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vendularge
7/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Alors, j'aime beaucoup cette histoire qui m'a fait sourire du début à la fin, c'est trop mignon..;) Un petit bémol pour: "On est tous différents et nos grands-pères ne sont pas là pour qu'on fasse la même chose qu'eux." qui dans le contexte linguistique est plutôt une phrase mature. Rafraîchissant, bien que les scènes de sexe soient un peu osées....;)) Un grand merci, bravo |
Anonyme
22/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Surprenant de placer la Saint-Valentin dans une cour d'école. Du coup l'aspect "gore" est limité, un nez en sang et c'est tout. Pas d'angoisse ni de tension dramatique. C'est mon seul reproche, sinon l'histoire est bien rédigée dans le ton d'enfants de cet âge. Ça sonne plutôt juste.
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Anonyme
12/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une bien belle histoire que vous nous contez là. Une Saint-Valentin dans une cour d'école, c'est peu banal. Je trouve les scènes et les propos très justes, sans cliché. Le tout est joliment écrit, vraiment, et j'ai passé un bon moment, alors merci.
Wall-E |
macaron
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il fallait y penser! Une très bonne idée cette St-Valentin chez nos mioches. C'est drôle, tendre, on tremble un peu... si si, et puis le style est impeccable et donne à l'histoire toute sa fraîcheur. Beaucoup aimé.
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Bidis
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’avais déjà observé qu’Hersen a souvent un humour délicieux. Dans ce texte-ci, elle nous régale.
Mention spéciale pour « … qu'elle me sourie. Un peu comme fait papa quand le voisin vient se plaindre du bruit de la tondeuse. » : je trouve que c’est assez difficile à trouver, de bonnes comparaisons. Donc, ici, j’applaudis. Et du "gore" en cour de récré, il fallait y penser. |
Pepito
22/2/2016
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Bonjour Hersen,
Forme : difficile d'imiter le langage d'enfant, j'ai déjà fait le test. "je trouve que c'est très très personnel comme sujet" "règlement de l'école" "nos grands-pères ne sont pas là pour qu'on fasse la même chose qu'eux" ... Donc, quelques écarts, mais vous vous en sortez bien. Fond : mimi comme tout "Mais pas longtemps passeque j'ai eu une idée : je lui ai demandé si elle voulait bien me montrer sa culotte." ha, l'amour, l'amour... toujours l'amour ! ;=) "passeque c'était pas important. L'important, c'était qu'elle me donne la main." ha, l'amour, l'amour... toujours l'amour ! ;=( Bon, j'ai serré les fesses avec l’ancêtre "bûcheron", je voyais vraiment arriver du gôôôre... ouf ! Juste une bagarre d'enfant. Curieux que la Maman ait été contente de "l'histoire", cela reste quand même une bagarre. Merci pour la lecture. Pepito |
Robot
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà une histoire genre bédé TITEUF (et ce n'est pas péjoratif dans mon esprit.) Description d'un monde enfantin avec ses questions et ses visions. Je n'ai pas perdu une miette de ce récit durant lequel je n'ai pas trouvé de longueurs comme il sied à une nouvelle.
C'est une lecture sympa. |
alvinabec
22/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hersen,
Les réflexions enfantines, c'est sans doute un des exercices littéraires les plus ardus et je dois dire que vous passez le 'test' haut la main. Au fil de ma lecture j'ai relevé des trouvailles intéressantes comme 'comprendre la St Valentin...comme les divisions à deux chiffres' espiègle; 'le sourire comme celui de Papa', mordant;'on avait tous chaud même si ça caillait', coulant; 'Jeanjean...tellement gros', image nature... La chute est juste très drôle. Une interrogation: 'la maîtresse...pense à autre chose', j'ai cru à une pierre d'attente...et puis rien ne vient de ce côté-là. Un bémol: 'je me dis un petit peu que le paradis...' m'a semblé au-dessus du langage employé par Antoine. A vous lire... |
Anonyme
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour hersen
Trop mignon. Et tendre. J'en ai repris trois fois rien que pour le plaisir. Il y a des moments où je me suis dit que certaines formulations ne pouvaient pas avoir été pensées ou écrites par un p'tit gars du CE2 mais depuis que j'ai lu "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" je m'interdis ce genre de remarques. Ces petits personnages sont vraiment trop chou et vous avez du talent puisque deux ou trois traits de crayon vous ont suffit à bien dégager les personnalités. C'est joli, personne n'a été oublié, tout le monde à sa silhouette. Yapuka les remplir de couleur. Enchanté par cette lecture. Merci |
Vincendix
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une histoire qui m’a fait remonter le temps de plusieurs décennies, je crois qu’un tel fait-divers dans la cour d’une école aurait, maintenant, la une du quotidien local avec un titre accrocheur, genre : « la violence n’attend pas le nombre des années ».
J’en ai connu des pifs saignants à la récré, y compris le mien, parfois suite à une simple pichenette, les garçons sont prédisposés aux épistaxis. Quant à Nenette, elle n’était pas généreuse, découvrant une trop faible partie de sa petite culotte, par contre quel grand cœur ! Quelques petites maladresses narratives mais je juge sur l’ensemble et j’ai apprécié. |
Automnale
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Comme c’est mignon ! On s’y croirait ! Mais attention à GrosJeanJean ! Son grand-père, il est bûcheron, quand même ! Et la cognée, dans sa famille, on sait ce que c’est !
Tout commence donc par la carte que GrosJeanJean a, en classe, fait passer à Nénette… Nénette qui est amoureuse de Dédé… Alors, après avoir lu la carte de GrosJeanJean, elle a fait « non » de la tête… Même que Lucien Duval avait mis exprès son chewing-gum sur la carte… Quant à la maîtresse, ce jour de la Saint-Valentin, elle semblait avoir la tête ailleurs… Dans la cour de récréation, Dédé parlait à Nénette, ce qui a déplu à GrosJeanJean… Une terrible bagarre, entre eux deux, a commencé… Ce fut super gore... Antoine a profité de l’occasion pour demander à Nénette de lui montrer sa culotte… Une culotte avec un élastique rose et des dessins « Hello Kitty », un truc de filles ! Ensuite, eh bien Nénette s’est précipitée vers Dédé, et elle lui a pris la main. A n’y rien comprendre… Mais ce n’est pas tout… Lisa, elle, a donné sa carte de Saint-Valentin à Antoine et… lui a pris la main... Quelle journée ! Mais n’oublions jamais que la Saint-Valentin c’est aussi du danger. Ah oui, c’est vraiment mignon, frais. Les traits des petits personnages sont légers, jamais forcés. Tout est raconté avec infiniment de finesse et de justesse. Je me permets juste de relever deux infimes détails : - En incipit, l’auteur (e) indique, au nom du petit Antoine, que l’histoire a été écrite à l’intention de son grand-père… Or l’enfant, d’une part, s’exprime en vouvoyant son grand-père, d’autre part, lui apprend même qu’il est libraire... - Les parenthèses... Les trouvant superflues (il est libraire. C’est lui qui me dit que… - Quand elle a su toute l’histoire de ce jour-là…), je les enlèverais… Plus exactement, je propose de les enlever. Passeque… j’ai eu un coup de cœur pour cette histoire tellement rafraîchissante, je la conserve précieusement dans la perspective du podium du concours. Merci, Hersen, pour ce délicieux et original moment de lecture. |
carbona
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Hersen,
Un bon texte vraiment plaisant avec tous les ingrédients : tendresse, action, et surtout humour ! Ce n'est pas souvent qu'on sourit et qu'on rit devant un texte alors là on se régale, un peu à l'image des Titeuf ou du P'tit Spirou, c'est vrai qu'il ne nous manque plus que les illustrations. Mais c'est encore mieux sans car j'adore imaginer la tête de Nénette quand elle reçoit la carte de GrosJeanJean ou encore la tête de GrosJeanJean quand il va trouver Dédé. J'adore aussi la cognée, c'est fort et drôle à la fois. Je pense que ce texte tire sa force de la vision idéalisée que nous, adultes, nous pouvons nous faire de l'enfance et qui nous (re)plonge avec bonheur dans l'innocence perdue mais surtout rêvée de cette période de notre vie. Car si pour nous c'est amusant, je pense que le Dédé par exemple va s'en souvenir toute sa vie de sa râclée ! Cette scène de théâtre qu'est l'enceinte de l'école est très bien décrite. Dans toutes les classes, on a un GrosJeanJean, une Nénette, un Dédé et un Antoine : chapeau bas pour le profil des personnages qui, en peu de mots, prennent vie. Et puis ce que j'ai beaucoup aimé dans ce texte, c'est que z'ai pu m'identifier à fond à Nénette, et ça c'est grâce aux petits détails qui construisent les personnages comme la culotte Hello Kitty ;) Merci pour cette agréable lecture ! |
Anonyme
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir,
J'ai beaucoup aimé votre nouvelle, très fraîche, très bien écrite. Le style colle parfaitement avec le récit, la narration est presque toujours (j'ergote sur quelques phrases déplacées dans le contexte, avec un vocable un rien trop recherché pour ce petit rejeton, mais ma fille dit que l'alcool c'est toxique depuis qu'elle a 2 ans 1/2 donc je peux encore faire l'impasse dessus) en adéquation avec le narrateur, et l'histoire en soi est juste choupi en diable ! Rien trop à en redire, si ce n'est qu'il est agréable de lire ce genre de St Valentin, qui nous rappelle un peu ce qu'est l'essentiel. La fin, surtout, est assez bien trouvée, mais je me suis régalée du début à la fin ! Merci pour ce joli récit, qui fera peut-être un peu peur à son papy mais qui est effectivement - il a raison - intéressante :) Bonne chance pour le concours ! |
aldenor
22/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très sympathique. Le monde de l’enfance est bien recréé ; le ton du narrateur est convaincant. Et puis, il y a des trouvailles, qui surprennent et amusent :
« ...comprendre la Saint-Valentin. Un peu comme les divisions à deux chiffres... » « ...tous ceux qui l'avaient lue en chemin... » : En peu de mots, on imagine le parcours de la carte de main en main, le remue-ménage... La notion d’un sourire qu’on n’aimerait pas recevoir ! Que Nénette lance à GrosJeanjean « comme fait papa quand le voisin vient se plaindre du bruit de la tondeuse. » « GrosJeanJean, si on l'appelle deux fois Jean c'est qu'il est drôlement gros qu'on dirait que quand il tape, ils sont deux à vous cogner dessus. » « J'ai rien compris ! » s’exclame le narrateur quand Nénette prend la main de Dédé. Le lecteur est lui aussi perdu par ces liens qui se nouent et se dénouent entre les protagonistes sans explication. Et c’est bien vu, les motivations sont enfantines, spontanées... « La maîtresse, elle dit toujours qu'une bonne histoire doit avoir une fin bien claire pour qu'on comprenne l'idée de celui qui écrit. » amène bien le mot de la fin : « la Saint-Valentin, c'est aussi du danger. » ! |
melvin
23/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Hersen
Merci et bravo pour ce texte. La St Valentin saisie par le regard – pas toujours innocent – de l’enfance dans l’atmosphère acidulée d’une cour de récré. Je me suis laissé emporter par la force évocatrice de votre récit. En vous lisant, des lieux et des visages presque oubliés se sont éveillés … votre nouvelle agit en madeleine au parfum de cannelle et de citron ;=) J’aime beaucoup, le contraste entre le ressenti des enfants et celui de leur maitresse ; l’intrusion d’une certaine gravité que vous installez, l’air de rien, par petites touches. Alors, même si quelques - rares - formulations sont un peu soutenues dans la bouche des enfants (de CE2 ?), si les prénoms/surnoms un peu datés (comment ne pas penser à Sempé) ce ne sont que des détails de peu d’importance face à la magie évocatrice de votre récit. |
Pouet
25/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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L'écriture est bien sympatoche dans le genre petit Gibus.
Le personnage de GrosJeanJean dans le style brute épaisse est bien campé, on s'imagine parfaitement Nénette en adorable petite peste qui affole les sens des gamins pré-pubères et le narrateur en observateur privilégié qui va trouver son "grand soleil tout beau" en la personne de Lisa... Sur le fond j'ai trouvé ça tout mignon et en ce sens je me demande si le thème du concours est bien respecté. Car bon dédé se prend une dérouillée mais ça reste un peu soft. Mais j'ai passé un agréable moment à vous lire et c'est bien là le principal. |
Anonyme
27/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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C'est mignon tout plein. Faut dire que je suis un très bon client des textes narrés par des enfants.
A la fin, je me suis dit qu'il n'y avait quand même pas grand-chose, dans cette histoire. Et puis non, tiens, y a pas besoin d'en faire des tonnes. D'ailleurs, je vais vous dire... pour que vous sachiez qu'à un moment, j'ai basculé de la lecture-analyse vers la lecture-implication... J'ai lu "Moi, je trouvais que c'était un peu tard, mais j'étais bien content quand même passeque pendant que tout le monde s'occupait à se paniquer, eh ben moi, j'ai donné ma carte de Saint-Valentin à Nénette." Eh ben, vous savez quoi ? Heu... oh, et puis zut, j'ai pas honte de le dire : je me suis dit "Mais il est complètement con, ce môme, ça va chauffer pour ses fesses, quand le GrosJeanJean aura retrouvé du temps pour s'occuper de lui". Ben oui, je me suis dit ça. Puis, j'ai lu "Et pis je peux vous le dire, elle était drôlement bien contente, elle m'a fait un gros bisou." Là, je me suis dit "Ca va, quoi qu'il arrive, il aura pas fait ça pour des prunes". J'ai juste été étonné en apprenant que la mère avait apprécié, mais pourquoi pas, je suis pas spécialiste en mères. Lecture très plaisante, donc. |
Coline-Dé
3/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Alors là, je ne dirai que deux mots : BRA-VO !
Parce que ce n'est pas facile du tout d'avoir cette justesse de ton et de restituer un parler et des points de vue enfantins avec cette drôlerie ! Dès l'incipit, c'était dans la poche ! Bien sûr, on ne peut pas ne pas penser au Petit Nicolas ( le vrai... enfin, je veux dire celui de la BD ) ! Mais j'avais rarement vu un texte qui aurait mérité d'y figurer avant celui-ci ! L'histoire de la culotte ( de fille !) est délicieuse et la phrase de fin figurera dans mon anthologie personnelle des mots d'enfants : "Mais que surtout, et là, je vous fais de la prévention comme quand la Croix-Rouge elle vient à l'école, il faut jamais oublier que la Saint-Valentin, c'est aussi du danger." |
hersen
7/3/2016
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Anonyme
23/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Difficile exercice que de faire s'exprimer des enfants ! Chapeau de vous y être attelé ! Votre texte m'a fait sourire. Par contre, je n'ai pas ressenti la montée en puissance de la colère de GrosJeanJean, ni la teneur des enjeux pour ces enfants. Et puis je n'ai pas su pourquoi la maitresse était un peu absente ce jour là; cette délicate question est restée en suspend dans ma tête (ce qui pourrait faire l'objet d'une écriture à plusieurs : chacun prend un des personnages de l' histoire d'un autre ... !). Peut-être qu'une histoire en symétrie, ou en miroir, entre vos enfants et leur maîtresse serait captivante ? De plus, après votre annonce de récit écrit qu'un enfant ferait à son grand-père, j'ai été un peu déroutée car je n'ai pas vu l'aspect récit d'enfant. La lecture de votre travail m'a plu tout en me laissant sur ma faim. C'est bon signe qu'une lectrice ait envie d'en lire plus, non ?! |
matcauth
22/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour,
il y a des choses très bien dans ce texte, comme ces petits traits d'humour, l'ambiance générale qui secoue les souvenirs. Le tout est bien écrit avec toujours cette manière d'aérer le texte afin que les mots diffusent leur contenu avec plus de facilité. Les remarques du héros me semblent parfois peu justes, comme "je me dis un petit peu que le paradis avec des étoiles, ça doit être comme ça." Est-ce que les enfants disent ça. Peut-être, mais moi je ne pense pas. Pour moi, quand un enfant écrit une histoire, il y a toujours du rêve et de l'imaginaire, ça part toujours assez loin, il n'y a pas cette maturité. "On est tous différents et nos grands-pères ne sont pas là pour qu'on fasse la même chose qu'eux" Donc le point de vue du héros ne colle pas, selon moi. J'aurais plus vu Dédé s'appeler "GrosJean" car c'est un peu lui le dindon de la farce. Non ? Un peu de gore à l'école, ça ne fait pas de mal. Mais vous auriez pu pousser loin, plus loin, très loin, du sang partout, en faire des tonnes... non, j'arrête, on va pas encore repartir sur ce sujet ! Je note l'écriture, le rythme, l'histoire, aussi, et les images du passé, très justes. Je regrette finalement que la personne qui écrit l'histoire ne soit pas, à mes yeux, celle qu'il faudrait. |
plumedeplomb
5/2/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'adore votre style, vous me faites penser à Eric Emmanuel Schmitt, en plus féminin. C'est un compliment de ma part, il fait parti des mes auteurs préférés !
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