laisser un peu plus deviner, d'autant plus que le style semble largement plus développé que ces sentiers battus et rebattus. Le rêve est intéressant, mais je me demande vaguement à quoi il sert. J'étais convaincue que la dame se montrerait à un moment ou à un autre, qu'elle aurait un quelconque effet sur l'histoire. Et la narration m'y plaît moins, le passage au "il" me semble peu naturel. Vos personnages sont fort attachants. Le père a d'office reçu toute ma tendresse, il m'a rappelé mon grand-père, un manuel ayant sans doute moins fait d'études, mais tout aussi brillant et ouvert que j'ai aimé dans vos mots. Merci pour ce bon moment, Alice |
Pepito
5/6/2015
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Bonjour Hersen,
Forme : correcte, pour chipoter "un pied aux ongles laqués de bleu irisé" curieux, je voyais plutôt les ongles au bout des doigts ;=) "étaient aussi laqués de bleu" peut-être "laqué du même bleu" "lorsqu'il sursauta, entendant soudain une sonnerie" peut-être "une sonnerie le fit sursauter" Le narrateur rêve à la 3° personne mais s’éveille à la 1° personne ?! "donnaient à ce verdâtre d'infinies possibilités de nuances." peut-être "une infinité de nuances" ... Et bien sûr, la catégorie "humour" à fuir comme la peste afin d'éviter un éventuel "bide" Fond : oups ! là par contre... Pour la "fillasse graisseuse" utilisée avant que le ruban téflon ne la détrône, faudrait pas confondre avec un emplâtre (sur jambe de bois)... Il a pas oublié de couper l'eau et de démonter la vanne le plombier, par hasard ?! "mon père... a bac+5." - en quoi ? comme si +5 signifiait systématiquement chômage... - fils d'ouvrier > sacrifice des grands-parents > que le père a oublié pour son propre fils ?! hmmm L'opposition manuel/intellectuel est ici simplifié à outrance, avec une situation manquant (du moins je l'espère) de réalité. Merci pour la lecture et bonne continuation. Pepito |
Anonyme
6/6/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hersen,
J’ai bien aimé votre histoire, comme j’aime la vie avec ses douces bouffées d’optimisme. Cela fait du bien – dans ce monde de brutes et d’imbéciles - de croire quelques instants que les contes de fées existent. Malgré certaines maladresses, déjà relevées par les autres commentateurs, votre nouvelle est bourrée de bons moments - j’aime beaucoup la complicité qui règne entre le père et le fils, ainsi que l’histoire d’amitié avec le prof, et celle qui se profile à l’horizon avec Juliette Leroy. Bourrée de bons moments, donc, mais aussi pétrie de bons sentiments. Votre écriture est fluide et les personnages, en particulier celui du père, sont attachants, même s’il manque, à mon goût, un peu d’épaisseur qui mettrait en exergue l’humour de ces « bons vivants » (une critique que je ne devrais pas faire puisque je suis incapable de vous conseiller la bonne manière pour y parvenir). L’introduction me donne l’impression, quant à elle, d’avoir été rajoutée après coup. Pour moi elle n’est pas dans le même style, elle ne cadre pas avec l’atmosphère de l’histoire. Et puis je m’attendais à ce que le personnage du rêve de l’adolescent entre en lice à un moment où à un autre, et rien, nada… il est juste là comme un cheveu sur la soupe même si je comprends le fil d’Ariane que vous avez voulu tisser pour étoffer la scène de son sommeil en classe. Je vous avoue avoir même pensé - à cause de ce genre de rêve typiquement masculin^^ - que vous étiez écrivain « homme ». Sans doute parce que vos interventions, ici où là, ont quelque chose de familier, comme si je vous avais déjà croisé(e) en ces lieux (?)… En attendant d’en apprendre (peut-être) davantage, je vous remercie pour le partage. J’aurai plaisir à vous relire. Cat |
CharlesH
1/7/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Lecture sympathique et l'histoire file sans effort, avec un sourire constant accroché aux lèvres aboutissant à un rire retentissant lorsque le père dit benoîtement : Les counissances, les counissances !
L'idée de remettre en question la scolarité, confrontée au métier de plombier est bonne: "Il faut voir ce qu'on se fait comme frics " et on se demande pourquoi il y a tant de décrochage. Le premier message est clair : les professeurs ont plus besoin de plombiers que l'inverse. Une fois ce message passé, la situation s'inverse et la morale normale revient s'installer, un choix de "happy ending" qui se tient, mais qui décale avec le début. J'ai bien aimé votre nouvelle pour l'atmosphère générale, un père attachant et un récit sans complication. |
carbona
1/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je n'accroche pas aux petits paragraphes en italique, les rêves de Ricardo.
Je tique sur certaines constructions de phrases que je dois relire : - "– Euh… oui… non… euh, oui, oui monsieur, je sais... fut tout ce que je pus bredouiller, rien d'autre ne me venant à l'esprit." - "Je suppose que l'examen, qui aura lieu le mois prochain, et croyez bien que je ne cherche pas à vous indisposer en vous le rappelant, ne vous tracasse pas plus que ça ?" - "Dans la classe, des rires que le brouhaha du départ des élèves ne réussit pas à couvrir fusèrent." - "Ou alors il aurait fallu que je bouscule le professeur, ou plutôt lui écrase un peu la bedaine, ce que, même sans être encore bien réveillé, je n'osai faire." - "En début d'année, vous étiez plutôt attentif, votre travail, sans être extraordinaire, méritait qu'on s'y arrête. -"c'est juste que j'avais une vie dans laquelle l'école n'avait que difficilement sa place." - "Les mouvements qu'il faisait pour la triturer attiraient l'attention sur ladite casquette, immanquablement." - "mon père est arrivé en France à l'âge de huit ans et a bac+5". La description de la casquette est un peu longue, le début très bien, très imagé mais la suite peu parlante < " Par un sens du détail inopportun sur ce genre d'objet, cette visière était fixée à la casquette par deux assez gros rivets de part et d'autre du corps même du couvre-chef. Cependant, indubitablement, le clou de cette création, je n'ose pas dire « la cerise sur le gâteau », se concrétisait par un pompon. Mais un pompon effiloché et irrégulièrement aplati, d'un rouge intense qui avait su résister aux années, malheureusement." Je me suis bien laissée emportée par cette histoire jusqu'au basculement que je trouve un peu rapide : l'amitié entre le père et le prof arrive très vite; A partir de là, j'ai moins aimé le côté "réflexion" de l'opposition manuel/intellectuel que je trouve abordée d'une manière qui manque de subtilité et la référence aux casquettes qui est "gentillette" mais qui ne me séduit pas. La fin de votre récit est trop "happy-end" à mon goût, un petit peu à l'image d'un récit éducatif pour jeune public. Merci pour cette lecture. |
Bidis
17/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai trouvé cette nouvelle bien écrite, agréable à lire avec un début intrigant (j'ai regretté qu'il se soit s'agit d'un rêve). Les personnages sont bien campés, l'histoire est claire et amusante avec du fond quand même. Mais la chute, à mon avis, est un peu plate, inutile en fait. Il aurait fallu trouver autre chose ou s'abstenir.
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GLOEL
19/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Belle ecriture avec un style vivant et enlevé comme un bon moment de jeunesse.
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singuriel
22/4/2016
a aimé ce texte
Bien
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L'histoire est jolie. Le déroulement est bien pensé. Un beau conte qui illustre de manière plaisante la connivence entre père et fils.
Le fantasme d'adolescent - qui sert de pont temporel - est une belle trouvaille mais il aurait mérité d'être totalement inclus dans l'histoire; peut-être en lien avec Juliette ? Je m'attendais à ce que le thème manuel/intellectuel soit développé et ne serve pas seulement de support à l'amitié naissante entre le père et Lebreuil. Mai j'ai passé un bon moment dans cette ambiance d'inconscience légère. |
matcauth
19/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
j'ai beaucoup aimé le fait que ce sujet là soit évoqué. C'est rare, quand même. Moi qui disait que tout avait été écrit, eh bien non ! Rien que pour ça, déjà, le texte est de qualité. Mais par contre, on me prend trop par la main pour me dire que l'enfant doit étudier à l'école. Je préfèrerais que cela se fasse sans en passer par ces conversations dans la camionnette entre le père et le fils. Les choses sont trop dites, dans ce texte. Tout est trop expliqué. Le moment ou le professeur découvre la supercherie aurait dû être plus intense, plus... tragique, même si le mot est fort. ça aurait donné du relief. Je ne sais pas, le père qui panique et s'enfuie, quelque chose comme ça. La fin est trop longue également. Comme s'il fallait une chute à tout prix (ça, c'est un problème que je rencontre tout le temps quand j'écris !!). Voilà, un texte quand même sympa, marrant. Mais trop explicite, à cause de ces conversations entre le père et le fils. |
hersen
19/11/2016
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Anonyme
7/10/2018
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Bonjour Hersen,
Venant de lire votre critique sur la tringle à rideaux et votre rejet de ce sous-genre d'humour, je me suis demandé quel était le votre. Comme d'une part, je n'ai pas la possibilité de répondre directement à votre commentaire, et que, d'autre part, j'aime rendre à ceux qui ont eu la délicatesse de laisser un message, me voilà sur votre texte d'humour, faisant d'un pierre deux coup. Et croyez-moi, j'ai lu le texte sans esprit revanchard. Le corps lisse admirable et nu du début vaut bien mes petites fesses à la fin, non ? Counissances / Grossa vaut bien conhecimento et gorda. Cela facilite la lecture des non lusophones, et mon brésilianisme (nous aurions pu dire régionalisme) a moins de connotations xénophobes. La demande du prof pour réparer sa plomberie relance un texte qui s'essouffle vite, mais c'est relativement mince pour m'avoir convaincu dans le genre humour. Bien sûr, il ne suffit pas de dire que la situation fasse rire les personnages pour que le lecteur esquisse un sourire, et oui, maintenant, je comprends votre commentaire, il est clair que notre humour est aux antipodes. Je n'ai pas ri, ni même souri une seule fois tout au long de cette lecture. C'est à se demander si l'humour existe, mais comme je suis un optimiste convaincu, je préfère penser que l'humour est si vaste que le plus imperméable des hommes peut quelquefois y être confronté. Peut-être nous retrouverons-nous dans d'autres genres littéraires (des sous-genres pour moi, je ne suis pas très intelligent). |
cherbiacuespe
27/8/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ma première présentation de texte sur Oniris fut un poème sur l'opposition manuel/intellectuel. Un carnage ! J'en garde toujours un mauvais souvenir. Mon style un peu lourd n'etait pas un problème, mais le fond avait été mal perçu, alors qu'il n'était question que d'expliquer que l'un ne va pas sans l'autre et qu'aucun ne peut prétendre être premier. Tout ça pour dire que je suis assez sensible à ta nouvelle.
Une petite histoire légère, que j'ai lu en toute décontraction, comme il le faut généralement pour la catégorie humour. Sans surprise, c'est écrit avec précision et sans fautes. Jolie construction avec ces deux passages sur les rêves de Ricardo. C'est d'ailleurs bien joué parce que je m'attendais à découvrir mademoiselle Leroy sous ce dos sensuel. Je trouve fond est amusant car dans la vie il arrive que l'on se lie d'amitié entre personne de "statut" très éloigné. C'est ce qui me plaisait quand je jouait aux échecs, en club. Une large palette était représentée, et tout ce petit monde s'entendait plutôt bien. C'est un bon texte pour un thème souvent piégeux, et décevant pour ceux qui s'y cassent les dents. |