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carbona
30/9/2015
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
Votre texte se lit très facilement, l'écriture est globalement sans fausse note, simple et fluide. Une belle recherche dans le champ lexical aviaire. En revanche je n'ai pas trouvé le contenu très palpitant, très prenant. Comme on comprend de suite de quoi il s'agit, on s'ennuie un peu sur les discussions de la basse-cour qui manquent d'intérêt à mon goût. Quelques remarques : - "Il en a par-dessus la tête de toutes ces gonzesses qui l'agressent." < ça dénote un peu - " Non Georges, je ne veux pas me battre avec toi, je te respecte trop. N'oublie pas que nous avons le même sang dans les veines. Je ne voudrais pas te faire mal. Je ne voudrais pas toute ma vie me poser la question : être ou ne pas être. Dois-je tuer mon père pour pouvoir accomplir mon destin ou rester sous le joug de cette filiation ? Mais dans l'un ou l'autre cas, pourrai-je vivre avec ça sur ma conscience ? Devrai-je dormir ou mourir, sans autre alternative ?" < ça va, à mon goût, un peu loin dans la réflexion philosophique de l'animal personnifié En conclusion, j'aurais préféré une vraie révélation lors de la chute et pour cela j'aurais apprécié que soit entretenue au cours du récit une réelle confusion entre humains et animaux. Merci pour votre texte. |
AlexC
4/10/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
La lecture de votre nouvelle est très plaisante. On sait d’emblée que vous parlez d’animaux et après quelques lignes, j’ai compris que Georges était un coq. Cela tue le mystère et ne laisse aucune place au suspens, mais cela n’est pas trop grave, je me suis amusé de cette humanisation de la volaille et ait apprécié les problématiques existentielles d’une basse-cour. Comme il est difficile de cacher au lecteur la nature de Georges, je serai d’avis de ne pas jouer sur le mystère (qui n’existe pas) et dont la chute ne profite pas, et d’annoncer la couleur dès le départ. Je tique : “vers les deux jeunots prenant du bon temps” “Cette ignorance va l’empêcher d’user de son expérience pour contre-balancer la vigueur de son adversaire.” Un texte bien écrit et amusant. Merci. |
ameliamo
8/10/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Un texte drôle. Une fable amusante, bien écrite, dans un style qui attire l’intérêt du lecteur. Comme toutes les fables elle a sa morale. Dans la vie quotidienne tout est relatif, tout se change et, est changé, pour ne pas dire consumé, ou mieux dit, utilisé jusqu’à bout.
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in-flight
9/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Un coq qui aurait pu finir chapon avant l'heure si l'on en croit la véhémence des poules. J'ai d'abord pensé à un lion puis je me suis orienté vers une scène de basse-cour et puis des mot expressions comme "prise de bec" ou "caquet" m'ont orientées sur la voie des gallinacées.Donc la chute... J'aurais bien vu ce texte en humour plutôt. |
Anonyme
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
j'ai bien aimé votre texte, car malgré la fin tragique du héros je me suis amusé de cette "révolution" de basse-cour et de sa chute. Le ton parfois gouailleur m'a paru juste et bien mené. L'attitude macho et satisfait de soi du coq officiel m'a évoqué l'attitude d'un chef de service qui régnerait sur un pool (sic) de dactylographes ou de téléphonistes...ou autres "petites mains" et qui aurait fini par croire son droit de cuissage inaltérable. J'y vois une jolie fable avec un arrière-fond un tantinet féministe. À vous relire. |
Vincendix
2/11/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai, dès les premières lignes pensé à un vieux coq de basse-cour, confirmation au fil de la lecture, et j'ai apprécié les "prises de bec" et autres allusions à la gente emplumée.
Un conte bien construit et qui m'a rappelé une fable que j'ai écrite, mettant en scène deux vieux coqs et un jeune. je me permets de citer deux quatrains (ils seront peut-être modérés,) Ce fut une bagarre ô combien sans merci, Une prise de becs qui devenait sanglante, Pendant que le jeunot n’ayant plus de souci, Honorait sans répit la foule caquetante. La bataille dura jusqu’à l’épuisement, Et les deux combattants y laissèrent des plumes, La fermière voyant un tel comportement, Acheva les rivaux qui devinrent posthumes. |
Anonyme
2/11/2015
a aimé ce texte
Bien
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J’ai vite compris dans quel genre de harem nous nous trouvions. Je me suis bien amusée de votre vocabulaire choisi pour coller au plus près de la situation. Bravo !
Une nouvelle qui aurait sa place en humour/détente, tant le moment passé à vous lire a été léger et agréable. Mais ce serait sans compter sur la pauvre Lisa transie d’amour pour Georges, et nous ne voulons pas rajouter à son malheur, n’est ce pas ? ^^ Je me trompe peut-être, j’ai l’impression que cette nouvelle a été pondue (oups) en deux temps. La deuxième partie (au moment où les poulettes commencent leurs invectives) semble écrite dans une meilleure inspiration, plus enlevée, plus marrante encore que la première partie. Au rythme imprimé on sent l’auteur qui s’amuse franchement. Vive la vie au grand air ! Au plaisir de vous relire. |
jeanmarcel
2/11/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une bonne idée dont le potentiel n'est pas exploité complétement. J'ai trouvé l'ensemble agréable mais sans réel intérêt, une nouvelle qui se lit et s'oublie immédiatemment. Les dialogues alourdissent le rythme et l'absence d'humour est préjudiciable, en particulier à la fin où la chute pourrait être plus enlevée et plus drôle. Un bon texte qui manque de personnalité et de ( excusez-moi de lâcher le grand mot) style.
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Bidis
2/11/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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La chute a fait passer, pour moi, en me faisant bien rire, un anthropomorphisme que je n'apprécie pas du tout. Mais je crois que ce sont les fausses pistes où l'auteur nous entraîne au début du texte qui sont la cause principale de mon peu d'enthousiasme à sa lecture. Je pense que j'aurais plus adhéré si le petit côté "Chicken run" avait été mis en place d'emblée. Mais alors, la fin aurait été horrible (je ne vois pas du tout Ginger et Rocky agrémenter des tourtes)… Or ici, comme je disais, la chute me plaît bien. Bref, pour moi, c’est un moment de lecture agréable quelque peu ambigu
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lala
3/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Hersen,
Un joli moment de basse-cour où se reconnaîtront peut-être quelques lucides machos… Les femmes sont égratignées aussi, superficielles, inintéressantes, frivoles… Le vocabulaire abondant issu du milieu des volatiles est placé avec soin, c’est un amusement à chaque fois. L’incipit est cruel mais juste. Même la chute apporte un parallèle avec la vie des humains, ou la recette « à ma façon » pour transformer un prétentieux imbu en un compagnon docile. |
phoebus
4/11/2015
a aimé ce texte
Pas
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La réalité du coq fournit la substance d'une écriture.Elle semble alors capable de pourvoir en véritables personnages dotés de traits bien spécifiques. C'est elle qui les a poussés, forcés à surgir et qui les retiens de tomber.La terre, pardon, l'histoire s'étire et jauge leur équilibre en pesant de tout leur poids immobile...
Je n'ai pas accroché. Je me rappelle de la version suivante: https://www.youtube.com/watch?v=7FmhMVEfw_U |
Alice
5/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Dix points, dès le départ, pour l'originalité. Les points ne représentent pas grand-chose, me direz-vous, mais quand même. Le début m'a semblé un peu lent, facile à lire parce que bien aéré et écrit avec fluidité, mais un peu lourd, on n'est pas, pour ainsi dire, tenté de cesser de penser à sa journée en lisant, d'où le moins. Pour moi il n'y a vraiment que pendant le dialogue avec les femelles que ça démarre réellement. Mais quel démarrage, quel style ! :P Bien chouette, ce Speedy shakespearien, la façon de raconter l'incident est particulièrement truculente, et la fin parvient, tout en semblant réaliste, à ne pas étouffer le burlesque bienvenu et le ton dansant sous une morbidité qui aurait cassé le cou à l'esprit du texte.
"Vous devriez réfléchir un peu plus avant de vous attaquer à ce qui fait de moi l'essence même de ma raison parmi vous !" : la dernière partie me semble être la seule syntaxiquement faible dans tout le texte, "l'essence même de ma raison parmi vous" ? Vouliez-vous dire quelque chose du genre "ma raison d'être parmi vous" ? Il se peut que j'aie mal saisi également. Un peu traînant sur le départ, donc, peut-être y distiller encore plus de cet humour piquant dont votre écriture a le secret. Le reste est délectable. Merci pour ce beau moment. EDIT : Au moment de quitter la page, relire votre résumé pétillant en connaissant le contexte m'a bien fait rire, merci une seconde fois :P |
Blacksad
5/11/2015
a aimé ce texte
Bien
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Fantaisie amusante et bien trouvée !=)
C'est écrit de manière fluide et si on se doute de la chute assez tôt au vu de certaines contorsions pour garder l'effet "volatile" secret, on se laisse prendre quand même volontairement a jeu et avec plaisir. En fait, ayant fait un peu de biologie dans mes jeunes années, le truc qui m'a finalement le plus dérangé, c'est que les coqs, techniquement n'ont pas de... choses. Enfin, disons que c'est à l'intérieur. Rien ne dépasse. Jamais... du coup difficile de les couper ou même de les voir ces fameuses choses...! ;-) |
Anonyme
6/11/2015
a aimé ce texte
Un peu
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C'est une sorte de Chicken Run votre histoire. Bon, j'ai trouvé ça sympathique mais sans grande consistance. Une trame simplette, des personnages de dessins animés et une fin attendue. On se doute bien que l'homme va intervenir d'une manière ou d'une autre pour casser ce bel engrenage.
C'est le deuxième texte que je lis de vous où j'ai l'impression que vous restez en surface des choses et des sentiments. Vous devriez essayer, mais ce n'est que mon humble avis, d'aborder des rivages plus durs, plus lourds psychologiquement, moins frivoles. Vous avez l'écriture pour y parvenir, après faut en avoir envie ! |
hersen
6/11/2015
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GLOEL
18/12/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Rien de bien nouveau dans les basses et hautes cours...
Un conte au rythme enlevé, au style vif et rapide. Bonne description des moeurs. |
matcauth
25/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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ah ! que de sentiments m'ont traversé pendant cette lecture ! à croire que je suis un adepte de la vie des poules. Et d'ailleurs je crois que c'est le cas.
Une poule, c'est tout sauf intelligent, c'est le moins que l'on puisse dire. Alors là, oui pour le coup, vous avez fait fort, avec les envolées shakespeariennes ! Mais l'ennui, c'est que si une poule était intelligente, elle ne vivrait pas comme elle vit, ce qui rend votre histoire incohérente. Et, tant qu'on a la suspension consentie d'incrédulité, ça va. Mais là, on la perd. Ou alors, il faudrait inventer un poulailler moderne, avec massage des plumes, télé, gym, des poules qui vont prendre un ver, ect. Et le problème c'est que quand c'est perdu, c'est perdu. On n'y croit plus, on cherche la petite bête, et on n'est plus dedans. Et je crois que c'est ça le problème de cette histoire, car le reste est super, bien écrit, drôle, toujours avec cette même subtilité préservée et qui empêche de tomber dans le "trop". Sauf la fin, peut-être, qui m'a parue inutile. Je note l'ensemble, cette très bonne plume, comme ce problème anthropomorphique. |